PROVERBE DU 21 JUIN 2025 (SAINT RODOLPHE) (SAINT RAOUL) (SAINT GONZAGUE) (ÉTÉ) (FÊTE DE LA MUSIQUE) (UDANE).
RODOLPHE (ou RAOUL) : Fils d'un comte de Quercy et seigneur de Turenne, Raoul (ou Rodulfe ou Rodolphe) de Bourges est moine, en 841, à l'Abbaye de Solignac, en Limousin.
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| 21 JUIN SAINT RODOLPHE OU RAOUL DE BOURGES |
Rodolphe est nommé en 842 évêque de Bourges, à l'époque des premiers Carolingiens, et il le restera pendant 25 ans.
Rodolphe rédige à ce titre une instruction pastorale pour améliorer la formation des prêtres.
Le pape Nicolas 1er octroie à Rodolphe, en 864, le titre de primat des Aquitaines et des Narbonnaises et de patriarche.
Rodolphe meurt en juin 866.
GONZAGUE : Louis de Gonzague.
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| 21 JUIN SAINT LOUIS DE GONZAGUE |
Louis de Gonzague est un étudiant jésuite né le 9 mars 1568 à Castiglione delle Stiviere (Lombardie, Italie).
Il est l'aîné d'une famille de dix enfants et sa mère prend un soin particulier de son éducation religieuse.
A 13 ans, en 1581, il devient page à la cour du roi Philippe II d'Espagne.
En raison de sa foi religieuse, le 2 novembre 1585, il renonce solennellement, en faveur de son frère cadet, à ses droits héréditaires aux marquisats de Mantoue et de Castiglione et part pour Rome.
Louis de Gonzague est présenté au pape Sixte V en novembre 1585 et il entre au noviciat de Saint-André du Quirinal, le 25 novembre 1585.
Il passe six ans à Rome et prononce ses premiers voeux le 25 novembre 1587, à 19 ans.
Il commence ses études universitaires au Collège romain, et son temps libre il le passe dans la prière et la charité.
En 1591, une épidémie de peste se déclare à Rome et il se met au service des malades.
Attrapant la peste, il en meurt le 21 juin 1591, à 23 ans.
Il est reconnu saint par l'Eglise catholique en 1726.
ÉTÉ : l'été est l'une des quatre saisons de l'année, dans les zones tempérées de la planète (hors climat tropical et équatorial). Il suit le printemps et précède l'automne, avec plusieurs définitions : astronomique, météorologique et calendaire.
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| ETE 1901 PAR ALFONS MUCHA |
Quand c'est l'été dans l'hémisphère nord, c'est l'hiver dans l'hémisphère sud, et vice versa. Il se situe entre les 2ème et 3ème trimestre de l'année dans l'hémisphère nord, et entre le dernier trimestre de l'année et le premier de l'année suivante dans l'hémisphère nord.
Quelle que soit sa définition (et l'hémisphère), l'été est la période de fructification pour la plupart des plantes et celle des grandes vacances.
Le mot "été" vient du grec aithos (chaleur) ou aestas (chaleur) en latin.
En France, comme dans beaucoup de pays européens, l'été est placé sur le calendrier, entre le solstice d'été (21 ou 22 juin) et l'équinoxe d'automne (22 ou 23 septembre).
Mais, de par le monde, de nombreux pays (Asie, Russie) font commencer l'été à des dates différentes de celle du solstice d'été.
FÊTE DE LA MUSIQUE : la Fête de la musique a lieu à travers le monde le 21 juin et est célébrée dans une centaine de pays.
Elle est d'abord imaginée en 1976 par le musicien américain Joel Cohen, qui travaillait alors pour France Musique.
Cohen proposait pour cette chaîne des "Saturnales de la Musique" pour le 21 juin et le 21 décembre.
Le 10 juin 1981, André Henry, Ministre du Temps libre, organise la "Fête de la Musique et de la Jeunesse", avec un concert gratuit réunissant environ 100 000 personnes Place de la République à Paris.
Cela va inspirer Jack Lang, Ministre de la Culture, pour créer une fête musicale populaire, la "Fête de la musique", dont la première édition a lieu en France le 21 juin 1982.
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| FËTE DE LA MUSIQUE 21 JUIN 1982 PHOTO AFP |
UDANE : Izendegian engoitik hau ere sartua.
(...) Udane - Ikus Uda. - - (...)
(...) Uda - Urtaroa eta Trebiñoko konderriaren izen historikoa, zein bertako herriburuaren izenak (Treviño-k) ordezkatu baitzuen. Baliokideak : Udara eta Udane neologismoa. - - (...)
Une naissance du 21 juin : Jean-Paul Charles Aymard Sartre.
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| ECRIVAIN ET PHILOSOPHE JEAN-PAUL SARTRE |
Né le 21 juin 1905 à Paris 16ème arrondissement - Mort le 15 avril 1980 à Paris 14ème arrondissement.
C'est un écrivain et philosophe français, représentant du courant existentialiste, dont l'oeuvre et la personnalité ont marqué la vie intellectuelle et politique de la France de 1945 à la fin des années 1970.
Son père meurt de la fièvre jaune, 15 mois après sa naissance.
Fils unique, issu d'une famille bourgeoise, Jean-Paul, de 1907 à 1917, va vivre avec sa mère chez ses grands-parents maternels, où il va passer 10 années heureuses.
En avril 1917, sa mère se remarie et la nouvelle famille déménage à La Rochelle, où Jean-Paul passe 3 années scolaires dures.
A l'été 1920, malade, il est ramené d'urgence à Paris, où sa mère décide de revenir.
Il est inscrit au lycée Montaigne, puis à 16 ans, au lycée Henri-IV, en 6ème et 5ème.
Il y retrouve Paul Nizan, qui va devenir son ami.
En 1924, Jean-Paul et Nizan sont tous deux reçus au concours de l'Ecole normale supérieure de Paris.
En 1928, il échoue au concours d'agrégation de philosophie, mais, en 1929, il y est reçu premier.
A partir de novembre 1929, il accomplit son service obligatoire de un an dans la section Météorologie de l'Armée de l'air, avec Raymond Aron pour sergent instructeur.
Après le service militaire, à compter de mars 1931, il est envoyé au lycée du Havre.
En 1932, Jean-Paul découvre Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline, une oeuvre qui va le marquer durablement.
En juillet 1937, il publie une nouvelle, Le Mur, dans la Nouvelle Revue française, qui lui donne une brève notoriété.
En octobre 1937, il est muté au lycée Pasteur de Neuilly.
En avril 1938, il manque de peu le prix Goncourt pour son roman La Nausée, chez Gallimard.
Jean-Paul est mobilisé en septembre 1939, à Essey-lès-Nancy, comme soldat chargé des sondages météorologistes.
Il écrit énormément, en moyenne 12 heures par jour, pendant 9 mois.
En juin 1940, il est fait prisonnier et est transféré dans un camp de détention en Allemagne, près de Trêves.
En mars 1941, il est libéré grâce à un faux certificat médical.
De retour à Paris, Jean-Paul fonde un mouvement de Résistance, "Socialisme et liberté".
En octobre 1941, il est affecté au lycée Condorcet au poste de professeur de khâgne.
De juin 1941 à août 1944, il publie plusieurs articles dans la revue collaborationniste, Comoedia.
A compter de 1943 et sur l'invitation de Claude Morgan, il assiste aux réunions du Comité national des écrivains et publie à 4 reprises dans les Lettres françaises.
De janvier à avril 1944, Jean-Paul livre 12 émissions pour Radio-Vichy.
Peu après la libération de Paris, Camus le recrute pour le réseau résistant Combat.
Fin 1944, il est invité par le département d'Etat américain à découvrir les Etats-Unis, avec une douzaine de reporters français.
Pendant quelques mois, il devient l'envoyé spécial du Figaro, journal de droite gaulliste, libérale et conservatrice alors qu'il se revendique socialiste.
Accueilli comme un héros de la Résistance, la renommée mondiale de Jean-Paul commence.
Après la Libération, il connaît un succès et une notoriété importants, pendant plus d'une dizaine d'années, en particulier avec sa revue fondée en 1945, Les Temps modernes.
Dès le premier numéro, il pose le principe d'une responsabilité de l'intellectuel dans son temps et d'une littérature engagée.
En 1945, il refuse la Légion d'honneur ou encore une chaire au Collège de France.
Entre 1952 et 1956, Jean-Paul devient un compagnon de route du Parti communiste, puis avec des courants gauchistes, au sens léniniste du terme, plus particulièrement maoïstes dans les années 1970.
Il soutient de nombreuses causes : l'indépendance du peuple algérien (dès 1955), la révolution cubaine (dès 1960), les événements de mai 1968, etc...
Intransigeant et fidèle à ses idées, il rejette tant les honneurs que toute forme de censure ; il refuse notamment le prix Nobel de littérature en 1964 ; exception notable, il accepte cependant le tire de docteur honoris causa de l'Université de Jérusalem en 1976.
Il refuse de diriger une série d'émissions télévisées qu'on lui propose, parce qu'il faut réaliser une maquette préalable.
Jean-Paul contribue à la création du journal Libération, allant le vendre lui-même dans les rues pour donner plus de publicité à son lancement.
Il partage sa vie avec Simone de Beauvoir, philosophe de l'existentialisme et féministe, avec laquelle il forme un couple célèbre du 20ème siècle.
De 1949 jusqu'à sa mort, en 1980, il vit simultanément une liaison avec Michelle Vian, la première épouse de Boris Vian.
A 65 ans, en mai 1971, il est victime cérébrale qui le laisse très affaibli.
En mars 1973, une seconde attaque lui enlève presque totalement la vue.
Atteint d'urémie, Jean-Paul meurt le 15 avril 1980, à 74 ans.
Pour son enterrement, le 19 avril 1980, 50 000 personnes lui rendent un dernier hommage.
Il laisse derrière lui une oeuvre considérable, sous forme de romans, d'essais, de pièces de théâtre, d'écrits philosophiques ou de biographies.
Sa philosophie a marqué l'après-guerre, et il est, avec Albert Camus, un symbole de l'intellectuel engagé.
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| ECRIVAIN ET PHILOSOPHE JEAN-PAUL SARTRE |
Voici le proverbe du samedi 21 juin 2025 :
AITA NOLAKO, SEMEA HALAKO.
Tel père, tel fils.
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| PASTORALE ALOS SOULE 1928 |
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