PROVERBE DU 26 SEPTEMBRE 2025 (SAINT CÔME) (SAINT DAMIEN) (EGIARTE).
CÔME ET DAMIEN : Côme et Damien, ces 2 médecins inséparables du 4ème siècle soignaient gratuitement les malades à Aigéai, en Cilicie... et ne manquaient pas aussi de les convertir à la foi nouvelle.
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| 26 SEPTEMBRE SAINT CÔME ET SAINT DAMIEN |
Pour cette dernière raison, Côme et Damien ont subi le martyre à Tyr, en Syrie, en 303 ou 310.
Parfois appelés "médecins anargyres"(du grec an- et argyrios, qui refusent l'argent), Saint Côme est reconnu par l'Eglise catholique comme le saint patron des médecins et des chirurgiens. Saint Damien est le saint patron des pharmaciens.
Deux basiliques leur sont dédiées à Constantinople.
On fête Côme et Damien le 26 septembre en Occident, le 1er novembre en Orient.
EGIARTE : Andre Mariaren Kapera Alloz Nafarroan. S. Migel Egiako, Mallabiko baseliza irailaren 29aren aurreko igandean ospatzen du bere jaia meza kantatua eta erromeriarekin.
MONASTERE DE SAN JOSE DE ALLOZ NAVARRE
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| MONASTERE DE SAN JOSE DE ALLOZ NAVARRE |
Deierri (Nafarroa) ibarreko Andre Mariaren ermita. Ama Birjina nekazari bat goldaketan ari zenean agertu omen zen, Allotz eta Lakar herrien arteko mugan, eta horregatik bi herriek omen zuen. Azkenik, ermita irudia aurkitutako lekuan eraikitzen erabaki omen zen, bi herriena izateko. Bada aurkikundeaz mintzo den kanta. Jaiak abuztuaren 11an eta irailaren 8an dira.
Un décès du 26 septembre : Béla Viktor Janos Bartok.
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| COMPOSITEUR BELA BARTOK |
Né le 25 mars 1881 à Nagyszentmiklos (Autriche-Hongrie) - Mort le 26 septembre 1945 à New York (Etats-Unis).
C'est un compositeur et pianiste hongrois, pionnier de l'ethnomusicologie.
Bela est issu d'une famille de la petite noblesse du Borsod (Autriche-Hongrie).
Ses parents, hautement instruits, s'intéressent à la musique et sa mère commence à lui enseigner le piano, dès ses 5 ans.
Il a 7 ans à la mort de son père.
Cela oblige sa mère à déménager et à donner des cours de piano, en plus de son métier, pour subvenir aux besoins de la famille.
En 1889, ils partent s'installer à Nagyszollos et Bela s'y essaie, dès l'âge de 9 ans à la composition.
A 11 ans, il donne son premier concert puis la famille déménage à nouveau pour Pozsony (aujourd'hui Bratislava).
Laszlo Erkel lui enseigne alors le piano et l'harmonie.
Il y fait aussi la connaissance d'Erno Dohnanyi, qu'il rejoint à Budapest, à l'âge de 17 ans.
Bela entre alors à l'Académie royale de musique de Budapest, où il rencontre Erno Dohnanyi, Leo Weiner et surtout Zoltan Kodaly, avec lequel il commence à recueillir la musique folklorique hongroise.
Ses premières compositions révèlent une forte influence de la musique de Johannes Brahms et d'Erno Dohnanyi.
En 1902, il est enthousiasmé par l'audition de Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss et il l'étudie assidûment.
A partir de 1905, il approfondit son intérêt pour la musique populaire hongroise et grâce à Kodaly, il commence une véritable carrière d'ethnographe et d'ethnomusicologue.
En compagnie de Kodaly, il parcourt les villages de Hongrie et de Roumanie, recueillant des centaines de mélodies et chants populaires, les transcrivant et les enregistrant.
En 1905, Bela découvre Paris, à l'occasion du concours Anton Rubinstein, et cette ville le marque durablement.
Il se détache de toute religion pour un athéisme profond et serein, et cet athéisme persiste jusqu'en 1916 où il se convertit publiquement à l'unitarisme.
De 1907 à 1934, il enseigne le piano à l'Académie royale de Budapest.
En 1907, il écrit Trois chansons populaires hongroises, et en 1908, il compose son Quatuor à cordes n° 1.
En 1909, Bela épouse sa très jeune élève, Marta Ziegler, âgé de 16 ans, avec laquelle il aura un fils.
En 1911, il présente son seul opéra, Le Château de Barbe-Bleue.
Pendant la Première Guerre mondiale, il écrit 2 ballets, suivis par 2 sonates pour violon et piano.
En 1917, il écrit son Deuxième Quatuor à cordes.
Bela, en 1923, divorce de Marta et se remarie avec son élève Edith Pasztory, âgée de 20 ans, avec laquelle il aura un fils.
Ensemble, ils font des tournées en Europe, lors de concerts pour 2 pianos.
En 1927-1928, il compose ses Troisième et Quatrième Quatuors à cordes, considérés comme étant parmi les plus importants quatuors jamais écrits en musique classique.
En 1935, il se libère de l'enseignement du piano grâce aux commandes désormais régulières qu'il honore.
Bela ne se compromet pas avec le régime autoritaire de Horthy qui a rallié les nazis.
En août 1940, il fait ses adieux à l'Europe lors d'un concert donné à Budapest et il s'exile aux Etats-Unis.
Il accepte le titre de docteur honoris causa de l'université Columbia, à New York et cela lui permet de continuer ses transcriptions et ses classements.
Mais les concert se font de plus en plus rares et les critiques ne le ménagent pas.
Bela donne début 1943 son dernier concert en tant qu'interprète.
A cause d'une leucémie qu'on lui cache, son état de santé se dégrade régulièrement mais, peu à peu, les musiciens américains tentent de l'aider financièrement.
Il n'accepte que de composer et reçoit alors ses dernières commandes (de Yehudi Menuhin) qui lui redonnent confiance.
La Hongrie, à peine libérée, lui rend un dernier hommage en l'éliant député : il accepte sachant qu'il ne pourra sans doute pas honorer sa fonction.
Il meurt le 26 septembre 1945, d'une leucémie, à 64 ans.
A titre posthume, il est lauréat du prix d'honneur de la paix en 1954.
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| COMPOSITEUR BELA BARTOK |
Voici le proverbe du vendredi 26 septembre 2025 :
EGUZKIAK DAUKAN ONENA, ITZALA.
Ce que le soleil a de mieux, l'ombre.
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| OMBRE CHINOISE DE FEMME ILLUSTRATEUR GRUSS |
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