PROVERBE DU 26 AOÛT 2025 (SAINTE NATACHA) (SAINT CÉSAIRE) (EIDER).
NATACHA : Epouse de Saint Adrien (Adrianus), Natacha (ou Nathalie) subit avec lui, ainsi que vingt-trois autres convertis au christianisme, le martyre à Nicomédie (Izmit, en Turquie aujourd'hui) en 303, sous le règne de l'empereur Dioclétien.
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| 26 AOÛT SAINTE NATACHA |
Les reliques des deux époux, Natacha et Adrien, sont ramenées, en 1110, à Grandmont, en Belgique et sont aujourd'hui conservées en Belgique, à l'abbaye de Geraardsbergen.
26 AOÛT SAINTE NATACHA
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| 26 AOÛT SAINTE NATACHA |
CÉSAIRE : Césaire d'Arles, né vers 470 à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) et mort le 27 août 542 à Arles (Bouches-du-Rhône) , a été évêque de cette cité de décembre 502 jusqu'à sa mort en 542.
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| 26 AOÛT SAINT CESAIRE D'ARLES |
Moine de Lérins (Alpes-Maritimes) à 20 ans, puis diacre et prêtre en 499, Césaire est évêque d'Arles, à partir de décembre 502, pendant 40 ans.
Césaire s'affirme comme un chef dont l'influence s'exerce sur la Gaule méridionale et l'Espagne.
Césaire convoque et préside plusieurs conciles, celui d'Arles en 524, de Carpentras en 527, de Vaison en 529 et le deuxième concile d'Orange en 529.
EIDER : Gaur egun oso erabilia den izena.
Eideard gaelikoz (Eskozian eta Irlandan) Edward izenaren aldaera da. Europako iparraldean hegazti bati deitzen zaio honela.
EDUARDO : Eduardo (es), Edouard (fr), Edward (en).
Eadweard (ead "aberstasuna" eta ward "zaindria") germaniar izenetik sortua da. Arras erabilia da Ingalaterran - errege askok izan dute Edward izena - eta Galizia-Portugaletan, azkeneko herrialde hauetan Duarte gisa.
Aldaera : Edorta.
EDORTA : Deun-ixendegi euzkotarra lanean gaztelaniazko Eduardo izenaren baliokidea. Ikus Eduardo.
Un décès du 26 août : Julie-Victoire Daubié (dite parfois Victoire Daubié ou Julie Daubié).
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| JULIE-VICTOIRE DAUBIE |
Née le 26 mars 1824 à Bains-les-Bains (Vosges) - Morte le 26 août 1874 à Fontenoy-le-Château (Vosges).
Julie-Victoire est une journaliste française, militante des droits des femmes.
Elle est la première femme française à s'inscrire aux épreuves du baccalauréat à Lyon en 1861, et la première à l'obtenir le 17 août 1861.
Elle est aussi la première licenciée ès lettres le 28 octobre 1871, à l'époque où les cours à la Sorbonne ne sont pas ouverts aux femmes.
Huitième enfant de sa fratrie, elle a 20 mois à la mort de son père.
Sa mère et ses frères et soeurs rejoignent alors Fontenoy-le-Château où réside la famille paternelle.
Sa famille fait partie de la petite bourgeoisie catholique de la ville.
Au bureau de bienfaisance se Fontenoy, Julie-Victoire côtoie et voit la misère des ouvriers de campagnes, la triste condition des domestiques et le sort funeste réservé aux mères célibataires.
Elle puise peut-être là l'inspiration de son essai La Femme pauvre au 19ème siècle avec lequel elle remporte le premier prix au concours de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, en juin 1859.
Le 31 août 1844, elle obtient le "certificat de capacité", brevet d'enseignante, obligatoire pour tous depuis la loi Guizot de juin 1833.
Elle s'élève contre le manque de qualification de certaines religieuses pour enseigner et non pas contre un enseignement catholique.
Julie-Victoire étudie le grec et le latin, matières indispensables pour présenter le baccalauréat, avec son frère prêtre.
Elle complète sa formation en zoologie, section mammifères et oiseaux, en s'inscrivant en 1853 au Muséum national d'histoire naturelle de Paris.
Avec l'aide de Francisque Bouillier et surtout de François Barthélemy Arlès-Dufour, un saint-simonien et industriel lyonnais, et forte de son succès au concours lyonnais de 1859, elle s'inscrit à la faculté des Lettres de Lyon pour passer son baccalauréat.
Le 17 août 1861, âgée de 37 ans, elle est la première femme en France à obtenir le baccalauréat.
Julie-Victoire achète au centre de Fontenoy une vaste maison où elle installe un bureau d'entrepreneur de broderie blanche.
Elle réside à Paris et elle donne des conférences, étant devenue journaliste économique.
Elle écrit aussi dans L'Economiste français, hebdomadaire économique fondé en 1862 par Jules Duval.
En octobre 1870, un arrêté du maire de Paris demande la création d'une Commission de dames pour examiner les questions relatives à l'enseignement primaire et elle est sollicitée pour y travailler, de même qu'Emma Chenu.
Au début de 1871, Julie-Victoire crée une association : Association pour le suffrage des femmes.
En 1871, les cours de la Sorbonne restent toujours fermés aux femmes mais elles peuvent s'inscrire aux examens.
Le 28 octobre 1871, elle devient la première licenciée ès lettres.
Le ministre Jules Simon lui adresse une lettre de félicitations.
Aussitôt, Julie-Victoire décide de préparer une thèse de doctorat dont le sujet sera La Condition de la femme dans la société romaine.
Elle meurt le 26 août 1874, à 50 ans.
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| JULIE-VICTOIRE DAUBIE |
Voici le proverbe du mardi 26 août 2025 :
GUTI JAKITETIK ETA GUTI MINTZAZETIK EZ DA HELDU GAITZIK.
Peu de maux proviennent de peu savoir et de peu parler.
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| HUMOUR : DICT-ON |
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