PROVERBE DU 11 OCTOBRE 2025 (SAINT FIRMIN) (SAINT PHILIPPE DIACRE) (EMMANUELLE) (KENNETH) (BEGOÑA).
FIRMIN : Vers 480, Firmin naît probablement à Narbonne (Aude).
11 OCTOBRE SAINT FIRMIN D'UZES |
A 12 ans, Firmin vient auprès de son parent Ruricius, patrice et évêque.
Ami d'un fameux évêque d'Arles nommé Césaire, Firmin devient lui-même évêque d'Uzès en 538.
En 551, Firmin assiste au deuxième concile de Paris.
Firmin encourage la création des premiers monastères en Gaule.
Firmin meurt le 11 octobre 553 et il est inhumé dans l'église Saint-Baudile, à Nîmes, qu'il avait fait construire au nord de la ville.
PHILIPPE (DIACRE) : Philippe est un juif helléniste faisant partie des Sept (avec Etienne, Prochore, Nicanor, Timon, Parménas et Nicolas), les premiers diacres choisis par les membres de l'Eglise primitive ce Jérusalem à l'initiative des disciples et des apôtres afin d'aider ces derniers.
A ne pas confondre avec l'apôtre Philippe mentionné dans les Evangiles, même si, dans la formation des légendes, les biographies des deux Philippe ont été reliées.
Philippe a également une fonction d'évangéliste en Samarie et favorise la christianisation de l'Ethiopie.
Philippe fait aussi partie des Septante disciples choisis par Jésus-Christ.
BEGOÑA : Bizkaiko Ama zaindaria.
Bizkaiko Andre Maria, 1903. urtean Aita Santuak Jaurerriko zaindari. Askoz lehenago, halere, 1738. urtean, Bizkaian Ama Birjina honengana zegoen jaiera edo debozio handia ikusita, Gernikako Batzarrek Jaurerriko zaindari izendatua zuten. Lehen aipamena Bilbo fundatu zutenekoa da (1300. urteko), hiribildua Begoñako dermioan sortu baitzuten, baina santutegia zaharragoa da. Jaieguna urriaren 11n bada ere. Bizkaian abuztuaren 14ko gauean Begoñara oinez joateko ohitura handia dago. Inoiz egon bedi oinetan (bego oina) itzuli izan dute, herri etimologia honek inolako funtsik ez duen arren. Ama Birjinaren ohoretan egindako kantu ezaguna San Antongo parrokoa izan zen Klaudio Gallastegi jaunari zor zaio :
Begoñako Andra Mari Bizkaiko zaindari
zure seme maitaleak zugana kantari.
Un décès du 11 octobre : Maurice de Vlaminck, pseudonyme de Maurice Devlaeminck.
Né le 4 avril 1876 à Paris - Mort le 11 octobre 1958 à Rueil-la-Gadelière (Eure-et-Loir).
Maurice est un peintre, céramiste, graveur et écrivain français.
Il s'illustre dans les courants fauviste et cubiste.
Ses parents, musiciens, émigrent de Flandre pour la France.
Il passe son enfance au Vésinet mais surtout à Chatou de 1893 à 1905 où il se forme auprès d'un peintre local Henri Rigalon et où il réalise ses premières oeuvres.
Maurice peint ses premiers tableaux vers 1893, mais gagne initialement sa vie en tant que violoniste et, parfois, en remportant des courses cyclistes.
En 1896, il épouse Suzanne Berly, avec qui il aura 3 filles.
En juin 1900, à l'occasion du déraillement d'un train, il rencontre André Derain qui restera son ami pour la vie.
Entre 1900 et 1905, la période est difficile financièrement pour le peintre, chargé de famille, et il est obligé de gratter d'anciennes peintures pour en récupérer les toiles.
A cette époque, Maurice publie deux romans à l'esthétique décadente, voire pornographique.
En 1905, il s'installe à Rueil-Malmaison où il demeure jusqu'en 1914, tandis que Derain gagne le Midi, comme beaucoup d'artistes de ce temps.
Il fait le choix de rester en région parisienne et participe, en 1914, à son premier Salon des indépendants.
Il est l'un des peintres qui font scandale lors du Salon d'Automne de 1905, dit "La cage aux fauves", avec Henri Matisse, André Derain et Raoul Dufy.
Le marchand de tableaux Ambroise Vollard s'intéresse à son oeuvre dès 1906, lui achète de nombreuses toiles et lui consacre une exposition en 1908.
Maurice noue des liens également avec Daniel-Henry Kahnweiler, autre célèbre négociant en art.
Il commence également une activité de céramiste et fait plusieurs expositions internationales durant ces années.
Ayant trois filles, il n'est pas envoyé au front durant la Première Guerre mondiale et il est affecté dans une usine de la région parisienne.
A la fin du conflit, il divorce et se remarie en 1928 avec Berthe Combe, avec laquelle il aura deux filles.
A partir de 1925, Maurice s'installe à Rueil-la-Gadelière (Eure-et-Loir) où il restera jusqu'à sa mort.
En novembre 1941, il participe au voyage en Allemagne, avec entre autres Paul Belmondo, Charles Despiau, Paul Landowski, Louis-Aimé Lejeune, Kees van Dongen, André Derain, André Dunoyer de Segonzac, organisé par la Propagandastaffel.
En juin 1942, il publie, dans Comoedia, un article dans lequel il critique Pablo Picasso et l'accuse d'avoir conduit, de 1900 à 1930, la peinture française "dans une mortelle impasse, dans une indescriptible confusion".
En septembre 1942, il critique de nouveau Picasso, mais aussi Edgar Degas et Henri Matisse.
Après la Libération, en juin 1946, le Comité national d'épuration des artistes peintres, dessinateurs, sculpteurs et graveurs frappe Maurice d'une interdiction professionnelle d'exposer, de vendre et de publier pendant un an à compter, rétroactivement, du 1er septembre 1944.
Il meurt le 11 octobre 1958, à 82 ans.
Son oeuvre est constituée de portraits, de nus, de paysages animés, de paysages urbains, d'intérieurs, de natures mortes, de fleurs et fruits, de peinture à la gouache et d'aquarelles.
Ecrivain, il a publié 26 livres : romans, essais et recueil de poèmes.
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PEINTRE MAURICE DE VLAMINCK |
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