PROVERBE DU 18 JUIN 2025 (SAINT LÉONCE) (SAINT AMAND) (ORIA).
LÉONCE : Léonce de Tripoli est un officier supérieur de l'armée romaine qui se convertit au christianisme, à l'époque de Dioclétien.
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| 18 JUIN SAINT LEONCE DE TRIPOLI |
Léonce est torturé et mis à mort à Tripoli, en Syrie.
La date de la mort de Léonce est incertaine, certains la situant vers 73 ou au 4ème siècle.
AMAND : Saint Amand de Bordeaux ou saint Amand naît vers la fin du 4ème siècle.
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| 18 JUIN SAINT AMAND DE BORDEAUX |
Successeur de saint Delphin, qui l'avait ordonné prêtre, au siège épiscopal de Bordeaux en 403, Amand se consacre à évangéliser son diocèse.
Amand convertit et baptise entre autres Paulin de Nole.
Amand de Bordeaux combat l'hérésie gnostique du moine espagnol Priscillien.
Il meurt en 431 ou 432.
ORIA : Bisigodoen Santorala. Oria Sanz, Iñigo Sanz-en arreba. 1095 Huescan. 1010tik 1040ra bitartean San Migelgo monasterioko abadesa.
(...) Oria - Auria-ren Erdi Aroko aldaera. Lizarran (N) 1333. urtean dona Oria d'Ouanos bizi zen. (...)
Une naissance du 18 juin : Raymond Maurice Radiguet.
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| ECRIVAIN ET POETE RAYMOND RADIGUET |
Né le 18 juin 1903 à Saint-Maur-des-Fossés (Seine) - Mort le 12 décembre 1923 à Paris 16ème arrondissement.
C'est un écrivain et poète français.
Raymond est l'aîné de 7 enfants.
Après l'école communale, il passe l'examen des bourses et entre au lycée Charlemagne à Paris.
Considéré d'abord comme un bon élève sauf dans les disciplines artistiques, il obtient ensuite des résultats scolaires médiocres qui le décident à quitter le lycée en 1914 pour faire l'école buissonnière.
Il s'adonne entièrement à la lecture dans la bibliothèque familiale, dévorant les écrivains des 17ème et 18ème siècles, notamment Mme de La Fayette, puis Stendhal, Marcel Proust, et enfin les poètes Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé, Arthur Rimbaud et Lautréamont.
En avril 1917, Raymond rencontre Alice Saunier, jeune institutrice de 9 ans son aînée, voisine de ses parents qui la chargent de lui donner des leçons particulières.
A 14 ans, il aura une liaison avec elle qui durera un an, et cette liaison lui inspirera plus tard Le Diable au corps, publié en 1923.
A 15 ans, il abandonne définitivement ses études et se lance dans le journalisme.
Il soumet quelques poèmes à André Salmon, rédacteur en chef du journal L'Intransigeant.
Raymond se lie avec Max Jacob, Pierre Reverdy et François Bernouard.
Il fait également la connaissance des peintres Juan Gris, Pablo Picasso, Amedeo Modigliani, Jean Hugo.
Il fréquente les jeunes compositeurs, dont Darius Milhaud, Georges Auric, Francis Poulenc et Arthur Honegger.
Aux débuts du Canard Enchaîné, il signe quelques contes sous le pseudonyme de Rajky et publie aussi quelques dessins humoristiques dans L'Intransigeant et Le Rire.
Raymond continue à composer et à publier des poèmes entre juin 1918 et mars 1919.
En juin 1919, il fait la rencontre de Jean Cocteau qui va exercer sur sa future carrière une influence capitale.
Lui et Cocteau deviennent inséparables et fondent en mai 1920 Le Coq, une petite revue d'allure fantaisiste et de caractère avant-gardiste.
D'orientation hétérosexuelle, il a eu au moins 5 liaisons confirmées, parallèlement à celle, amicale, avec Cocteau : l'institutrice Alice Saunier, Beatrice Hastings, la peintre Irène Lagut et, en 1923, Bronia Perlmutter.
Plusieurs femmes ont parrainé sa brève carrière dans le milieu littéraire et artistique : Eugénie Cocteau, la mère de Jean, Misia Sert et Coco Chanel.
Vers 1921, Raymond abandonne la vie déréglée qu'il menait depuis quelques années et s'impose une forte discipline intérieure.
En septembre 1921, il termine Le Diable au corps.
En 1922, il écrit son deuxième et dernier roman, Le Bal du comte d'Orgel.
En 1923, Le Diable au corps est publié chez Grasset et est un grand succès de librairie et plus de 100 000 exemplaires sont vendus en 3 mois.
A la suite d'une baignade, Raymond meurt emporté par une fièvre typhoïde mal diagnostiquée par le médecin de Cocteau, le 12 décembre 1923, à 20 ans.
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| PORTRAIT DE RAYMOND RADIGUET 1915 PAR AMEDEO MODIGLIANI |
Voici le proverbe du mercredi 18 juin 2025 :
MENTURATZEN EZ DENAK, DEUS BILDU EZ.
Qui ne hasarde ne gagne rien.
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| LE LANGAGE DES CARTES |
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