PROVERBE DU 18 JUIN 2022 (SAINT LÉONCE) (SAINT AMAND) (ORIA).
LÉONCE : Léonce de Tripoli est un officier supérieur de l'armée romaine qui se convertit au christianisme, à l'époque de Dioclétien.
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| 18 JUIN SAINT LEONCE DE TRIPOLI |
Léonce est torturé et mis à mort à Tripoli, en Syrie.
La date de la mort de Léonce est incertaine, certains la situant vers 73 ou au 4ème siècle.
AMAND : Saint Amand de Bordeaux ou saint Amand naît vers la fin du 4ème siècle.
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| 18 JUIN SAINT AMAND DE BORDEAUX |
Successeur de saint Delphin, qui l'avait ordonné prêtre, au siège épiscopal de Bordeaux en 403, il se consacre à évangéliser son diocèse.
Il convertit et baptise entre autres Paulin de Nole.
Amand de Bordeaux combat l'hérésie gnostique du moine espagnol Priscillien.
Il meurt en 431 ou 432.
ORIA : Bisigodoen Santorala. Oria Sanz, Iñigo Sanz-en arreba. 1095 Huescan. 1010tik 1040ra bitartean San Migelgo monasterioko abadesa.
(...) Oria - Auria-ren Erdi Aroko aldaera. Lizarran (N) 1333. urtean dona Oria d'Ouanos bizi zen. (...)
Une naissance du 18 juin : Edouard Daladier.
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| EDOUARD DALADIER |
Né le 18 juin 1884 à Carpentras (Vaucluse) - Mort le 10 octobre 1970 à Paris.
C'est un homme d'Etat français, figure du Parti radical et de la 3ème République pendant l'entre-deux-guerres.
Fils d'un boulanger de Carpentras, Edouard suit les cours de khâgne d'Edouard Herriot au lycée Ampère de Lyon.
Il est reçu premier à l'agrégation d'histoire-géographie.
Il est nommé professeur d'histoire au lycée de garçons de Nîmes en 1909, puis professeur adjoint d'histoire et géographie au Lycée Saint-Charles, à Marseille.
Edouard est élu maire de Carpentras, en 1912.
En novembre 1914, il part pour le front comme sergent. A la fin de la guerre, en 1918, il est lieutenant et a reçu 3 citations.
Il épouse, en mars 1919, Madeleine Laffont, avec laquelle il aura deux fils.
Il est élu député radical de Vaucluse de 1919 à 1940.
Il est président du Parti radical de 1927 à 1930, puis de 1936 à 1938.
Combatif et pugnace, Edouard est surnommé "le taureau du Vaucluse"
Il participe aux gouvernements du Cartel des gauches, de 1924 à 1926.
Il est ministre des Colonies en 1924, de la Guerre en 1925, de l'Instruction publique en 1926 et des Travaux publics (trois fois entre 1930 et 1932).
Il est nommé président du Conseil en 1933, puis en 1934.
Lors du congrès radical de Nantes en 1934, il lance le thème des "Deux cents familles", "maîtresses de l'économie française et en fait, de la politique française".
Chef du Parti radical, Edouard participe au rassemblement de la gauche pour les élections de juin 1936.
Il devient vice-président du Conseil et ministre de la Défense nationale dans le gouvernement du Front populaire de 1936 à 1937.
Il est à nouveau président du Conseil en avril 1938.
Voulant réserver l'emploi aux travailleurs français, il promulgue le décret-loi du 2 mai 1938 sur la police des étrangers, complété par celui du 12 novembre 1938, prévoyant l'internement des "indésirables étrangers" (juifs, réfugiés de la Guerre civile espagnole, etc...).
En novembre 1938, Edouard prend des décrets-lois qui reviennent sur des mesures du Front populaire, qualifiant la loi sur les 40 heures de "loi de paresse et de trahison nationale".
En politique étrangère, il signe les accords de Munich en septembre 1938.
A la suite de l'attaque de la Pologne par Hitler, après la Grande-Bretagne, il déclare la guerre à l'Allemagne, le 3 septembre 1939.
Constatant l'existence du pace germano-soviétique, Edouard met hors à la loi le Parti communiste français, avec interdiction de parution de L'Humanité.
Edouard est renversé en mars 1940 mais est présent, comme ministre de la défense nationale et de la Guerre dans le cabinet de son successeur Paul Reynaud.
En juin 1940, en compagnie d'autres hommes politiques, dont Pierre Mendès France et Jean Zay, il tente de rejoindre, par bateau, le Maroc pour "poursuivre la lutte".
A son arrivée, il est mis en état d'arrestation en attendant d'être rapatrié en France, au début d'août.
Interné sans jugement, il comparaît au procès de Riom avec Léon Blum et d'autres hommes politiques et officiers d'état-major, accusés d'être responsables de la défaite.
Edouard est détenu au château de Chazeron (Puy-de-Dôme) et au fort de Portalet (Pyrénées-Atlantiques).
Après l'invasion de la zone libre, les Allemands exigent qu'il leur soit livré afin de le déporter.
Il est interné en Allemagne d'avril 1943 à mai 1945, avec Léon Jouhaux, Paul Reynaud, les généraux Gamelin et Weygand, le colonel de la Rocque, de Michel Clémenceau et Jean Borotra.
Après la Seconde Guerre mondiale, il est élu à la seconde Constituante en juin 1946.
Edouard est élu député de novembre 1946 jusqu'en 1956, en étant élu maire d'Avignon en 1953.
Il se remarie, en décembre 1951, avec Jeanne Beoucoiran, avec laquelle il aura une fille.
Il préside en 1957 le Rassemblement des gauches républicaines et vote, en 1958, contre l'investiture du général de Gaulle.
Il meurt le 10 octobre 1970, à 86 ans.
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| EDOUARD DALADIER |
Voici le proverbe du samedi 18 juin 2022 :
JOKU-ALE BAZERATE, LAISTER ESKEAN ATEZ-ATE.
Si vous vous adonnez au jeu, bientôt, vous mendierez de porte en porte.
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| MENDIANTS BASQUES ESPAGNOLS PAYS BASQUE D'ANTAN |
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