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vendredi 3 janvier 2025

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 3 JANVIER 2025 SAINTE GENEVIÈVE - INGE ET JENOFA


PROVERBE DU 3 JANVIER 2025 (SAINTE GENEVIÈVE) (INGE) (JENOFA).


GENEVIÈVE : Geneviève naît à Nanterre vers 420.





religion catholique saint sainte genevieve
3 JANVIER SAINTE GENEVIEVE


Issue de la haute noblesse gallo-romaine, Geneviève se voue à Dieu dès sa plus tendre enfance tout en exerçant de hautes responsabilités dans la cité.

En 451, Geneviève convainc les habitants de ne pas abandonner leur cité aux Huns et elle détourne la colère d'Attila par ses prières.

Geneviève reçoit les fidèles dans l'ermitage de la montagne qui porte aujourd'hui son nom, au coeur de l'actuel Quartier latin de Paris.

C'est là que Geneviève meurt en 502, à l'âge de 89 ans, et elle est inhumée au même endroit.

Sur son tombeau, le Roi Clovis, son plus célèbre disciple, fait bâtir la basilique des Saints Apôtres.

Geneviève est la sainte patronne de Paris, du diocèse de Nanterre et de la Gendarmerie.





religion catholique saint sainte genevieve
3 JANVIER SAINTE GENEVIEVE



INGE : Eskandinaviar izena 1150etan Ahetzen.



JENOFA : Parise zaindu zuen "Geneviève" neskatoa (V).


(...) Jenobeba - Jatorri zelta duen latineko Genovefa izenetik dator, frantsesezko Geneviève bitarteko dela, Jenobeba santua Parisen bizi izan baitzen, V. mendean. Jaieguna urtarrilaren 3an da. 

Aldaera : Jenofa. Baliokideak : Genoveva (es) eta Geneviève (fr).




Un décès du 3 janvier : Ferdinand Louis Félix Le Peletier de Saint-Fargeau.



révolution france babeuf noble
FERDINAND LOUIS FELIX LE PELETIER DE SAINT-FARGEAU



Né le 1er octobre 1767 à Paris - Mort le 3 janvier 1837 à Neuilly (Hauts-de-Seine).

C'est un révolutionnaire français, qui s'engage en politique après l'assassinat de son frère Louis-Michel, en janvier 1793 et qui deviendra une personnalité politique influente dans les milieux jacobins.

Félix est le descendant d'une famille de la noblesse de robe, et son père est président à mortier du Parlement de Paris.

Au début de la Révolution française, il commence une brillante carrière dans les armes et sert comme aide de camp auprès du prince de Lambesc, parent de Marie-Antoinette.

Après la prise de la Bastille et l'abolition des privilèges (4 août 1789), sa famille émigre mais lui reste à Paris.

Il joue un rôle important lors des obsèques de son frère Michel, héros national et premier "martyr de la liberté" assassiné par un ancien garde du corps du roi Louis XVI.

Grâce à l'aura de son frère défunt, Félix est admis au Club de Jacobins, en juillet 1793, et élu secrétaire de ce club, en août.

Sous la Terreur, il n'est guère inquiété.

Après le 9 Thermidor an II (27 juillet 1794) et la chute de Robespierre, son attachement à l'idéal démocratique ne se dément pas sous la réaction thermidorienne, le Directoire, le Consulat, l'Empire et la Restauration.

Grâce à sa fortune, il finance diverses feuilles, tâtant lui-même du journalisme.

Entré en relation avec Gracchus Babeuf, Félix devient l'un de ses principaux bailleurs de fonds.

En germinal, il fonde le Directoire secret de salut public avec Babeuf, Antonelle et Sylvain Maréchal.

Après l'échec de la conspiration des Egaux, il est jugé par contumace à Vendôme, il est acquitté en mai 1796.

Obéissant alors au voeu de Babeuf, il subvient aux besoins de la famille du Tribun du Peuple et adopte son fils aîné, Emile, dont il paie l'éducation.

Après le coup d'Etat du 18 brumaire, qui conduit Bonaparte au pouvoir, la répression s'abat sur les milieux jacobins et Félix est condamné à la déportation à Cayenne.

Arrêté en janvier 1801, il est transféré à l'île de Ré.

De retour en 1803 à Paris, il est envoyé en résidence surveillée à Genève.

En décembre 1804, il bénéficie d'une amnistie lors du sacre de Napoléon, mais refuse la Légion d'honneur que Carnot lui a fait offrir.

De retour en France, après un an de proscription, en 1805, Félix est placé sous surveillance spéciale jusqu'en 1806 et ne dispose ni de liberté d'action ni de liberté de déplacement et tout séjour à Paris et dans ses environs lui est interdit.

Il se retire alors en Normandie et le régime lui offre, en 1811, une place de maire de Bacqueville.

Au retour des Bourbons, il refuse de prêter le serment de fidélité au roi et il démissionne de ses fonctions.

Lors des Cent-Jours, il est élu député à la chambre des députés par le collège électoral de Dieppe.

Après le retour des Bourbons, Félix est arrêté en juillet 1815 et mis en prison.

Libéré, il est de nouveau arrêté et il est décrété de bannissement.

Il quitte alors la France et rejoint la Belgique, puis l'Allemagne.

En avril 1819, il obtient de pouvoir rentrer en France.

Là, Félix continue à mener une action politique active, fréquentant les milieux libéraux.

Dès la fin de 1830, il s'engage dans l'opposition républicaine et démocrate à la monarchie de Juillet et il entre dans des sociétés républicaines.

La même année, il reprend et complète une Histoire de la Révolution et de la Restauration, commencé en 1816, poursuivi en 1826-1828 et achevé en 1834.

Il meurt le 3 janvier 1837, à 69 ans.



    Voici le proverbe du vendredi 3 janvier 2025 :


    IGUZKIAK ERRETZEN BADU URTARRILA, ZOAZI ESKE-ZAKUAREN BILHA.

    Si le soleil brûle en janvier, cherche ton sac pour mendier.



    pays basque autrefois mendiant
    MENDIANT
    PAYSS BASQUE D'ANTAN




    (Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)


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