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vendredi 21 novembre 2025

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 21 NOVEMBRE 2025 PRÉSENTATION DE LA VIERGE MARIE AU TEMPLE ET SAINT ALBERT - AURKENE

 

PROVERBE DU 21 NOVEMBRE 2025 (PRÉSENTATION DE MARIE AU TEMPLE) (SAINT ALBERT DE LOUVAIN) (RUFUS) (AMAURY) (AURKENE).


PRÉSENTATION DE LA VIERGE MARIE AU TEMPLE : c'est une fête catholique (considérée comme une Mémoire obligatoire) et orthodoxe (une des Douze Grandes Fêtes).



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21 NOVEMBRE PRESENTATION DE LA VIERGE MARIE AU TEMPLE


Elle est aujourd'hui célébrée le 21 novembre en Occident comme en Orient.



ALBERT DE LOUVAIN : Saint Albert de Louvain (ou Albert de Liège) naît vers 1166 à Louvain (Belgique).



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21 NOVEMBRE SAINT ALBERT DE LOUVAIN


Albert de Louvain est fait chanoine de la cathédrale de Liège dès l'âge de 12 ans.

A 21 ans, Albert y renonce pour se mettre au service de Baudouin V de Hainaut, comme chevalier.

Le duc Albert de Louvainde retour de croisade, est élu prince-évêque de Liège, à l'âge de 25 ans, en 1191.

L'empereur d'Allemagne refuse l'accession de ce Brabançon à l'influent siège épiscopal de Liège.

Albert doit aller plaider sa cause à Rome.

A son retour, de passage à Reims, Albert est assassiné par 2 chevaliers allemands à la solde de l'empereur, le 24 novembre 1192 à Reims (Marne).

Reconnu comme saint par l'Eglise catholique, Albert de Louvain est liturgiquement commémoré le 24 novembre en Belgique et le 21 novembre ailleurs.




AURKENE : Mariaren aurkezpena. Gaztelaniaz "Presentacion"en pare.

Deun-ixendegi euzkotarra lanean azaltzen da, gaztelaniazko Presentacion izenaren baliokide femeninotzat ; Andre Maria tenpluan aurkeztea dakarkigu gogora. 583. urtean Konstatino enperadoreak Jerusalem eliza bat sagaratzeko agindu zuen. Jaia ekialdean sortu zen eta handik zabaldu zen kristau munduan barrena. 1585. urtean Sixto V.ak eliza osorako ofizialdu zuen. Jaia azaroaren 21ean da.




Un décès du 21 novembre : Joseph Caillaux.




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PHOTO DE JOSEPH CAILLAUX 1925
PAR AGENCE ROLL



Né le 30 mars 1863 au Mans (Sarthe) - Mort le 21 novembre 1944 à Mamers (Sarthe).

Joseph est un homme politique français.

Fils d'un ministre des Finances de Mac Mahon en 1877, il est élevé par un précepteur clérical fanatique puis par les jésuites, ce qui, par réaction, va l'amener à adopter des idées républicaines.

Il fait ses études secondaires au lycée du Mans puis au lycée Fontanes à Paris, où il suit l'enseignement public jusqu'au baccalauréat.

Poussé par son père, il tente d'entrer à Polytechnique en 1883, mais il échoue, n'arrivant que 303ème pour 227 admis.

Joseph effectue ses études supérieures à la faculté de Paris où il obtient une licence en droit.

Il étudie également à l'Ecole libre des sciences politiques en 1888, et prépare parallèlement le concours de l'Inspection générale des finances.

Reçu sans peine second en 1888, il commence sa carrière comme adjoint à l'inspection générale des finances et effectue pendant 10 ans de multiples tournées en province.

Dans le même temps, ses convictions républicaines s'affirment.

Lors des élections municipales et cantonales de 1896, Joseph tente de succéder à son père comme maire et conseiller général d'Yvré-l'Evêque, mais il est battu.

Lors des élections législatives de mars 1898, il est élu député de la Sarthe et il le restera jusqu'en 1919.

Il s'inscrit au groupe des républicains progressistes et devient membre des commissions des crédits, des colonies et de la législation fiscale.

Il se lie avec Pierre Waldeck-Rousseau, pour lequel il professe une grande admiration, mais aussi Paul Deschanel, Gaston Doumergue, Raymond Poincaré, Louis Barthou, Maurice Rouvier et Théophile Delcassé.

En juin 1899, Joseph devient ministre des Finances.

Après la victoire de la gauche lors des élections de 1902, il quitte le pouvoir, à la suite de Waldeck-Rousseau.

Après les élections de 1906, il est élu vice-président de la Chambre, mais il abandonne bientôt ces fonctions, préférant se réserver pour des fonctions ministérielles.

Il épouse, en août 1906, Berthe Gueydan, dont il divorce en mars 1911.

Du 25 octobre 1906 au 20 juillet 1909, Joseph est ministre des Finances dans le gouvernement Clemenceau, avec un projet d'un impôt progressif sur le revenu, en 1907.

En 1908, il est à l'origine de l'Association française de cautionnement mutuel, destinée à démocratiser l'accès aux fonctions de comptable public.

Il est l'un des précurseurs de la lutte contre les paradis fiscaux et il essaie de limiter les fraudes sur les droits de succession, en mars 1908.

Refusant d'entrer dans le gouvernement Briand, il entreprend plusieurs voyages à l'étranger, particulièrement en Egypte, en Palestine, en Syrie et au Liban, pour remplir ses nouvelles fonctions de président du conseil d'administration des Crédits fonciers égyptiens et argentins.

En 1911, une commission d'enquête parlementaire présidée par Jaurès met en cause Joseph, accusé de collusion avec Henri Rochette, spéculateur véreux.

Divorcé en mars 1911, il se remarie en octobre avec Henriette Raynouard, divorcée de l'écrivain Léo Claretie, avec laquelle il entretenait une liaison depuis 1907.

En 1911, il se rapproche du Parti radical et en juin, Armand Fallières lui demande de constituer un nouveau gouvernement, qui va durer du 27 juin 1911 au 14 janvier 1912. Il en sera aussi le Ministre de l'Intérieur et des Cultes.

Lors de l'élection présidentielle de 1913,  il apporte son soutien officiel à Jules Pams, tout en soutenant Paul Deschanel mais c'est Raymond Poincaré qui l'emporte.

En décembre 1913, Joseph devient ministre des Finances dans le gouvernement Doumergue.

En 1914, il subit une dure campagne de presse, dont Le Figaro et cela conduit Henriette Caillaux à assassiner Gaston Calmette, directeur du quotidien, le 16 mars 1914. Il est contraint de démissionner.

Il est réélu aux législatives de 1914 contre Louis d'Aillières, qu'il provoque en duel mais il n'y aura pas de blessé.

Hostile à la guerre, il devient le chef de file des partisans d'une paix sans annexions ni indemnités.

Lors du début de la Première Guerre mondiale, Joseph est mobilisé et sert comme trésorier payeur aux armées.

Il est chargé de missions en Argentine (1914) et en Italie (1917).

Après l'arrivée au pouvoir, en novembre 1917, de son vieil ennemi Clemenceau, il est impliqué dans les affaires Bolo Pacha et du "Bonnet rouge" et accusé par Daudet de "trahison".

La Chambre vote la levée de son immunité parlementaire  en décembre 1917 et il est arrêté, en janvier 1918, pour "intelligence avec l'ennemi".

Joseph est traduit devant le Sénat, constitué en Cour de Justice.

Il est jugé deux fois, avant d'être condamné en février 1920, à 3 ans d'emprisonnement et à la privation de ses droits civiques.

Obligé de quitter Paris, il ne revient qu'après la victoire du Cartel des gauches aux élections de 1924.

Il est finalement amnistié par le Cartel, en janvier 1925, après un vote favorable de la Chambre des députés, proposée par le gouvernement Herriot, et reprend aussitôt sa carrière politique.

Réhabilité, Joseph retrouve en juillet 1925 son siège de conseiller général dans la Sarthe et, en septembre, la présidence du conseil général de la Sarthe (qu'il conserve jusqu'en 1940), et il se fait élire, en juillet 1925, sénateur.

En avril 1925, il est nommé ministre des Finances dans le gouvernement Painlevé, avec pour mission de rétablir une situation financière jugée particulièrement critique.

Après la chute du gouvernement Painlevé, en octobre 1925, il retrouve son siège au Sénat, au sein de la Gauche démocratique.

Du 23 juin 1926 au 19 juillet 1926, il accepte de nouveau le portefeuille des finances (éphémère) dans le gouvernement Aristide Briand, avec le titre de vice-président du Conseil.

Joeph est réélu au Sénat, en janvier 1927 et janvier 1936 et il préside, de 1932 jusqu'en juillet 1940, la commission des finances.

Sous le Front populaire, il vote les congés payés, les conventions collectives, les 40 heures, les hausses de salaires, l'organisation du marché du blé, le contrôle de la Banque de France et la dévaluation du franc.

Mais, en 1937 comme en 1938, il contribue de façon décisive à la chute des gouvernements Blum.

Après l'armistice du 22 juin 1940, il est placé en garde à vue pendant quelques jours.

En juillet 1940, Joseph fait partie des parlementaires qui votent les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, puis se retire avec sa femme dans sa propriété de Mamers (Sarthe).

Il s'éloigne très rapidement du régime et décide de refuser de poursuivre ses activités politiques.

Il passe ses dernières années à compléter et achever ses mémoires publiés en 1942-1943.

Il meurt le 21 novembre 1944 à 81 ans, presque oublié.



homme politique sarthe finances sénateur
JOSEPH CAILLAUX



Voici le proverbe du vendredi 21 novembre 2025 :


ETXETIK URRUNAGO, BIHOTZA ETXERAT AIHERRAGO.

Plus on s'éloigne de la maison, plus le coeur vous y porte.


biarritz autrefois pays basque labourd port barques
PÊCHEURS BASQUES BIARRITZ - MIARRITZE
PAYS BASQUE D'ANTAN




(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)



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