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lundi 14 octobre 2024

LA DUCHESSE DE GRAMONT ET LE PAYS BASQUE EN JUILLET 1905

LA FAMILLE GRAMONT AU PAYS BASQUE.


Margaretha, dite Marguerite de Rothschild, duchesse de Gramont, est née à Francfort-sur-le-Main le 19 septembre 1855 et morte à Paris le 25 juillet 1905.



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PORTRAIT DE MARGUERITE DE ROTSCHILD
DUCHESSE DE GRAMONT
PAR PHILIP ALEXIUS DE LASZLO 1902



Voici ce que rapporta à ce sujet le quotidien Le Gaulois, le 27 juillet 1905 :



"C'était une femme admirable par le coeur et par l'esprit, et aussi par sa beauté, que la duchesse de Gramont qui vient de mourir à la suite d'une cruelle maladie. Elle a élevé la première fille de son mari, comme ses propres enfants, avec un soin maternel de tous les instants. Aux regrets qu'elle laisse à tous les siens et à ses amis, on peut mesurer son mérite ; mais on ne saura pas les regrets de ceux qui recevaient ses bienfaits cachés. Elle était charitable avec une exquise discrétion et une générosité sans bornes, ayant auprès d'elle une personne uniquement chargée de distribuer ses bonnes ouvres et d'aller porter à domicile les secours qu'elle savait nécessaires et dont elle devinait parfois la nécessité voilée.



Elle était la fille de cette baronne de Rothschild qui fut une des femmes les plus séduisantes de sont temps et écrivit la musique de cette délicieuse romance :

Si vous n'avez rien à me dire,

Pourquoi venir auprès de moi ?



La maison de Gramont est incontestablement une des plus anciennes et des plus illustres de France. Elle est représentée actuellement par le duc de Gramont et ses enfants, par ses frères et sa soeur ; ses enfants sont, on le sait, la marquise de Clermont-Tonnerre, fille du premier mariage de son père avec la princesse Isabelle de Beauvau, le duc de Guiche, premier enfant issu du second mariage du duc et aujourd'hui marié à Mlle Greffulhe, beau et excellent cavalier, en qui revivront les belles traditions de sa maison, la comtesse Hélie de Noailles et le comte Louis-René de Gramont, qui revient d'Oxford. Les frères du duc de Gramont sont le duc de Lesparre, qui a épousé Mlle de Gonegliano ; le comte Alfred de Gramont, qui fait partie du Service d'honneur de Monsieur le Duc d'Orléans, et sa soeur est la comtesse de Brigode.





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PORTRAIT DE ANTOINE XI ALFRED DE GRAMONT
PAR PHILIP DE LASZLO 1902



L'oncle du duc de Gramont, le général duc de Lesparre, mort en 1877, n'a laissé que trois filles, la comtesse de l'Aigle, la comtesse d'Archiac, morte l'année dernière, et la comtesse de Bryas.



Un autre de ses oncles, le général comte de Gramont, a laissé un fils unique.



Une autre branche, celle des Gramont d'Aster, est représentée par le comte de Gramont d'Aster, qui a épousé Mlle Odette de Montesquieu-Fezensac, et par la comtesse de Vergennes.



La maison de Gramont ne porte ce nom que depuis le milieu du seizième siècle. Elle l'a adopté par alliance, à l'exclusion du sien qui était cependant illustre, car c'était alors la maison d'Aure qui possédait la vicomte d'Aster et remontait à Sanche-Garcie d'Aure, vicomte de Larbourt, au comté de Foix, en 1381.



C'est Menaud d'Aure, vicomte d'Aster, qui épousa en 1525 l'héritière des Gramont qui étaient princes, souverains de Bidache et de Barnache, dans le comté de Bigorre, alliés aux rois de Navarre et d'Aragon, et aux comtes de Béarn.



La maison de Gramont a exercé son autorité souveraine à Bidache jusqu'en 1789. Le titre de prince de Bidache appartient encore aux ducs de Gramont, avec celui de duc de Guiche, qui est toujours porté par le fils aîné du duc. Bidache avait sa milice spéciale, qu'on appelait les bandes Gramontoises et dont le prince nommait les officiers.



La belle Corisandre, veuve du comte de Gramont, Diane d'Andouins, dont Henri IV fut amoureux, lui envoya un renfort de vingt-quatre mille garçons qu'elle avait levés à ses frais. Henri IV l'en remercia en déposant à ses pieds, au château de Guiche, vingt-deux drapeaux pris sur l'ennemi.



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PORTRAIT DE DIANE D'ANDOINS
ET SA FILLE CATHERINE 



Les Gramont sont alliés à la maison de France par Christine de Noailles, qui était la tante du comte de Toulouse et la grand'tante du duc de Penthièvre, qui était lui-même le grand-père de Louis-Philippe.



Ils ont eu également une alliance avec la maison de Lorraine.



On compte dans cette maison deux maréchaux, six lieutenants-généraux, six cordons bleus, un chevalier de la Toison d'Or, des chevaliers de Malte, plusieurs cardinaux et évêques.



Antoine, comte de Gramont, fils de la belle Corisandre, épousa Louise de Roquelaure et en eut deux fils, beaux tous les deux, qui commencèrent la grande illustration de la famille à des titres divers. Ces deux fils furent le maréchal duc de Gramont, et le chevalier, puis comte de Gramont, dont les mémoires, écrits par son beau-frère Hamilton, sont restés célèbres, et obtinrent difficilement l'autorisation d'être publiés en France.



Le maréchal fut connu d'abord comme comte de Guiche. Il vint à quatorze ans à Paris "pour apprendre ses exercices", et fit ses premières armes auprès de Louis XIII, au siège de Montpellier, en 1621. Il servit ensuite en Italie, fut blessé au siège de Mantoue, et sa vie ne fut qu'une suite de batailles, en Italie, en Flandres, en Allemagne, en Catalogne. Il fut à l'assaut de Lerida, au son des violons, et contribua à la victoire de Lens.



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ANTOINE III DE GRAMONT
MARECHAL DE FRANCE 1641



Maréchal en 1641, colonel général des gardes-françaises, chevalier des ordres, il est créé duc et pair en 1663. Gouverneur de Bayonne, il est envoyé à Madrid, chargé de demander la main de l'infante Marie-Thérèse pour Louis XIV, et meurt à Bayonne, en 1678, vice-roi de Navarre et de Béarn.



On a de lui des mémoires intéressantes au point de vue militaire et diplomatique.



Il avait épousé une parente de Richelieu. Il savait prendre habilement le cardinal aux heures les plus difficiles.



Un jour, il le surprit dans son cabinet, en simple veste, sautant au mur, pour faire de l'exercice. Le cardinal n'aimait pas être surpris en pareille posture.


— N'est-ce que cela ? dit Gramont. Je parie d'en faire autant.



Et, sans attendre la réponse, il met habit bas et saute au mur avec le cardinal, qui rit de bon coeur.



Le frère du maréchal, Philibert, comte de Gramont, était un étourdi plein d'esprit, gentilhomme accompli, mais dont les aventures furent un peu vives.




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PHILIBERT DE GRAMONT



Cordon bleu et lieutenant-général du Béarn, il est exilé pour avoir osé faire la cour à Mlle de La Motte. Il se réfugie en Angleterre, y devient l'ami de Charles II. Gagnant beaucoup au jeu, Gramont menait une existence fastueuse et licencieuse aussi. Il avait courtisé Mlle Hamilton, et il songeait à rentrer en France pour éviter de l'épouser. Mais il fut rejoint à Douvres par les deux frères de la jeune fille, qui lui crièrent de loin :


— Comte de Gramont, n'avez-vous rien oublié ?

— Si fait, dit-il aussitôt, j'ai oublié d'épouser miss Hamilton.



Il retourna à Londres et épousa. Molière fit de cette aventure défigurée le sujet du Mariage forcé.



Le comte de Gramont était d'une bravoure bien connue ; il avait cédé par devoir et non par crainte.



Rentré en grâce auprès de Louis XIV, il écoutait, avec la Cour, le Miserere, de Lulli, à genoux, comme le Roi.


— Qu'en dites-vous ? dit le Roi en se relevant.

— Eh, sire, je dis que cette musique est bien douce aux oreilles et bien dure aux genoux.



Le maréchal laissait deux fils : Armand, comte de Guiche, qui se couvrit de gloire au passage du Rhin et dans d'autres batailles, et mourut de dépit d'avoir été battu par Montecuculli ; et Antoine-Charles, deuxième duc de Gramont, qui fut le père du second maréchal duc de Gramont. Mme de Sévigné disait du comte de Guiche qu'il était "seul de son air". Il était beau, spirituel et admirablement doué.



Celui-ci, né en 1672, maréchal en 1724 et mort en 1725, membre du conseil de régence, fut aussi un vaillant soldat, mais moins heureux que son grand-père. Il fut ambassadeur à Madrid et fut gouverneur général de la Navarre et du Béarn.




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PORTRAIT D'ANTOINE V DE GRAMONT
MARECHAL DE FRANCE EN 1724



C'est à lui qu'arriva la plus désagréable aventure, pour un courtisan.



Louis XIV ayant fait un madrigal, craignait les flatteurs ; il le montre au maréchal sans lui avouer sa paternité, se bornant à dire :


— N'est-ce pas que voilà un méchant madrigal ? 



Le maréchal lit à peine, fait la moue et répond :


— Votre majesté a bien raison ; il ne se peut rien voir de plus mauvais.

— Je m'en doutais, dit le Roi en riant. Il est de moi !



Ce second maréchal de Gramont eut trois fils, dont deux furent lieutenants-généraux. Le second fut tué d'un boulet à la bataille de Fontenoy. Son fils, sixième duc de Gramont, épousa Béatrix de Choiseul, soeur du duc de Choiseul, premier ministre, sur qui elle exerça une grande influence.




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PORTRAIT DE LA DUCHESSE DE GRAMONT
PAR ALEXANDRE ROSLIN VERS 1774



Arrêtée pendant la Terreur, elle monta à l'échafaud avec la duchesse du Châtelet, et montra comme elle un courage admirable et un souverain mépris de ses juges.



Son fils, qui avait émigré, fut général sous la Restauration. Il fut père du duc de Gramont, qui fut ambassadeur de Napoléon III et ministre des affaires étrangères en 1870, et du général duc de Lesparre.



Le duc actuel, qui a été un officier des plus distingués, est, on la sait, le fils de l'ancien ministre.



Il faudrait citer encore plusieurs personnages illustres de cette famille essentiellement militaire, où cependant les ambassadeurs furent nombreux.



On ne peut ignorer les Gramont quand on sait l'histoire de France. La race est des plus belles et des plus affinées ; tous ceux qui ont connu la duchesse de Gramont qui vient de mourir savent qu'elle avait épousé ce passé de gloire et qu'elle en avait conservé noblement la tradition dans l'éducation de ses enfants."







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lundi 22 août 2022

UN ACCIDENT DE TRAIN À SAMES-GUICHE AU PAYS BASQUE EN 1930

UN ACCIDENT DE TRAIN À SAMES-GUICHE EN 1930.


La gare de Sames-Guiche, mise en service en 1912, et fermée durant la deuxième moitié du 20ème siècle, était située sur la ligne ferroviaire Toulouse-Bayonne.


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SOUVENIR DE GUICHE




Voici ce que rapporta à ce sujet la presse locale, dans plusieurs éditions :



  • la Gazette de Bayonne, de Biarritz et du Pays basque, le 14 mars 1930 :

"Les Régions inondées. Au Béarn - L’accident de Same-Guiche.



La crue des eaux enregistrée au Pays Basque et dans le Béarn est arrêtée. Les eaux ont même recommencé à baisser. 



Les dégâts matériels ne sont pas considérables dans l’ensemble. 



Mais ce qu’il faut déplorer c’est l’accident de chemin de fer qui s’est produit près de Same-Guiche, accident qui a causé la mort d'un homme et en a blessé un autre très sérieusement. 



Nous avons donné hier les premiers renseignements sur cet accident, dans notre première édition, et nous les complétions dans la troisième. 



Pour tous nos lecteurs, rappelons les faits : 


Le train de marchandises 1 504, parti de Bayonne, gare du Midi, jeudi matin, à 3 h. 13, est tombé dans la plaine inondée à environ 1 500 mètres de la gare de Same, par suite d’un affaissement de la voie ferrée. 


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GARE DU MIDI BAYONNE
PAYS BASQUE D'ANTAN


Moura, le chauffeur de la locomotive a pu être sauvé. Il était resté accroché à un arbre. Il est grièvement brûlé et contusionné, et vient d'être transporté à l'hôpital de Bayonne



Quant au mécanicien, M. Tausy, demeurant rue Maubec. Il n’a pu être retrouvé et a été certainement noyé..."



pays basque autrefois basse-navarre
VUE GENRALE SAMES
PAYS BASQUE D'ANTAN



  • la Gazette de Bayonne, de Biarritz et du Pays basque, le 21 mars 1930 :

"Après l'accident de Sames-Guiche. 



On retrouve le cadavre du mécanicien. Hier matin, vers dix heures, les ouvriers occupés à sortir de leur fâcheuse position la locomotive et les wagons déraillés au cours de l’accident de Sames-Guiche, ont découvert, à environ cinquante mètres de la locomotive, le corps du malheureux mécanicien Tauzy. Un fourgon est parti aussitôt pour ramener le cadavre. La cérémonie religieuse aura lieu à Bayonne et L’inhumation à Gan, pays d'origine de Tauzy."



pays basque autrefois fleuve bidouze
BORDS DE BIDOUZE QUARTIER ST JEAN A SAMES
PAYS BASQUE D'ANTAN



  • la Gazette de Bayonne, de Biarritz et du Pays basque, le 29 mars 1930 :

"Les inondations et l'accident de Sames-Guiche. 


Le train enlisé.



Les voies précaires. — Ne conviendrait-il pas d’abandonner le tracé primitif entre Bayonne et Puyoô ? 



Il a déjà été dit beaucoup de choses sur les désastres causés par les inondations, dont notre région a eu sa part, relativement moins considérable heureusement, que dans le Midi, et dans la vallée de la Garonne. Nous n'en avons pas moins eu mort d’homme : ce mécanicien de la Compagnie du Chemin de fer du Midi qui a été noyé, quasi enlisé dans les marais de Sames-Guiche, tandis que son chauffeur était blessé à côté de lui. La cause immédiate de cet affreux malheur fut l’Adour qui nous avait habitués à plus de clémence. Mais on a cherché une cause plus lointaine mais qui n’en serait pas moins évidente, dit-on, et établi des responsabilités. Le passage d’une voie ferrée au milieu de marais, sans qu’on lui ait donné des assises assez solides, serait à l'origine de cet événement déplorable. Nous en reparlerons tout à l'heure, en analysant et en résumant aussi les propos tenus et les critiques formulées à cette occasion — auxquels on donne d'ailleurs une contrepartie sous la forme de suggestions tendant à modifier le tracé de la voie. 



Mais nous voulions rappeler que ce n'est pas la première fois, si nous nous en tenons à des récits qui sont rapportés par des auteurs dignes de foi, qu'on voit un train s'enliser. On fut témoin d'une catastrophe de ce genre, il y a déjà bien longtemps - c’était, croyons-nous pouvoir dire, au début du transport des voyageurs par chemin de fer à vapeur, dans le Nord. Et c'est avec connaissance de cause que nous employons le mot catastrophe, puisque toujours selon les récits du temps, un train tout entier aurait disparu, entrainant avec lui sous les terrains mouvants, un certain nombre de voyageurs. Du train on ne vit jamais plus rien. 



C'est à peu de distance de Douai, sur la ligne de Lille à Paris, dans la direction de la capitale, que le fait se produisit. Il y avait là des terrains qui se sont consolidés depuis et d'eux-mêmes et grâce, aussi, à la main des hommes. Ccs marais qui existent encore en partie sont les marais d’Arieux. D'ailleurs, d’autres catastrophes de chemin de fer, dues à d’autres causes, s'y produisirent par la suite, dont quelques-unes ont laissé dans cette région un souvenir terrible. 



nord autrefois marais
LES MARAIS 59 ARIEUX



A Sames-Guiche, heureusement, l'accident n’a pas revêtu une telle ampleur et une telle horreur. Néanmoins, ainsi que nous le rappelions tout à l’heure, un excellent homme, estimé de ses concitoyens et de ses chefs, y a perdu la vie. 



Peut-on prendre des dispositions de nature à éviter, dans l’avenir, de pareils accidents ? Beaucoup assurent que oui.



Après la catastrophe du 13 courant, sur la voie ferrée de Sames-Guiche, l'opinion publique demande aujourd'hui plus fort que jamais la rectification de cette voie.



Le public sait les précautions qu'on a prises à Bayonne pour tracer des ponts et des voies dans le voisinage de la Nive et de l’Adour



Jamais précautions semblables n'ont été prises pour asseoir, dans les fameux marais de Sames et de Guiche, la voie ferrée. Le sous-sol des barthes meurtrières est aussi boueux que celui du confluent des deux rivières de Bayonne. Pour établir la sécurité dans de tels parages, il faudrait engager des dépenses formidables, pour empêcher que l’accident du 13 par défoncement de la voie, se renouvelle. Il y a des exemples ailleurs, où les Compagnies des voies terrées ont été contraintes d'abandonner les tracés primitifs. Dans ce pays, peuplé et productif, en même temps qu'accidenté, que traverse la ligne de Puyoô-Bayonne, point n’est besoin de passer sur un terrain d’origine géologiquement récente et sans cesse détrempé par les marées quotidiennes. 



pays basque autrefois train déraillement
TRAIN A SAMES-GUICHE 13 MARS 1930



Nous ne voulons pas agiter l’épouvantail, ni éveiller des timidités chimériques, nous disons simplement que tant que la ligne ferrée ne passera pas en dehors des marais de Sames-Guiche, les inquiétudes des voyageurs seront fondées. Aujourd'hui, la Compagnie du Midi va probablement assumer la responsabilité de l'accident du 13. Il vaudrait mieux pour elle que dans ce milieu marécageux et particulièrement dangereux, sa responsabilité ne fût jamais mise à l’épreuve.



Nous ne doutons pas que la Compagnie du Midi ait à cœur d’éviter le retour d’accidents aussi déplorables que celui qui eut lieu ces jours derniers et qu’elle mette à l'étude la question que lui posent et les événements et ceux qui les commentent, en vue d’assurer la sécurité à tous."








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lundi 2 octobre 2017

LES CERISES DE GUICHE EN LABOURD AU PAYS BASQUE


LES CERISES DE GUICHE EN 1942.

On connaît au Pays Basque les cerises d'Itxassou, mais les cerises de Guiche étaient aussi renommées depuis longtemps.