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dimanche 31 janvier 2021

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 31 JANVIER 2021 SAINTE MARCELLE ET SAINT CYR - MARKELE

 


PROVERBE DU 31 JANVIER 2021 (SAINTE MARCELLE) (SAINT CYR) (MARKELE).



MARCELLE : Marcelle est une veuve romaine qui se voue à la charité sous la direction de saint Jérôme, au 4ème siècle.



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31 JANVIER SAINTE MARCELLE

Née en 325, Marcelle joue un rôle majeur dans l'instauration du monarchisme féminin à Rome.

Marcelle se retrouve veuve, vers 350.

Dès lors, Marcelle et d'autres femmes, vierges ou veuves, partagent leur temps et leur argent, entre la prière et la charité.

Marcelle meurt en 410, à l'âge de 85 ans, durant le sac de Rome par l'armée d'Alaric.

Marcelle est fêtée le 31 janvier par l'Eglise catholique, et figure aussi au synaxaire des Eglises d'orient.



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31 JANVIER SAINTE MARCELLE


CYR : Saint Cyr d'Alexandrie est un médecin chrétien d'Alexandrie (Egypte), au 4ème siècle.


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31 JANVIER SAINT CYR D'ALEXANDRIE

Cyr soigne gratuitement tout en évangélisant.

Il subit le martyre durant la Grande Persécution (vers 311), en compagnie de son ami, Jean d'alexandrie, et d'Athanasie avec ses 3 filles Théodotè, Théoctistè et Eudoxie.


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31 JANVIER SAINT CYR ET SAINT JEAN



MARKELE : "Marcela" "Marcelle". Markel (M.)

(...) Sabino Aranak eta Koldo Elizaldek argitaratuko Santu Izendegia-ko Markele izena gaztelaniako Marcela-ren eta Marcial-en femenioaren aldaeratzat ematen da. Baliokideak : Marcela (gaz.) eta Marcelle (fr.) - - Marcela (...)

(...) Martzela - Latineko Marcellus-etik (Marcus izenaren txikigarria eta Klaudia leinukoen gentilizioa) dator. Santa hau Erroman jaio zen III. mendean eta bertan martirizatu zuten IV. aren hasieran. Jaieguna urtarrilaren 31n da. (...)



Une naissance du 31 janvier : Albert Louis Guille.


tenor france opera
TENOR ALBERT GUILLE 1894


Né le 31 janvier 1854 à Avignon (Vaucluse) - Mort le 19 août 1914 à Los Angeles (Californie, Usa).

C'est un ténor d'opéra français, qui a fait une partie de sa carrière aux Etats-Unis dans les années 1880-1890.

Guille a été pendant un temps un partenaire privilégié de la soprano Adelina Patti.

Il est connu pour ses rôles de ténor à l'opéra français : Manrico dans le Trouvère de Verdi ou Arnold dans Guillaume Tell de Rossini.

En mars 1881, il épouse, à Bordeaux, Joséphine Azibert, avec laquelle il aura trois fils.

En 1885, il est fait Chevalier de l'Ordre du Christ par le Roi Luis I du Portugal.

Aux Etats-Unis, il se produit dans de nombreuses villes.

A compter du 18 novembre 1886 au New York Academy of Music, pendant 6 ans, Guille est ténor des acteurs de soutien en tournées d'Adelina Patti aux Etats-Unis et en Europe.

Avec sa petite taille, de 1m61, il est surnommé "le petit homme à la grosse voix".

Alors que sa carrière décline, Guille chante dans les théâtres de vaudeville. 

Il meurt dans la pauvreté le 19 août 1914, à 60 ans.


tenor opera france
TENOR ALBERT GUILLE



LES RELIGIEUSES BÉNÉDICTINES D'OGNATE-OÑATI EN GUIPUSCOA AU PAYS BASQUE EN FÉVRIER 1908

LES RELIGIEUSES D'OGNATE EN 1908.



La loi de séparation des Eglises et de l'Etat date du 9 décembre 1905. Elle abroge le régime du concordat de 1801.



pais vasco antes universidad guipuzcoa
UNIVERSITE D'OGNATE GUIPUSCOA
PAYS BASQUE D'ANTAN




Voici ce que rapporta à ce sujet le journal L'Univers, le 14 février 1908 :



"Persécution et action religieuses.



Protestation d'exilées. 



Les religieuses Bénédictines de Bourges, expulsées l'année dernière de leur monastère, se sont réfugiées à Onate (Espagne). Dans quelques jours, la spoliation dont elles sont les victimes sera consommée par la vente de leur propriété. 



Du fond de leur exil, les religieuses adressent au liquidateur l'émouvante protestation suivante : 



Monsieur le liquidateur, 



Quand, il y a trois ans passés, on a pris possession de la maison dont nous étions injustement expulsées et qu'il nous a fallu, pour ne pas nous séparer les unes des autres et conserver ensemble les observances de notre vie religieuse, nous réfugier en terre étrangère, je n'ai pas manqué de protester contre les mesures odieuses dont nous étions les victimes. 



Celui qui a reçu cette protestation a déjà paru devant Dieu et nous ne nous permettons pas de le juger.



Vous avez été choisi pour le remplacer ; nous avons des raisons de vous croire personnellement très honorable et nous ne nous adressons à vous qu'en raison de la mission dont vous êtes chargé.



Mais aujourd'hui que, par la mise en vente de notre monastère, on se prépare à consommer cette injustice, je veux, du fond de notre exil, élever de nouveau la voix au nom de nos droits méconnus et cependant imprescriptibles et sacrés. 



Ces droits, en effet, nul ne saurait les contester ; aucune subtilité  légale ne peut les détruire, et il ne nous appartient pas d'y renoncer.



pais vasco antes guipuscoa
VUE GENERALE D'OGNATE GUIPUSCOA
PAYS BASQUE D'ANTAN



Depuis l'année 1806, date de notre première et très modeste installation dans cette maison, nous l'avons successivement et péniblement. agrandie, améliorée et rendue chaque jour un peu plns habitable. Telle quelle est au moment ou on nous la prend pour la- morceler et la vendre, elle représente pour nous cent années de notre travail, de nos privations et de nos sacrifices en tout genre ; elle est donc bien à nous : nous la ravir constitue un mépris du droit, une spoliation véritable, quel que soit le nom dont on se serve pour désigner cette opération, et nous regardons comme se rendant coupables tous ceux qui, sous quelque forme que ce soit, en tireront bénéfice injustement et sans notre assentiment formel. 



Si c'est pour nous un devoir, et un devoir bien cher, à nos cœurs, de témoigner notre reconnaissance la plus profonde à ceux qui, par de légitimes revendications, ont travaillé à sauver, une part de notre bien, c'en est un aussi auquel nous ne voulons pas faillir, de déclarer que nous entendons maintenir tous nos droits de légitimés propriétaires. Nous ne renonçons à aucun et nous nous réservons de les faire valoir le jour que nos cœurs appellent, où les portes de la France nous seront ouvertes.  



La France, que nous ne confondons pas avec ceux qui la gouvernent présentement, nous est d'autant plus chère, que nous sommes privées du droit d'y habiter. 



Au milieu des privations et des amertumes de notre exil, pour nous aider à les supporter, nous entretenons dans nos cœurs une foi inébranlable en ses destinées providentielles. Il ne nous semble pas possible qu'elle tolère toujours que les méchants triomphent, et que les bons soient opprimés. Nous lui reviendrons quand elle se ressaisira elle-même. 



Nous rentrerons dans cette ville de Bourges, où, depuis plus de mille ans, notre communauté a pu faire tant de bien, et d'où nous recevons incessamment tant de preuves de généreuse sympathie. 



Nous réclamerons alors de ceux qui nous auront fait du tort les réparations et restitutions légitimes, et nous les rendrons responsables devant les hommes, comme ils le sont déjà devant Dieu.



Pour les religieuses Bénédictines du Saint-Sacrement, dites de Saint-Laurent,

La Mère Prieure. 


Onate, ce 9 février. 

Onate-Guipuzcoa (Espagne)."



(Source : Wikipédia)



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samedi 30 janvier 2021

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 30 JANVIER 2021 SAINTE MARTINE ET SAINTE JACINTHE - EZKIO

 


PROVERBE DU 30 JANVIER 2021 (SAINTE MARTINE) (SAINTE JACINTHE) (EZKIO).


MARTINE : Martine est la fille de nobles romains, au 3ème siècle.


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30 JANVIER SAINTE MARTINE DE ROME


A la mort de son père, consul, Martine vend tous ses biens et consacre sa fortune à des oeuvres de charité.

Arrêtée à l'époque de l'empereur Sévère Alexandre, Martine est torturée pour n'avoir pas renié sa foi chrétienne. 

Martine est considérée comme sainte dans l'Eglise catholique et orthodoxe et patronne de Rome.

Le culte de Martine fut initié par le Pape Urbain VIII en 1635.



religion catholique saint sainte martine
30 JANVIER SAINTE MARTINE DE ROME


JACINTHE : Jacinthe (Hyacinthe) Marescotti naît en 1585 à Vignatello (Latium, Italie).



religion catholique saint sainte jacinthe
30 JANVIER SAINTE JACINTHE


Jacinthe est une religieuse, fondatrice d'oeuvres caritatives.

Baptisée avec le prénom Clarisse, elle est pieuse et très jeune, ses parents l'envoient étudier au couvent San Bernardino de Viterbe.

A 20 ans, ne pouvant épouser le marquis Cassizucchi, son père l'envoie de nouveau au couvent San Bernadino mais il vit pendant 10 ans fort peu religieusement.

A la suite de plusieurs deuils familiaux et d'une longue maladie, elle se convertit, vit pauvrement et fonde plusieurs institutions charitables.

Jacinthe meurt le 30 janvier 1640, à 55 ans.

Elle est canonisée en 1807 par le pape Pie VII.




EZKIO : Ezkioko Santa Lutzia. 1931 urteko urtarrilaren 30ean ospetsua izan zen zazpi eta hamaika urteko neska mutiko biek ama birjina ikusi  zutelako.



pais vasco iglesia guipuzcoa
SANTA LUCIA EZQUIOGA GUIPUSCOA



BLOODY SUNDAY : Blooday Sunday est une tuerie survenue, le dimanche 30 janvier 1972, dans le quartier de Bogside à Londonderry (Irlande du Nord), dans laquelle 28 personnes, parmi les manifestants pacifistes des droits civiques et les passants, ont été prises pour cible par des soldats de l'armée britannique.


MEMORIAL BLOODY SUNDAY
LONDONDERRY IRLANDE DU NORD


13 hommes dont 7 adolescents sont morts immédiatement ; un autre homme blessé ce jour-là est mort 4 mois et demi plus tard. 14 personnes furent également blessées, 12 par balles et 2 écrasées par des véhicules militaires. 5 de ces blessés ont été touchés dans le dos.

Le drame est survenu au cours de la marche de l'association nord-irlandaise pour les droits civiques ; les soldats impliqués appartenaient au 1er bataillon du régiment de parachutistes du Royaume-Uni.

John Lennon, dans son album Some Time in New York City sorti en 1972, le groupe punk de l'Ulster, Stiff Little Fingers avec son titre Bloody Sunday, puis le groupe de rock U2 dans sa chanson Sunday Bloody Sunday, rendent hommage aux victimes de cet événement.



Un décès du 30 janvier : Maryse Hilsz née Marie-Antoinette Hilsz.


femme pilote avion
MARYSE HILSZ 1935


Née le 7 mars 1901 à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) - Morte le 30 janvier 1946 au Moulin-des-Ponts (Ain).

C'est une militaire et une pionnière de l'aviation française.

A la mort de son père, Maryse doit arrêter ses études pour travailler et elle commence une carrière de modiste, tout en se passionnant pour l'aviation.

Elle s'inscrit à un concours de saut en parachute en 1924 et elle se lance alors dans le parachutisme d'exhibition.

Elle finance ainsi l'obtention de son brevet de pilote, qu'elle obtient le 21 avril 1930.

Au début des années 1930, elle commence une relation passionnée avec un autre aviateur, André Salel, jusqu'à la mort de celui-ci, en vol, le 18 juin 1934.

De 1931 à 1938, Maryse détient de nombreux records de vitesse et de distance en aviation.

En 1939, elle est réquisitionnée avec 3 autres pilotes, Maryse Bastié, Claire Roman et Paulette Bray-Bouquet, pour convoyer des avions sur le front.

Elle s'engage dans la Résistance en 1941.

En octobre 1944, Charles Tillon, communiste, ministre de l'Air, décide de créer le premier corps de pilotes militaires féminins.

Maryse est nommée sous-lieutenant.

Elle meurt le 30 janvier 1946, à 44 ans, lors d'un accident d'avion.


femme pilote avion
MARYSE HILSZ


LA RÉUNION DES COMMUNES DE SAINT JUST ET D'IBARRE EN BASSE-NAVARRE AU PAYS BASQUE EN 1841

LA REUNION DE ST JUST ET D'IBARRE EN 1841.


La commune de Saint-Just-Ibarre, en Basse-Navarre, a été créée le 25 juin 1841.


pays basque autrefois basse navarre
BLASON DE ST-JUST-IBARRE BASSE-NAVARRE
PAYS BASQUE D'ANTAN



Voici ce que rapporta à ce sujet les journaux nationaux, dans plusieurs édition :



  • La Gazette nationale ou le Moniteur universel, le 21 mai 1841 :

"Addition à la séance du samedi 15 mai.


Rapport fait par M. Muteau, sur le projet de loi tendant à placer les communes de Saint-Just et d'Ibarre (Basses-Pyrénées), sous l'administration d'une seule municipalité



Messieurs, le Gouvernement vous propose de placer les communes de Saint-Just et d’Ibarre, canton de Iholdv, arrondissement de Mauléon, département des Basses-Pyrénées sous l’administration d’une seule municipalité. 



La commune d’Ibarre ne compte que 146 habitants sur un territoire de 590 hectares ; ses revenus ordinaires ne sont que de 24 fr., tandis que ses dépenses s’élèvent à 418 fr. Il résulte de cette position la presque impossibilité de placer cette commune sous une administration régulière. 



En la réunissant à la commune de Saint-Just, conformément à l’avis unanime des différentes autorités qui ont été consultées, on ne fera que resserrer, entre les deux populations, les liens qu’ont déjà établis entre elles leur communauté dans l’exercice du culte et l’intimité de leur voisinage. 



Le résultat de cette réunion sera d’ailleurs de constituer une commune riche, d’un territoire de 3 000 hectares, peuplée de 800 habitants, et pouvant disposer d’un revenu de 101 fr. 



Les habitants et le conseil municipal d’Ibarre se sont naturellement opposés au projet dans l’intérêt de leur individualité communale. 



De son côté, le conseil municipal de Saint-Just, craignant que la bonne harmonie qui existe aujourd’hui entre cette commune et celle d’Ibarre ne fût compromise par la fusion de leurs intérêts, a émis aussi un avis contraire ; mais cet avis n’a point été partagé par les habitants qui, dans l’enquête, ont été unanimes pour la réunion proposée. 



En conséquence, votre commission, s’en référant aux avantages du projet, et ne trouvant rien de sérieux dans l’opposition des communes, a l’honneur de vous proposer l’adoption de la lois qui vous est soumise."



pays basque autrefois basse navarre
ST JUST IBARRE BASSE-NAVARRE
PAYS BASQUE D'ANTAN



  • la Gazette nationale ou le Moniteur universel, le 25 mai 1841 :

"Chambre des Députés.



Présidence de M. Sauzet.


Séance du lundi 24 mai.



20e Projet. 



Art. 1er. Les communes de Saint-Just et d’Ibarre, canton d’Iholdy, arrondissement de Mauléon, département des Basses-Pyrénées, sont réunies en une seule, dont le chef-lieu est fixé à Saint-Just, et qui prendra le nom de Saint-Just-Ibarre. (Adopté.) 


Art. 2. Ces communes continueront à jouir séparément, comme sections de commune, des droits d’usage ou autres qui pourraient leur appartenir, sans pouvoir se dispenser de contribuer en commun aux charges municipales. Les autres conditions de la réunion prononcée seront, s’il y a lieu, ultérieurement déterminées par une ordonnance du Roi. (Adopté.)"



pays basque autrefois basse navarre
ST JUST IBARRE BASSE-NAVARRE
PAYS BASQUE D'ANTAN



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vendredi 29 janvier 2021

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 29 JANVIER 2021 SAINT CONSTANT ET SAINT GILDAS - OIHAN

PROVERBE DU 29 JANVIER 2021 (SAINT CONSTANT) (SAINT GILDAS) (OIHAN).




CONSTANT : Saint Constant est le premier évêque de Pérouse martyrisé à Foligno (Ombrie, Italie),  vers 170, lors des persécutions des chrétiens sous le règne d'Antonin le Pieux et Marc Aurèle.



religion catholique saint sainte constant
29 JANVIER SAINT CONSTANT DE PEROUSE

Saint Constant est le saint patron, avec Herculan et Laurent, de la ville de Pérouse.



GILDAS : Gildas Le Sage est un ermite écossais.



religion catholique saint sainte gildas
29 JANVIER SAINT GILDAS

Gildas naît avant 504, peut-être en 494.

Il meurt probablement le 29 janvier 565 sur l'île d'Houat, près de Belle-Ile après avoir évangélisé la Bretagne.

Gildas est appelé Gweltaz en Breton.

Surnommé "Sapiens" ("le Sage"), il est connu comme étant l'auteur du sermon De Excidio et Conquestu Britanniae, l'une des sources majeurs pour l'histoire de la Grande-Bretagne, aux 5ème et 6ème siècles.




Oihan : Erdarazko "Sylvain", "Sylvie" eta "Silvano", "Sylvia" guztien pareko.

(...) oihan iz. Basoa, zuhaitzez jantziriko lur eremua Gure mendi eta oihanak. Aireko hegaztiak, itsasoko arrainak eta oihaneko zuhaitzak. Oihan ona (...)

(...) duen etxeak badu dirubide. Haritz oihan bat. Oihan bat landatu. Uztaritzeko oihanean arrano bat edo beste ikus omen daiteke noizean behinka. Iratiko oihana handia da. Oihan beltz batean Esr. zah : Oihan (...)

Izen arrunta, maiz basoa hitzaren baliokidetzat eman ohi dena. Erromatarren garaiaz geroztik jainkotzat hartu izan dira baso eta oihanak.



Une naissance du 29 janvier : Anton Pavlovitch Tchekhov.


ecrivain russe
ANTON TCHEKHOV EN 1900


Né le 29 janvier 1860 à Taganrog (Russie) - Mort le 15 juillet 1904 à Badenweiler (Allemagne).

C'est un écrivain russe, principalement nouvelliste et dramaturge.

Né dans une famille de commerçant pauvre, Anton est admis en classe préparatoire au lycée N°2 de garçons de Taganrog, et il obtient son diplôme en 1879.

En août 1879, il commence des études de médecine à Moscou, grâce à une bourse, et il obtient son diplôme, à l'été 1884.

Anton commence à écrire, en 1878, sa première pièce de théâtre.

Il épouse, en mai 1901, Olga Knipper.

Tout en exerçant sa profession de médecin, il publie entre 1880 et 1903 plus de 600 oeuvres littéraires, dont La Mouette ou Oncle Vania.

C'est l'un des auteurs les plus connus de la littérature russe, notamment pour sa façon de décrire la vie dans la province russe à la fin du 19ème siècle.

Anton a été l'ami de beaucoup d'artistes, peintres, écrivains ou architectes comme Isaac Levitan, Piotr Tchaïkovski, Léon Tolstoï, Ivan Bounine ou Maxime Gorki.

Il meurt le 15 juillet 1904, à 44 ans, à la suite de plusieurs crises cardiaques mi-juillet.



ecrivain russe
PORTRAIT D'ANTON TCHEKHOV 1898
PAR OSIP BRAZ


L'ÉNIGME BASQUE EN 1925 (deuxième et dernière partie)

L'ÉNIGME BASQUE.


L'origine du peuple basque remonte à la nuit des temps et reste inconnue à ce jour, malgré les très nombreuses hypothèses à ce sujet.



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L'ORIGINE DES BASQUES
PAR LEWY D'ABARTIAGUE



Voici ce que rapporta à ce sujet le journal La Croix, le 30 juillet 1925 :



"Revue des revues.



L’Énigme Basque.



II. La littérature populaire.



Il y a un axiome qui court les manuels et les dictionnaires : Les Basques n’ont pas de littérature.



Je le confesse : l’euskara n’a ni ses Niebelungen ni sa Chanson de Roland , et il attend toujours un Mistral pour nous donner sa Mireille



L’ancienneté même de la langue basque permet de croire que si l’euskara fut jamais une langue de civilisation, cette civilisation est si prodigieusement lointaine que tous ses monuments ont depuis longtemps disparus, comme ont disparu, au reste, les traces vraiment anciennes de la civilisation celte-ligure. En somme, le peuple basque est exactement sur le même pied que les autres peuples préhistoriques, exception faite d’un petit nombre, tels que les Assyriens et les Hindous, que sauvent de la nuit complète le Code d'Hammurabi et les poèmes des Vedas



La littérature basque existe, et non pas seulement la littérature de folk-lore (proverbes, devinettes, chansons légères), mais la littérature proprement dite, l'expression hautement littéraire du génie lyrique ou esthétique d’un peuple, d’une race, d’une langue. La littérature française s’enorgueillit de ses chansons de geste et de ses mystères, nous les avons aussi ; de ses légendes poétiques, nous les avons aussi ; de ses œuvres de prose abondante, cadencée, éclatante de période, d’harmonie et d’images, nous les avons aussi ; de ses poèmes, de ses romans même, nous les avons encore ; de son théâtre enfin, et nous l’avons, éminemment populaire et original...



Ce qui fait toute la beauté de la poésie euskarienne, c’est d’abord l’exquise simplicité des sentiments, leur fluidité, limpide et fraîche, leur noble sobriété d’expression. Pour les bien comprendre, il faut faire table rase de toute notre rhétorique latine. Il faut descendre dans l’âme populaire à la faveur de ces mots si simples et si spontanés et chercher à comprendre tout ce qu’ils renferment de naïveté, d’émotion, de douceur infinie. Il faut avoir sans cesse devant les yeux le cadre incomparable où ces mots ont été pris et où, seulement, ils ont tout leur sens. 



Beaucoup de ces poésies, satiriques ou amoureuses, s'inspirent de la chasse à la palombe. Ce mot usua est vite traduit en français : palombe. Il ne vous dit rien. Vous n'avez sous les yeux qu’un schéma, un mot imprimé. Pour en goûter la poésie, il faut voir cet usua tel que le poète l’a vu, tantôt fouettant de l’argent de ses ailes le bleu limpide du ciel quand, de la clarté des vallées perdues, le vol passe sur la forêt de hêtres où le chasseur l’attend dans son gîte de branches au plus haut de l'arbre, tantôt jetant le sifflement rythmé de ses ailes sur le silence des glaciers et des morènes pour passer en Espagne, et tantôt captif, les paupières cousues, les pattes attachées à la palette pendant les longues heures de guet à la cabane. Et c’est, en effet, à ces trois visions très distinctes que répond ce mot usua dans les trois poètes souletins : Urzo luma gris gaixua (Pauvre palombe à plume prise), Urso xuria errazu (Dites-moi, blanche palombe) et Urxaphalarem malüra (Oh ! la peine du pigeon ramier). 



Si nous étions au temps du romantisme où encore du lyrisme ampoulé d’un Lefranc de Pompignan ; je désespérerais de vous faire goûter la suprême sobriété de la poésie basque. Mais nous revenons, en France, à la douce simplicité des classiques, à un classicisme affranchi de toute cette mythologie, de tout ce conventionnel qui le guindait. Verlaine et Francis Jammes, en poésie, Charles Bordes et Vincent d’Indy, en musique, nous ont ramenés au goût des notations toutes pures. Et comme notre génération sait goûter les mélodies grégoriennes, ainsi elle ne tardera pas à comprendre la pure ligne onduleuse sans heurts, sans éclats, sans arpèges et sans trémolo de la poésie euskarienne. 



Toutefois ce n’est point dans cette sobriété et cette simplicité que réside uniquement le caractère vraiment original de la beauté littéraire dans les œuvres basques. Ce caractère, il faut le chercher surtout dans le jeu extraordinairement compliqué à la fois et aisé qui manie, avec une variété infinie, une aisance et une harmonie souveraines, les formes les plus complexes du verbe et de la syntaxe, pour amener au bout de la phrase l'idée, comme la liane enchevêtrée autour de l’arbre projette tout là-haut, au bout de ses résilles inextricables, la lumineuse fleur. Assurément pour bien comprendre ce charme que la meilleure traduction ne saurait rendre il faudrait être familiarisé avec la langue basque. Rien, dans nos idiomes romans aux concepts courts et jolis, fragmentés en petites périodes claires que l'on comprend à mesure, ne peut donner une idée du plaisir esthétique qu'on éprouve à suivre une longue phrase cadencée et n’en goûter qu’à la fin et le sens et l’harmonie. En écoutant se dérouler, lentement, la phrase à travers les périodes incidentes qui en font prévoir la signification dernière sans cependant l’exprimer, l'esprit est délicieusement tendu vers ce dernier mot pressenti et deviné : et à l'entendre enfin, tel qu’on l'avait prévu, ou encore plus joli, l’esprit s’épanouit en une délicieuse détente pleine de charme. C’est par là qu’il faut expliquer la faveur dont jouissent, chez les Basques, les bardes ou improvisateurs populaires, complément obligé des repas de noces, de nos fêtes traditionnelles ou simplement des longues veillées du dimanche dans les cidreries. 



Ce peuple, qui "n’a pas de littérature", est, en effet, le peuple du monde qui possède le plus grand nombre de poètes. Il n’est peut-être pas un seul village en pays basque qui ne compte un ou plusieurs improvisateurs : paysan, berger, pêcheur, bûcheron, contrebandier. Aux deux bouts de la table, à la cidrerie, ou vers la fin des repas dans un beau domaine de la montagne, ils se guettent, se cherchent du regard, immobiles, graves, comme pour un défi. Les commensaux, qui épient le régal attendu, les excitent, les aguichent longtemps : "Allons ! jette une strophe !". Ah ! ils se font prier ! Les minauderies de certaines jeunes filles de salon quand on les prie de se mettre à leur piano ne sont rien auprès de leurs résistances. Aux dernières fêtes de Sare où les alléchaient pourtant les prix en argent offerts aux meilleurs, il nous fallait aller les chercher dans la foule qui nous les désignait, les empoigner à bras-le-corps, les pousser, les hisser sur l'estrade et les y maintenir (car ils voulaient s’échapper encore) jusqu'à ce que, ayant enfin commencé, ils ne consentaient plus à se taire. 



L’un débute, d’une voix haute, presque blanche, les traits pâlis ou contractés par l'émotion. Il chante une strophe, généralement de quatre vers, sur quatre rimes égales de treize pieds ; six, plus une muette au premier hémistiche, et cinq, plus une ferme au dernier. 



Une seconde de silence, et une voix s’élève à l’autre bout de la salle. Le second improvisateur a relevé le défi. Ils sont partis. Vous ne les arrêterez plus. Sans se concerter à l’avance, ils ont adopté chacun son point de vue ; tantôt une idée politique, plus souvent un état social (Américain et terrien), ou bien un métier (meunier et paysan), ou bien un objet (l’espadrille et le sabot). Pour un étranger, le spectacle qu'offre l'auditoire n’est assurément pas le moins intéressant. Accoudés sur la table, le menton dans la main, les yeux brillants, un sourire finaud sur les lèvres à mesure que l'idée le précise, la bouche grande ouverte à la fin et prêts à s'esclaffer, ces hommes au visage glabre suivent avec une attention passionnée révolution de la pensée et de la strophe. 



On a pris des photographies de ces auditoires. Elles sont significatives. Rien n’égale l’intensité de communication qu'elles accusent entre le poète et ses auditeurs. 



improvisateur pays basque autrefois
L'IMPROVISATEUR TABLEAU DE BORY
MUSEE BASQUE BAYONNE



J’en conviens. L’esprit, l’à-propos, la malice tiennent dans ces improvisations une plus large part que la splendeur des images et la beauté des idées. Mais ce qui donne à l’émotion des assistants son caractère esthétique, c’est surtout la jouissance de l’esprit à suivre, au long de la mesure et avec le repos des trois premières rimes, l'évolution de la phrase qui se balance, scandée, harmonieuse, souple, pour n’éclore qu’à la fin. Cette fin, les yeux la guettent, la fascinent, l’envoûtent ; les lèvres déjà la murmurent ; les exclamations, les applaudissements, la détente violente de tous les traits l'accueillent comme une apothéose. C'est l’émotion esthétique parfaite, c'est la pure poésie : l'ivresse des pures formes, tout intellectuelle et toute sensible.



A cette littérature orale est Venue s'ajouter, depuis le XVIe siècle, une littérature écrite relativement abondante ; traités ascétiques, poèmes, nouvelles, romans, pièces de théâtre, opéras même. En ce moment l’essor est pleinement donné. Nous assistons à un renouveau étonnant de la littérature basque par le livre, le journal, la musique, la scène. Grâce à l’initiative de Mgr Gieure, évêque de Bayonne — exemple que l’Université n’a pas craint de suivre, — le basque est enseigné dans les Séminaires, les collèges et les lycées des Basses-Pyrénées. On sait, du reste, que l’Université de France avait déjà ouvert au basque les portes de ses Facultés. Tour à tour, MM. Saroïhandy, G. Lacombe, A. Léon, H. Gavel, et enfin l’auteur de ce petit livre ont professé des cours de langue et de littérature basques au Collège de France, aux Facultés des lettres de Bordeaux et de Toulouse. Dès lors faut-il espérer qu’en des temps prochains cette langue, qui se perd dans l’obscurité des siècles, loin de s’effriter et de mourir, refleurira d’une vitalité insoupçonnée au soleil des civilisations nouvelles ? Nous n’en sommes pas bien sûr. 



C’est un fait souvent observé dans l'histoire littéraire que la littérature régionaliste écrite tue souvent le fond d'originalité ethnique dont elle vit ; elle tarit ses sources. D'où cette constatation anormale que les peuples les plus littéraires, les plus poètes, sont ceux chez qui la littérature ne s'écrit pas, où les poèmes meurent avec les hommes. 



La littérature basque est encore le bien caché d'un des rares peuples restés naïfs et illettrés parce que sa langue ne s’est pas tout a fait pliée à la culture moderne et s’est obstinée à rester à l’écart. Certes, il y a, comme nous le disions, une renaissance ou une naissance littéraire basque, verte et puissante, mais elle n’a pas encore accaparé le trésor dont le peuple a la garde. Quand elle aura pris toute son extension, elle donnera probablement des oeuvres remarquables que l’on traduira et que l’on admirera. Alors, sans doute, on parlera d» la littérature basque et ce sera, mon sens, la fin prochaine de la" littérature basque", de la littérature populaire."




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jeudi 28 janvier 2021

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 28 JANVIER 2021 SAINT THOMAS - IXONE

PROVERBE DU 28 JANVIER 2021 (SAINT THOMAS) (IXONE).


THOMAS : Thomas naît près d'Aquino (Frosinone, Italie) en 1224-1225.


religion catholique saint sainte thomas
28 JANVIER SAINT THOMAS D'AQUIN

Thomas d'Aquin est éduqué au monastère du Mont-Cassin (Latium, Italie) de 1230/1231 à 1239.

Puis, malgré l'opposition de sa famille, Thomas revêt l'habit des Dominicains en avril 1244, avant d'étudier la théologie à Paris  et à l'Université de Cologne jusqu'en 1252.

En 1256, Thomas est nommé Maître-Régent et il commence à enseigner à l'Université de Paris.

Massif, d'une énorme puissance de travail et d'un regard d'une extrême douceur, on le surnomme le "boeuf muet" ou "Docteur Angélique".

Thomas retourne en Italie où il fonde l'Université de Milan et il écrit sans arrêt, pour approfondir la pensée d'Aristote.

Thomas d'Aquin meurt d'épuisement le 7 mars 1274.

Canonisé le 18 juillet 1323, Thomas sera proclamé Docteur de l'Eglise, en 1567 par le pape Pie V et plus tard saint patron des écoles et universités catholiques, en 1880, par le pape Léon XIII.

Thomas d'Aquin est aussi un des patrons des libraires.



religion catholique saint sainte thomas
28 JANVIER SAINT THOMAS D'AQUIN



IXONE : Gazteiz 1513an.

(...) Ixone - Euskal Izendegai-n biltzen da 1513an emakume izena zela Gasteizen.



Une naissance du  28 janvier : Arthur (ou Artur) Rubinstein.



pianiste polonais americain juif
PIANISTE ARTHUR RUBINSTEIN EN 1906



Né le 28 janvier 1887 à Lodz (Empire Russe, actuelle Pologne) - Mort le 20 décembre 1982 à Genève (Suisse).

C'est un pianiste polonais naturalisé américain.

Artiste mondain, très médiatisé et populaire, Rubinstein est un des musiciens ayant donné le plus de concerts au cours du 20ème siècle.

Dès l'âge de 4 ans, il joue du piano, mémorisant et comprenant les partitions à une vitesse prodigieuse.

Il donne son premier concert, en 1894, à Lodz.

En 1898, le violoniste Joseph Joachim le remarque et le prend sous sa protection, l'envoyant à Berlin pour étudier la musique.

Pendant 7 ans, il apprend les bases nécessaires pour devenir un pianiste virtuose.

N'allant pas au lycée, il étudie avec un précepteur et, dès ses 14 ans, il lit les littératures polonaise, russe, française, anglaise et allemande.

A partir de 1904, il parcourt le monde entier pour jouer : Europe et Amérique du Nord et du Sud. 

En raison du premier conflit mondial, il décide, en 1914, de ne plus jouer en Allemagne, et il tiendra parole toute sa vie.

Ce n'est que dans les années 1930 qu'il acquiert une renommée mondiale.

Il épouse, en 1932, Aniela (Nela) Mlynarska, avec laquelle il aura 5 enfants.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Rubinstein part, avec sa famille, aux Etats-Unis, à l'automne 1939.

Il y donne un concert mémorable le 29 octobre 1944, à New York.

Rubinstein est naturalisé citoyen américain en 1946.

En 1954, il se réinstalle à Paris.

En 1955-56, il entame un marathon de cinq grands et longs concerts, à Londres, Paris et New York.

Il revient en Pologne en 1958, vingt ans après sa dernière visite.

Les années 1960 sont l'âge d'or pour l'art de Rubinstein et il est à l'apogée de sa renommée.

Il donne un concert mémorable en Russie le 1er octobre 1964.

La fin de sa carrière est marquée par de nombreuses récompenses, de par le monde.

Son dernier concert a lieu à Londres, le 10 juin 1976.

Rubinstein meurt le 20 décembre 1982, à 95 ans.

Durant sa vie, il aura donné plus de 6 000 concerts et enregistré plus de 200 disques (entre 1928 et 1976).


pianiste americain juif
ARTHUR RUBINSTEIN

Voici le proverbe du jeudi 28 janvier 2021 :


GIZUNAREN ZÜHÜRTASÜNA PAZIENTZIATIK EZAGÜN DA.


La sagesse de l'homme se reconnaît à sa patience.


patience artisan perigueux
RECORD DE PATIENCE DE M AUMASSIP
8226 HEURES DE TRAVAIL


patience artisan
RECORD DE PATIENCE DE M AUMASSIP
8226 HEURES DE TRAVAIL



(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)




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