PROVERBE DU 5 JUILLET 2025 (SAINTE ZOÉ) (SAINT ANTOINE-MARIE ZACCARIA) (AITZIBER).
 |
| 5 JUILLET SAINTE ZOE DE ROME |
Zoé était la femme de Nicostrate, chef de la Cour Impériale.
Devenue muette, Zoé rencontre saint Sébastien, qui lui rend la parole en faisant le signe de croix sur les lèvres.
Zoé et son mari se convertissent au christianisme, ainsi que les quelque 70 autres païens témoins du miracle puis sont baptisés par le prêtre Polycarpe.
Zoé est arrêtée, ligotée, emprisonnée puis martyrisée, suspendue par les cheveux à un arbre et asphyxiée par la fumée d'un feu allumé sous elle, le 5 juillet 286.
Elle est fêtée le 5 juillet en Occident et le 18 décembre en Orient.
ANTOINE-MARIE ZACCARIA : Il naît en 1502 à Cremone, en Lombardie, en Italie.
 |
| 5 JUILLET SAINT ANTOINE-MARIE ZACCARIA |
Antoine-Marie Zaccaria perd son père alors qu'il n'a que deux ans.
Il étudie la philosophie à Pavie, puis la médecine à Padoue, en 1520.
Il exerce comme médecin à Cremone, entre 1524 et 1527.
Antoine-Marie Zaccaria commence ses études religieuses en 1527 et il est ordonné prêtre en 1528.
Il fonde, en 1530, à Milan, la Congrégation de Saint Paul (ou Barnabites).
Il dénonce certains abus de l'Eglise catholique et il est accusé d'hérésie.
Il meurt le 5 juillet 1539, à l'âge de 36 ans.
Il est béatifié le 3 janvier 1890 à Rome et canonisé le 15 mai 1897, par le Pape Léon XIII.
 |
| 5 JUILLET SAINT ANTOINE-MARIE ZACCARIA |
AITZIBER : Urdiaineko Andre Maria Nafarroan. Jentilei egozten zaie bere eraikuntza, uztailaren lehen asteburuan ospatzen da jaia meza eta erromeriarekin.
(...) Aitziber - Urdiaingo (N) Andre Mariaren baseliza, Sarabe izeneko basoan. Ermita antzinako Sarabe herriko eliza izan zen. XIV. mendeko irudia orain parrokian atxikitzen dute, seguruago egon dadin. Jaia abuzturen 15ean da. Kondairak (...)
(...) dioenez inguruetan bizi ziren jentilek eraiki zuten eliza. Erromesek, igarotzean, jentilen emazteak ikusten omen zituzten, ilea orrazten ari. Ikus Sarabe. - - (...)
Un décès du 5 juillet : Georges Bernanos.
 |
| ECRIVAIN GEORGES BERNANOS |
Né le 20 février 1888 à Paris à 9ème arrondissement - Mort le 5 juillet 1948 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine).
C'est un écrivain français.
Il va garder de son éducation la foi catholique et les convictions monarchistes de ses parents.
Georges passe sa jeunesse à Fressin, en Artois, région du Pas-de-Calais qui constituera le décor de la plupart de ses romans.
A Paris, en 1897, il entre en sixième au collège des pères jésuites de la rue de Vaugirard, où il reste 3 ans.
A 13 ans, il lit Honoré de Balzac et cette lecture sera la découverte la plus marquante de son adolescence, selon lui.
En 1901, il entre interne au petit séminaire de Notre-Dame-des-Champs, mais il ne s'y adapte pas et il est orienté, en 1903, pour son année de rhétorique, au petit séminaire de Bourges, où il se sent à l'aise.
Georges échoue cependant en juin et en octobre à l'oral du baccalauréat.
En 1904, il entre au collège Sainte-Marie d'Ain-sur-la-Lys (Pas-de-Calais), où il est reçu au baccalauréat en 1906.
De retour à Paris, il obtient sa licence de lettres et de droit à l'Institut catholique.
Catholique fervent et, dans sa jeunesse, monarchiste passionné, il milite au départ dans les rangs de l'Action française, aux côtés des Camelots du roi, pendant ses études de lettres.
Dans cette période étudiante Georges fréquente Charles Maurras, avec lequel il rompt après la Première Guerre mondiale.
Il prend ensuite la tête du journal L'Avant-garde de Normandie, jusqu'à la Grande Guerre.
Bien que réformé, il se porte volontaire, d'abord dans l'aviation, puis dans le 6e régiment de dragons.
Il est plusieurs fois blessé.
C'est après la guerre que Georges rompt définitivement avec l'Action française.
Il épouse, en 1917, Jeanne Talbert d'Arc, avec laquelle il aura six enfants.
Il publie, en 1926, un premier roman, Sous le soleil de Satan, qui rencontre un succès aussi bien public que critique.
Le succès lui permet de se consacrer entièrement à la littérature.
En moins de 20 ans, Georges écrit l'essentiel d'une oeuvre romanesque où s'expriment ses hantises : les péchés de l'humanité, la puissance du mal et le secours de la grâce.
En 1929, son roman La Joie reçoit le prix Fémina.
Il publie, en 1931, le livre La Grande Peur des bien-pensants, considéré comme son premier pamphlet.
En 1932, sa collaboration au Figaro entraîne une violente polémique avec l'Action française et sa rupture publique définitive avec Maurras.
En 1934, Georges s'installe aux Baléares, en partie pour des raisons financières et il y écrit Journal d'un curé de campagne.
Ce roman couronné par le Grand prix du roman de l'Académie française, puis adapté au cinéma en 1950.
Il publie, en 1938, Les Grands Cimetières sous la lune, violent pamphlet antifranquiste.
En juillet 1938, il s'exile au Brésil.
Après la défaite de 1940, Georges se rallie à l'appel du général De Gaulle.
A la Libération, il retourne en France et est écoeuré par l'épuration et l'opportunisme qui règne en France.
Il devient chroniqueur dans La Bataille et dans Combat.
Il refuse une place a gouvernement que lui propose le général De Gaulle.
Georges refuse trois fois la Légion d'honneur.
En 1947, il part pour la Tunisie, où il rédige un scénario cinématographique, Dialogue des carmélites, considéré comme le "testament spirituel de Bernanos".
Il meurt d'un cancer du foie, le 5 juillet 1948, à 60 ans.
ECRIVAIN GEORGES BERNANOS
Voici le proverbe du samedi 5 juillet 2025 :
GARAGARRILLEAN NESKEA EZARRI ALBORREAN UTZ BAZTERREAN.
En juillet, laisse les filles de côté.
MOIS DE JUILLET
ILLUST BEUVILLE
 |
| MOIS DE JUILLET ILLUST BEUVILLE |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire