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mercredi 15 octobre 2025

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 15 OCTOBRE 2025 SAINTE THÉRÈSE D'AVILA ET SAINTE AURÉLIE - OTXANDA

PROVERBE DU 15 OCTOBRE 2025 (SAINTE THÉRÈSE D'AVILA) (SAINTE AURÉLIE) (OTXANDA).


THÉRÈSE D'AVILA : Thérèse d'Avila naît le 28 mars 1515 à Gotarrendura (Vieille-Castille, Espagne).




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15 OCTOBRE SAINTE THERESE D'AVILA


Coquette jeune fille de la noblesse castillane, Thérèse entre chez les carmélites d'Avila en 1535, à l'âge de 20 ans.

Après plusieurs extases, Thérèse fonde un nouveau couvent à la règle plus stricte : les carmélites "déchaussées".

Thérèse est l'auteur de nombreux ouvrages tant biographiques que didactiques ou poétiques.

Thérèse meurt le 4 octobre 1582 à Alba de Tormes (Espagne).

Après sa mort, le corps de Thérèse est exhumé plusieurs fois et sa dépouille est une relique disputée entre les couvents d'Avila et d'Alma de Tomes, où elle repose maintenant depuis 1760.

Thérèse est canonisée en 1622.

Elle fut proclamée en 1970 docteur de l'Eglise catholique ; elle est la première femme à obtenir ce titre.



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15 OCTOBRE SAINTE THERESE D'AVILA



AURÉLIE : Aurélie de Ratisbonne, ou Aurélie de Strasbourg ou Aurèle est une sainte de l'Eglise catholique, fille d'Hugues Capet et soeur du roi Robert II le Pieux.



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15 OCTOBRE SAINTE AURELIE DE RATISBONNE


Afin d'échapper à un mariage arrangé par ses parents contre son gré, elle fuit déguisée en pèlerin.

Aurélie rejoint Wolfgang de Ratisbonne, évêque de Ratisbonne, qui la convainc de vivre en solitaire et lui fait construire un ermitage à l'abbaye Saint-Emmeran, près de Ratisbonne, en Bavière. Elle va y demeurer plus de 50 ans.

La réputation de sa sainteté, prouvée par plusieurs miracles, se répand dès sa mort, le 15 octobre 1027.

Ses reliques sont conservées dans une châsse, et son ermitage est transformé en une chapelle qui devient un important lieu de pèlerinage.



OTXANDA : XIII. mendekoa. Otxandako etxe dorrea XVI. mendekoa Gasteizen.


pais vasco antes torre alava
TOUR DE DOÑA OTXANDA GASTEIZ-VITORIA


Otsandaren antzinako aldaera hipokoristikoa. Lehen aldiz Leireko dokumentazioan ageri da, 1188. Urtean (dona Ochanda). Ikus Otsanda eta Otxoanda. Garaibaik bildutako Milia Lasturkoren oroimenezko eresian era azalda da :

Mondragoeri hartu deutsat gorroto

Giputz andraok hartu ditu gaxtoto

Iturriotz kalean andra Maria Baldako,

Artekalean andra Otxanda Gabiolako,

Errebalean andra Milia Lasturko.






Un décès du 15 octobre : Thomas Robert Bugeaud, marquis de la Piconnerie, duc d'Isly.



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PORTRAIT DE THOMAS-ROBERT BUGEAUD

Né le 15 octobre 1784 à Limoges (Haute-Vienne) - Mort le 10 juin 1849 à Paris.

C'est un militaire français, maréchal de France, gouverneur général de l'Algérie qui a joué un rôle décisif dans la colonisation de celle-ci.

Bugeaud naît dans une famille de la noblesse du Périgord vert pour son père, et d'une illustre famille originaire d'Irlande pour sa mère.

Il s'engage à 20 ans dans l'armée, en 1804, comme vélite dans les grenadiers à pied de la Garde impériale.

Il est promu caporal à Austerlitz.

Il sert ensuite comme sous-lieutenant puis lieutenant au 64e de ligne dans la campagne de Prusse et de Pologne (1806-1807), durant laquelle il est blessé en décembre 1806.

Bugeaud combat ensuite en Espagne, dans le corps d'armée de Suchet, puis dans la division Lamarque.

De 1809 à 1813, il passe du grade de capitaine à celui de colonel.

Pendant les Cent-Jours, il rejoint le parti de Napoléon 1er qui l'envoie dans l'armée des Alpes à la tête du 14e de ligne, toujours sous les ordres de Suchet.

Licencié de l'armée à la Seconde Restauration, il se retire dans sa propriété de Lanouaille en Dordogne et étudie également les belles-lettres.

En 1825, Bugeaud est élu maire de Lanouaille, fonction qu'il occupera jusqu'en 1830.

Au moment de l'invasion de l'Espagne par le duc d'Angoulême, le gouvernement refuse sa réintégration dans l'armée.

Dès lors, il entre dans l'opposition et y reste jusqu'en juillet 1831, où on l'envoie à la Chambre, élu député de la circonscription d'Excideuil en juillet 1831 et bientôt nommé maréchal de camp par Louis-Philippe.

A la Chambre, il se fait rapidement une réputation particulière par ses excentricités et ses provocations envers les membres de l'opposition.

Le nouveau général devient l'ami du pouvoir.

Attaché à une politique conservatrice, Bugeaud est un défenseur intransigeant du protectionnisme douanier.

Nommé gouverneur de la citadelle de Blaye, il a la duchesse de Berry sous sa garde.

Au cours de l'insurrection parisienne des 13 et 14 avril 1834, il reçoit d'Adolphe Thiers, ministre de l'intérieur, l'ordre de réprimer durement le mouvement et il y aura 12 morts dans la rue Transnonain à Paris.

Il se consacre ensuite principalement aux affaires agricoles et propose, en 1840, une loi visant à créer des chambres d'agriculture, qui n'est pas adoptée.

Bugeaud est réélu député de la circonscription d'Excideuil aux élections de 1834, 1837, 1839, 1841, 1842 et 1846.

En juin 1836, il est envoyé en Algérie avec ordre d'écraser la révolte d'Abdelkader, mais la résistance des Algériens le contraint à signer le traité de la Tafna en mai 1837, traité qui reconnaît au Français des enclaves telles qu'Alger et Oran.

Rentré en France, il déconseille, dans un rapport, la conquête de l'Algérie, préconisant le maintien des territoires conquis sous statut militaire.

Lieutenant-général en août 1836 et grand officier de la Légion d'honneur, il est cependant nommé gouverneur général de l'Algérie par le ministre Thiers en 1840.

Bugeaud finit par disposer de plus de 100 000 hommes et il applique la politique de la terre brûlée et des grottes enfumées.

La "pacification" en Algérie va connaître des épisodes sanglants.

Fait Grand-croix de la Légion d'honneur en avril 1843, puis maréchal de France en juillet 1843, il obtient la permission d'attaquer le Maroc et il obtient la reddition d'Abdelkader en 1847.

Sa préoccupation constante est d'associer l'armée à la colonisation.

Au moment de la révolution de février 1848, Bugeaud reçoit le commandement de l'armée.

La Garde nationale refuse absolument d'obéir à ses ordres.

Louis-Philippe, sous la pression de la rue le sacrifie et Bugeaud démissionne.

Il est porté à la Constituante par une élection partielle à l'automne de 1848.

Les conservateurs songent à lui pour une candidature à la présidence de la République, mais il se désiste en faveur de Louis-Napoléon Bonaparte.

Celui-ci, élu président, le nomme commandant en chef de l'armée des Alpes.

Elu en mai 1849 par la Charente-Inférieure à la Législative, Bugeaud meurt du choléra, le 10 juin 1849, à 64 ans.



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THOMAS-ROBERT BUGEAUD


Voici le proverbe du mercredi 15 octobre 2025 :


EZ LEZAKE ULU BATI ERE MINIK EGITEN.

Il ne ferait pas de mal, même à une mouche.


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(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)





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