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mercredi 28 mai 2025

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 28 MAI 2025 SAINT GERMAIN ET SAINT GUILLAUME - KERMAN

 

PROVERBE DU 28 MAI 2025 (SAINT GERMAIN) (SAINT GUILLAUME) (KERMAN).


GERMAIN : Né près d'Autun, en Saône-et-Loire, en 496, à l'époque de ClovisGermain devient évêque de Paris en 555, sous le règne de Childebert 1er.


religion catholique saint sainte germain
28 MAI SAINT GERMAIN DE PARIS

Germain fonde l'abbaye Sainte-Croix-Saint-Vincent qui sera plus tard rebaptisée Saint-Germain-des-Prés.

Germain vit comme un moine jusqu'à la fin de sa vie, le 28 mai 576.

Germain fait de nombreuses veilles et jeûnes monastiques, ne se chauffant pas l'hiver.

Germain a été canonisé par l'Eglise et est fêté le 28 mai.



GUILLAUME : Guillaume, ou Guilhem, de Gellone ou d'Aquitaine, surnommé le Grand.



religion catholique saint sainte guillaume
28 MAI SAINT GUILLAUME DE GELLONE

Guillaume naît entre 750 et 755.

Guillaume est un noble important et une personnalité militaire du royaume d'Aquitaine à l'époque Carolingienne.

Guillaume est comte de Toulouse, duc d'Aquitaine et marquis de Septimanie dans les années 790, avant de fonder l'abbaye de Gellone (Hérault) en 804 et de s'y retirer en 806.

Il y meurt le 28 mai 812 ou 814.

Après sa mort, il est vénéré par la population locale, dès le début du 9ème siècle.

En 1066, Guillaume est canonisé par le pape Alexandre II sous le nom de saint Guilhem.

Guillaume a inspiré au 12ème siècle le personnage de Guillaume d'Orange dans la chanson de geste Guillaume au court nez.



religion catholique saint sainte guillaume
28 MAI SAINT GUILLAUME DE GELLONE



KERMAN : "Germain" edo "German" pareko.

(...) Kerman - Sabino Aranak eta Koldo Elizaldek argitaratuko Santu Izendegia-n proposaturiko izena. Ikus German. - - / Germain German / (...)

German (es), Germain (f), Germanus (en).

Jatorri iluna duen izena. Batzuen ustez Wehrmann germaniar izenetik datorke, latineko Germanus-en bidez. Beste batzuek, ostera, latineko germen hitza dakusate oinarrian. Jaiegun hedatuena urriaren 23koa da. Aldaera : Kerman (Deun-ixendegi euzkotarra).





Un décès du 28 mai : Henri Jean-Baptiste Grégoire, dit l'abbé Grégoire.



prêtre catholique évêque politique révolution française
PORTRAIT DE L'ABBE GREGOIRE
PAR PIERRE JOSEPH CELESTIN FRANCOIS 1800




Né le 4 décembre 1750 à Vého (Meurthe-et-Moselle) - Mort le 28 mai 1831 à Paris.

C'est un prêtre catholique, évêque constitutionnel et homme politique français, l'une des principales figures de la Révolution française.

Rallié au tiers état, à l'Assemblée constituante, il réclame non seulement l'abolition des privilèges et de l'esclavage mais prône aussi le suffrage universel masculin.

Fondateur du Conservatoire national des arts et métiers et du Bureau des longitudes, il participe à la création de l'Institut de France, dont il devient membre.

Il commence ses études avec le curé de son village qui remarque ses dispositions intellectuelles dès l'âge de 5 ans.

A 8 ans, Henri rejoint l'abbé Cherrier à Emberménil et il étudie, en compagnie de fils de hauts fonctionnaires au service du duc de Lorraine Stanislas Leszczynski.

Il poursuit ses études au collège jésuite de Nancy de 1763 à 1768, où il découvre les idées des Lumières, lui ouvrant les portes des milieux intellectuels lorrains.

Il s'oriente ensuite vers l'université de Pont-à-Mousson, puis celle de Nancy, où, de 1769 à 1771, il y étudie la philosophie et la théologie.

Parallèlement, il suit des cours au séminaire de Metz tenu par les lazaristes.

Henri se lance aussi dans la poésie et il obtient, en 1773, le prix de l'Académie de Nancy pour son Eloge de la poésie.

A l'automne 1774, il entre au séminaire de Metz et il est ordonné prêtre en avril 1775.

Depuis 1776, il est membre de la Société philanthropique et charitable de Nancy.

En 1782, il est désigné curé d'Emberménil et de Vaucourt, en Meurthe-et-Moselle.

En dehors de sa paroisse, Henri mène une vie intellectuelle active.

Il parle l'anglais, l'italien et l'espagnol, et dans une moindre mesure l'allemand.

Il s'intéresse également au fonctionnement démocratique de la Confédération suisse.

A partir de 1787, il fait partie d'un groupe de curés lorrains voulant participer aux Etats généraux et il est élu, en 1789, député du clergé.

A l'Assemblée constituante, Henri réclame l'abolition totale des privilèges et il rejoint le tiers état.

Henri participe à la rédaction de la déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, ainsi qu'à celle de la Constitution civile du clergé.

Après la dissolution de la l'Assemblée constituante, en septembre 1791, il revient à son office d'évêque de Blois.

En septembre 1792, il est élu député du Loir-et-Cher à la Convention nationale, dont il devient président, entre le 15 et le 29 novembre 1792.

Lors du vote de la mort du roi Louis XVI, il n'est pas présent à Paris, et son attitude est ambigüe.

Henri s'occupe de la réorganisation de l'instruction publique en étant un des membres les plus actifs du Comité de l'Instruction publique.

Dès août 1790, il lance une grande enquête qui prendra 4 ans relative "aux patois et aux moeurs des gens de la campagne".

Suite à la destruction massive de monuments et objets qu'il considère "nationaux", il devient protecteur des biens de la Nation.

Pendant la Terreur, il ne cesse de siéger à la Convention en habit ecclésiastique et n'hésite pas à condamner vigoureusement la déchristianisation des années 1793 et 1794.

Plusieurs fois, Henri échappe de peu à une arrestation, continuant à se promener dans les rues en tenue épiscopale et célébrant tous les jours la messe chez lui, soutenu par Robespierre et Danton.

La constitution de l'an III (août 1795) le fait entrer au conseil des Cinq-Cents (député de l'Hérault) ; le coup d'Etat du 18 Brumaire (novembre 1799) le porte au Corps législatif comme député de Loir-et-Cher.

Présenté par le Corps législatif, le Tribunal et le Sénat conservateur, pour faire partie de ce dernier corps, il hésite mais accepte ces hautes fonctions le 25 décembre 1801.

Il s'engage contre le rétablissement de l'esclavage par Napoléon après son coup d'Etat de 1799.

Henri plaide vigoureusement la cause des juifs, étant un des principaux artisans de leur émancipation.

Malgré son opposition à Napoléon, il est nommé membre de la Légion d'honneur en octobre 1803 et commandant de l'Ordre en juin 1804.

Il devient comte de l'Empire en 1808.

Pendant l'Empire et sous la Restauration, il écrit de nombreux ouvrages, notamment une Histoire des sectes en deux volumes (1810).

Au Sénat conservateur, Henri fait partie des rares opposants irréductibles à Napoléon 1er, s'opposant à la proclamation de l'Empire.

De même, il s'oppose à la création de la nouvelle noblesse d'Empire puis au divorce de Napoléon et de Joséphine.

En avril 1814, il est l'un des 64 sénateurs qui répondent à la convocation de Talleyrand pour proclamer la déchéance de Napoléon.

En mars 1816, il est frappé par l'ordonnance d'épuration de l'Institut de France, ainsi que Carnot, Monge et quelques autres.

Lors des élections partielles de septembre 1819, Henri est élu député de l'Isère.

A cause de sa réputation de régicide, il est exclu de l'Assemblée, en novembre 1819.

Dès lors, il vit dans la retraite, mais sans pension, et est contraint de vendre sa bibliothèque.

Malade, vraisemblablement atteint d'un cancer généralisé, sentant la fin de sa vie proche, il demande les secours de la religion.

L'archevêque de Paris refuse à Henri l'assistance d'un prêtre et toute messe funéraire.

Passant outre aux ordre de l'archevêché, l'abbé Guillon, confesseur de la reine, lui délivre néanmoins les derniers sacrements par charité chrétienne, dont l'extrême-onction.

Il meurt le 28 mai 1831, à 80 ans.



prêtre catholique évêque politique révolution française
PORTRAIT DE GREGOIRE 
DEPUTE DU LOIR-ET-CHER
A LA CONVENTION NATIONALE



Voici le proverbe du mercredi 28 mai 2025 :



ANDRE EDERRA, ETXEAN GERRA.

Femme belle, à la maison c'est la guerre.



femme portrait guipuscoa
FEMME DE LA BASSE GIPUZKOA
PAR H OÑATIVIA








(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)




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