PROVERBE DU 1er AVRIL 2025 (SAINTE MARIE L'ÉGYPTIENNE) (SAINT HUGUES) (HUGO).
HUGUES : Hugues de Grenoble ou Hugues de Châteauneuf naît à Châteauneuf-sur-Isère (Drôme) en 1053 et décède le 1er avril 1132.
1ER AVRIL SAINT HUGUES DE GRENOBLE
Hugues manifeste, dès son plus jeune âge, une très grande piété et un goût certain pour la théologie.
Encore laïc, Hugues est fait chanoine de Valence.
Au concile d'Avignon, en 1080, Hugues est choisi comme évêque de Grenoble, sans avoir été ordonné.
C'est le pape Grégoire VII qui l'ordonne à Rome.
Il vit un siècle avant Aliénor d'Aquitaine (1122 ou 1124 - 1204), à l'époque où la papauté se préoccupait de tirer l'Occident des ténèbres.
Hugues participe à la réforme des moeurs ecclésiastiques dans son diocèse de Grenoble.
Au bout de 2 ans, il veut se démettre de son évêché pour se retirer au monastère bénédictin de Cluny mais le pape l'oblige à continuer son travail dans son diocèse.
Hugues contribue à la fondation de l'Ordre des Chartreux.
En 1084, il reçoit saint Bruno, son ancien maître.
Il est canonisé le 22 avril 1134 par le pape Innocent II.
Hugues est commémoré le 1er avril selon le Martyrologe romain, et dans le diocèse de Grenoble-Vienne.
1ER AVRIL SAINT HUGUES DE GRENOBLE
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| 1ER AVRIL SAINT HUGUES DE GRENOBLE |
MARIE L'ÉGYPTIENNE : Marie l'Egyptienne est une sainte qui aurait vécu au 5ème siècle en Palestine.
1ER AVRIL SAINTE MARIE L'EGYPTIENNE
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| 1ER AVRIL SAINTE MARIE L'EGYPTIENNE |
Elle est fêtée dans l'Eglise orthodoxe et dans l'Eglise catholique, le 1er avril.
HUGO : A.M. Arteta (Nafarroa).
Hugo (es), Hugues (fr), Hugh (en).
Une naissance du 1er avril : Jean-Etienne-Marie Portalis, dit Portalis l'Ancien.
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| PORTRAIT DE JEAN-ETIENNE-MARIE PORTALIS 1806 PAR CLAUDE GAUTHEROT |
Né le 1er avril 1746 au Beausset (Var) - Mort le 25 août 1807 à Paris.
C'est un avocat, homme d'Etat, jurisconsulte, philosophe du Droit français, membre de l'Académie française et Grand aigle de la Légion d'honneur.
Il est connu pour avoir été l'un des rédacteurs du Code civil.
Portalis est issu d'une vieille famille bourgeoise.
Il étudie chez les Oratoriens de Toulon puis de Marseille, et suit les cours de l'Ecole de droit d'Aix-en-Provence.
En 1763, il publie son premier essai et sa première brochure qui fait quelque bruit dans sa province : Des préjugés.
Reçu avocat en 1765, il débute avec succès au barreau d'Aix et ne tarde pas à s'imposer parmi les tous premiers jurisconsultes de Provence.
Portalis se forge très vite une réputation, exerçant ses talents dans plusieurs procès retentissants comme celui contre Beaumarchais ou celui de Mirabeau.
A 22 ans, il est initié franc-maçon puis rejoint la loge les Arts et l'Amitié à l'Orient d'Aix-en-Provence dont il est successivement orateur puis vénérable.
En 1776, il épouse Marguerite Françoise Siméon, avec laquelle il aura un fils, en 1778.
En 1787, il devient le second des 4 administrateurs électifs (procureurs du pays) de la province de Provence.
En 1789, Portalis adopte et défend les idées révolutionnaires au parlement de Provence et au conseil municipal d'Aix.
En 1790, il refuse d'être commissaire du roi pour l'organisation d'un des 3 départements formés de l'ancienne Provence.
Se présentant comme un monarchiste constitutionnel, il est élu au comité central d'organisation des gardes nationales.
Mais très vite, il se détache des "excès" de la révolution.
De nombreuses émeutes agitent la Provence et sa vie est menacée à plusieurs reprises.
Portalis se retire avec les siens à Saint-Cyr-sur-Mer (Var) et y demeure à l'écart des affaires jusqu'en février 1792, arrêtant également sa carrière d'avocat.
Mais, après la fuite du roi à Varennes et la prise de pouvoir par les révolutionnaires radicaux en 1792, il redevient avocat.
En janvier 1793, en plein procès de Louis XVI, il rédige et plaide une défense du Roi devant de nombreuses personnes.
Dès lors, il vit traqué par les révolutionnaires, dans la banlieue de Lyon, puis à Paris, où, dénoncé, il est arrêté et emprisonné le 31 décembre 1793.
Portalis doit son salut à la chute de Robespierre, le 27 juillet 1794.
Il se fixe alors à Paris, y reprend sa profession d'avocat et se fait élire, en 1795, député de la Seine au Conseil des Anciens, dans les rangs du parti contre-révolutionnaire qui fait au Directoire une vive opposition.
Il unit ses efforts à ceux de Joseph Jérôme Siméon (son beau-frère), de Barbé-Marbois, de Lebrun et autres, s'oppose à la création d'un ministère de la Police, est secrétaire, puis président de l'assemblée, prend la défense des prêtres et des émigrés, se prononce contre les sociétés populaires et est mêlé à l'affaire de la conspiration de La Villeheurnois.
Il est, comme royaliste, condamné à la déportation lors du coup d'Etat du 18 fructidor an V (4 septembre 1797).
Portalis se cache chez le banquier de Lessert à Passy, peut gagner la Suisse, puis le duché de Holstein en Allemagne, où il est hébergé, deux ans durant, par le comte et la comtesse de Reventlow.
Il ne rentre en France qu'après le coup d'Etat du 18 Brumaire (9 novembre 1799).
Napoléon Bonaparte le nomme d'abord commissaire du gouvernement près le Conseil des prises ; puis, commissaire, avec Tronchet, Bigot de Préameneu et Maleville, pour la rédaction du Code civil.
Conseiller d'Etat en septembre 1800, il se voit chargé principalement de toutes les affaires concernant les cultes qu'il réorganise.
Portalis prend personnellement la plus grande part au Concordat de 1801 conclu avec le pape Pie VII.
Membre de la Légion d'honneur en septembre 1803, Grand officier de l'ordre en juin 1804, et Grand aigle en février 1805, il est nommé, en juillet 1804, ministre des Cultes.
En 1803, il entre à l'Institut de France dont il s'occupe de la réorganisation.
Atteint alors d'une cécité presque complète, en 1806, il se fait opérer de la cataracte par le chirurgien célèbre Joseph Forlenze, mais l'opération est un échec.
Portalis meurt le 25 août 1807, à 61 ans, sans avoir recouvré la vue définitivement.
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| JEAN-ETIENNE-MARIE PORTALIS |
Voici le proverbe du mardi 1er avril 2025 :
APIRIL ONA IKUSTEKO EHUN URTE BIZI BEHAR OMEN DA.
Pour voir un bel avril, il faut, dit-on, vivre cent ans.
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| 1ER AVRIL AVRIL MOIS DU POISSON |
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