PROVERBE DU 19 JUILLET 2025 (SAINT ARSÈNE) (AMAIUR).
ARSÈNE : Né à Rome vers 354, Arsène de Scété (ou Arsène le Grand) devient diacre, puis précepteur des fils de l'empereur Théodore 1er à la cour de Constantinople, pendant une dizaine d'années.
 |
| 19 JUILLET SAINT ARSENE DE SCETE |
Puis Arsène démissionne et fuit le monde pour devenir ermite dans le désert égyptien, à Scété, auprès de saint Jean le Nain (Jean Colobos), pour mieux se rapprocher de Dieu.
De nombreux autres mystiques partagent son expérience.
Appelés "Pères du désert", ils donneront naissance au monarchisme occidental et seront à l'origine des abbayes et des monastères.
Arsène meurt vers 450 à Toura.
On attribue à Arsène cette maxime : "J'ai souvent regretté d'avoir parlé, mais jamais d'avoir tenu ma langue."
 |
| 19 JUILLET SAINT ARSENE DE SCETE |
AMAIUR : Baztan Ibarreko gazteluan ihardoki zuten gaztelaniarren aurka azken gudari nafarrek 1522an, euskal askatasunaren sinbolo bihurtu zelarik.
 |
| EGLISE AMAIUR NAVARRE |
(...) Baztango (Nafarroa herria, bertan egon zen gazteluagatik ezaguna. Tamalez, 1522an Gaztelako armadak gotorlekua eraitsi eta suntsitu zuen, barruan Nafarroako erregearen aldeko borrokalariak baitzeuden, besteak beste san Frantzisko Xabierkoaren anaiak. Haren lekuan monumentu bat dago, gerra zibilaren aurrean lau diputazioek eraikiaren antzekoa. Nafarroako askatasunaren alde borrokatu eta hil zirenen oroigarri. Bestalde, Lauaxetak hurrengo olerkia eskaini zion gudu honi.
Amayur gaztelu baltz hori
-berreun guduari oro sumin-
zaintzen zattuben zaldun onak
Naparra-aldez egin dabe zin.
Un décès du 19 juillet : Georges-Pierre Maurice de Guérin.
 |
| ECRIVAIN GEORGES-PIERRE MAURICE DE GUERIN |
Né le 4 août 1810 à Andillac (Tarn) - Mort le 19 juillet 1839 à Andillac (Tarn).
C'est un poète et écrivain français.
Maurice est le cadet d'une famille de 4 enfants.
Sa soeur aînée est Eugénie de Guérin, avec qui il aura une importante correspondance.
A 12 ans, il entre au petit séminaire de l'Esquile à Toulouse.
En 1824, il part pour le collège Stanislas à Paris, où il se lie d'amitié avec Jules Barbey d'Aurevilly.
Destiné à la prêtrise, Maurice n'a pas de vocation ecclésiastique.
Il est attiré par l'écriture et rédige quelques articles dans des revues catholiques dont l'Avenir de Félicité de Lamennais.
Il rejoint ce dernier à la fin de l'année 1832 en Bretagne à La Chênaie, où il entame la rédaction de son journal, publié sous le nom de Le Cahier vert, qui traduit notamment ses interrogations sur sa destinée d'homme et d'écrivain.
De retour à Paris en 1834, il s'initie à la vie parisienne avec Jules Barbey d'Aurevilly.
Dès 1835, Maurice rédige ses poèmes en prose Le Centaure et La Bacchante.
En 1837, il se livre à l'autodafé de ses oeuvres dont il ne subsiste plus comme original que le Cahier vert.
En 1836, il rencontre Caroline de Gervain qui devient son épouse en novembre 1838, malgré une passion pour la baronne Almaury de Maistre en 1837.
Malade de la tuberculose, il revient à Andillac, où il meurt le 19 juillet 1839, à 28 ans.
Contemporain de Lamartine, Victor Hugo, Pétrus Borel, Aloysius Bertrand, Maurice est un poète romantique faisant partie des initiateurs du poème en prose en langue française.
Voici le proverbe du samedi 19 juillet 2025 :
KUTX NIK IRABAZ, PIL HIK GALDU.
Face je gagne, pile tu perds.
 |
| HUMOUR MACHISTE : PILE OU FACE |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire