PROVERBE DU 12 OCTOBRE 2025 (SAINT WILFRID) (SAINT SÉRAPHIN) (ABENE).
WILFRID (ou Wilfrith) : Né en Angleterre vers 633, Wilfrid fait ses études à Lyon et à Rome, avant de devenir archevêque d'York en 664.
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| 12 OCTOBRE SAINT WILFRIED D'YORK |
Wilfrid diffuse dans son île natale le catholicisme romain et la règle monastique de Saint Benoit de Nursie.
L'archevêque Théodore de Tarse le dépose en 678.
Après avoir fait appel en vain au pape, Wilfrid s'exile dans le royaume de Sussex, où il entreprend la conversion des Saxons du Sud et fonde l'évêché de Selsey.
En 702, un concile réuni afin de régulariser la situation de Wilfrid décide la confiscation de tous ses biens.
Un accord conclu, grâce au pape, laisse à Wilfrid les monastères de Hexham et Ripon.
Wilfrid meurt en 709 ou 710.
SÉRAPHIN : Séraphin de Montegranaro naît en 1540.
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| 12 OCTOBRE SAINT SERAPHIN DE MONTEGRANARO |
Séraphin est un moine capucin italien considéré comme saint par l'Eglise catholique et fêté le 12 octobre.
Il a été canonisé par le pape Clément XIII le 16 juillet 1767.
ABENE : Pilarea adierazteko.
Gaztelaniazko Pilar izenaren kideetako bat. Osagaiak : habe ("pilarea" ; "zutabea") eta -ne (XX mendean izen femeninoak sortzeko zabaldutakoa). Ikus Pilare.
Pilar : Zaragozako Andre Mariaren adbokazio ezaguna. Izena Ama Birjinaren irudiari eusten dion zutabeari -Andre Mariak berak Palestinatik ekarri omen zuenari- zor zaio. Bitxia bada ere Arana-Eleizadek, euskal tradiziori jarraikiz, Pilare izena hobetsi zuten, baina aurrerago garbizaleek Abene, Arbil eta Zutoia izenak sortu edota bultzatu zituzten. Santuaren eguna urriaren 12an da. Baliokidea : Pilar (es).
Un décès du 12 octobre : Jean-Baptiste Carpeaux.
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| BUSTE DE JEAN-BAPTISTE CARPEAUX PAR ERNEST HIOLLE |
Né le 11 mai 1827 à Valenciennes (Nord) - Mort le 12 octobre 1875 à Courbevoie (Hauts-de-Seine).
C'est un sculpteur, peintre et dessinateur français.
Jean-Baptiste naît dans une famille modeste d'ouvriers.
Il aime dessiner et souhaite faire des études de sculpture contre la volonté de son père.
A l'Académie de la ville, il suit les cours de sculpture de René Fache et les cours d'architecture de Jean-Baptiste Bernard.
Arrivé à Paris en 1838 avec sa famille, il reçoit une première formation de dessin et de modelage à la Petite Ecole.
En 1844, Jean-Baptiste entre à l'Ecole des beaux-arts de Paris dans l'atelier de François Rude, où il travaille pendant 8 mois.
Il rejoint ensuite l'atelier du sculpteur Francisque Duret, professeur à l'Ecole des beaux-arts.
En septembre 1854, il remporte le prix de Rome et s'installe à la villa Médicis en janvier 1856.
Il voyage en Italie et étudie les grands maîtres : Raphaël, Michel-Ange.
En 1862, de retour à Paris, Jean-Baptiste est introduit à la cour impériale par son ami et mécène, Eugène d'Halwin de Piennes, bientôt chambellan de l'impératrice.
Il est alors à la fois le portraitiste recherché mais jamais officiel de la cour et le sculpteur présent sur les grands chantiers du Second Empire.
Napoléon III lui commande plusieurs sculptures.
Il participe à la décoration extérieure du pavillon de Flore et de l'opéra Garnier.
Jean-Baptiste expose au premier Salon de la Société nationale des beaux-arts en 1863.
En 1864, il donne des leçons de dessin et de modelage au prince Louis-Napoléon Bonaparte, fils unique de Napoléon III et de Eugénie de Montijo.
Par la suite, il va réaliser deux statues de l'héritier de la dynastie.
A l'occasion des fêtes organisées pour l'Exposition universelle, il réalise une série de toiles.
Jean-Baptiste se montre très tôt en développant lui-même l'édition de ses oeuvres pour le commerce.
A partir de 1868, il s'installe à Auteuil où il peut créer un atelier.
Véritable entreprise familiale, l'atelier édite en plâtre, terre cuite estampée ou marbre des répliques à partir de sculptures ayant rendu l'artiste célèbre.
Par ailleurs, il crée des modèles nouveaux, plus onéreux, sur lesquels il exerce un contrôle artistique rigoureux.
Jean-Baptiste collabore avec l'architecte Gabriel Davioud pour sa dernière oeuvre, La Fontaine des Quatre-Parties-du-Monde de la place Camille-Jullian à Paris.
La guerre franco-allemande de 1870 et la Commune interrompent son travail, qui ne livre le modèle qu'en 1872.
La critique du Salon se déchaîne contre son oeuvre et le bronze est même fondu en 1874.
Les dernières années de sa vie sont sombres.
La guerre et la défaite de 1870 tarissent ses commandes.
Très jaloux à l'égard de sa femme, son couple se sépare en 1874.
Jean-Baptiste meurt le 12 octobre 1875, à 48 ans, des suites d'un cancer de la vessie.
Ses obsèques sont suivies par plus de 2 000 personnes.
Dans son testament, il lègue nombre d'oeuvres au musée des Beaux-Arts de Valenciennes.
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| AUTOPORTRAIT DE JEAN-BAPTISTE CARPEAUX 1874 |
Voici le proverbe du dimanche 12 octobre 2025 :
URTEAK ADARRA LUZEA DU.
L'année a une longue corne.
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| BONNE ANNEE CORNE D'ABONDANCE |
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