PROVERBE DU 18 MAI 2025 (SAINT ÉRIC) (SAINT FÉLIX DE CANTALICE) (CORALIE) (CORINNE) (ERIK).
ÉRIC : Fondateur de la dynastie des Erik, Eric succède à son père sur le trône de Suède en 1156.
18 MAI SAINT ERIC |
Eric le Saint lance une croisade pour convertir les Finnois et doit affronter les Danois.
Tué sur le champ de bataille le 18 mai 1160 par le prince danois Magnus Henriksen, Eric est considéré comme le patron de la Suède et le jour de sa mort est fête nationale.
18 MAI SAINT ERIC |
FÉLIX DE CANTALICE : Félix de Cantalice, né en 1515 à Cantalice (Latium, Italie), mort à Rome le 18 mai 1587, est un frère mineur capucin, canonisé par l'Eglise catholique.
Felice Porri naît dans une famille de paysans.
A la suite d'un accident de labour, Félix est sauvé miraculeusement en 1543 et entre chez les Capucins, dans le couvent d'Anticoli di Campagna.
En 1551, Félix est envoyé à Rome, comme frère quêteur, au couvent San Niccolo de Portiis.
Il y devient ami de plusieurs grands personnages de l'époque, comme Charles Borromée et surtout Philippe Néri.
Il se rend célèbre par ses austérités, sa charité et sa verve plaisante.
En 1580, lorsque la peste frappe Rome, il est chargé par la municipalité de collecter des fonds en faveur des miséreux.
Il reste connu sous le nom de "frère Deo gratias".
Il meurt le 18 mai 1587, le peuple romain réclame aussitôt sa canonisation.
Il est béatifié le 1er octobre 1625 par le pape Urbain VIII et canonisé le 22 mai 1712 par le pape Clément XI.
L'Eglise catholique le célèbre le 18 mai.
ERIK : Erik buruzagi Vikingoa ikastolako zerrendatik.
(...) Erik - Norvegiatik datorren izena, Groenlandia kolonizatu zuen Erik Gorria buruzagi vikingoari esker ezaguna. Jaieguna maiatzaren 18an da. - - (...)
Un décès du 18 mai : Francisque Michel, né François-Xavier Michel.
Né le 18 février 1809 à Lyon (Rhône) - Mort le 18 mai 1887 à Paris.
Francisque est un philologue et médiéviste français.
Infatigable fouilleur d'archives, il publie de très nombreux manuscrits du Moyen Âge, et prend position dans la défense des juifs ou des cagots.
Sa scolarité, après une interruption en 1822, se poursuit après octobre 1826 au collège royal Charlemagne à Paris, son père, marchand de vin, s'étant installé à Paris.
A partir de juillet 1827, il effectue des va-et-vient, entre Paris et Lyon, et des études morcelées.
Francisque obtient son baccalauréat, à Paris, en janvier 1830, plus âgé de 3 ans que la moyenne.
Il s'inscrit à l'Ecole des chartes dès sa réouverture en janvier 1830, en vue du concours de fin d'année, auquel il échoue.
A 21 ans, il a visité à Paris tous les grands dépôts de livres et d'archives, et lu un nombre incroyable de manuscrits médiévaux.
N'ayant ni emploi fixe ni diplôme de grande valeur, il se charge également de commissions de librairie pour les érudits lyonnais.
Ses talents de bibliographe lui valent d'être adjoint, en novembre 1832, à l'équipe chargée de continuer la table chronologique des chartes imprimées relatives à l'histoire de France.
En juin 1833, Francisque demande au ministre de l'Instruction publique une mission littéraire au British Museum de Londres.
Il en revient avec une moisson considérable de textes médiévaux, ayant identifié, entre autres, en 1835, le plus ancien manuscrit de notre Chanson de Roland.
C'est à ses frais qu'il en donne en 1837 une édition confidentielle et il part en Ecosse la même année.
En avril 1838, il est fait chevalier de la Légion d'honneur, puis nommé en février 1839 à la chaire de littérature étrangère de la faculté des lettres de Bordeaux, où il enseigne dès novembre.
Francisque passe sa licence en 1842, puis son doctorat en 1846, ayant accumulé titres et décorations à l'étranger.
Il a d'abord publié de la poésie.
Comme Charles Nodier, il fait des recherches sur les littératures marginales, sur les bizarreries de l'histoire ou du langage et sur tout ce qui peut secouer le conservatisme classique.
Dépourvu de préjugés sociaux, il ébauche une défense des juifs en 1834 dans son édition de Hugues de Lincoln et travaille longtemps sur une Histoire des races maudites de la France et de l'Espagne, dans laquelle il défend aussi, notamment, les cagots.
Très intrigué par les moeurs des classes dangereuses (cours des miracles), il tente de composer une encyclopédie de leur langage dans ses Etudes de philologie comparée sur l'argot, en 1856.
Entre 1834 et 1936, Francisque édite beaucoup d'oeuvres du 11ème au 14ème siècle en français, anglais et saxon, dont le Roman de la rose.
Il édite ensuite des traductions françaises de Goldsmith, Sterne, Shakespeare et Tennyson.
Il meurt le 18 mai 1887, à 78 ans.
Il est l'un des acteurs principaux de la Renaissance médiévale.
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MEDIEVISTE FRANCISQUE MICHEL |
Voici le proverbe du dimanche 18 mai 2025 :
MAIATZ ILUNA TA BAGIL ARGIA, URTE GUZIKO OGIA.
Mai sombre et juin ensoleillé, c'est du pain pour toute l'année.
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LE JOLI MOIS DE MAI PAR EBNER |
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