PROVERBE DU 13 NOVEMBRE 2020 (SAINT BRICE) (SAINT STANISLAS) (MONIKA).
BRICE : Brice est un enfant trouvé que Saint Martin confie au monastère de Marmoutier.
13 NOVEMBRE SAINT BRICE DE TOURS |
Moine, puis prêtre, il est finalement choisi par Saint Martin, dont il se moque ouvertement, pour le remplacer à sa mort, comme évêque de Tours.
Brice, à l'inverse de Saint Martin, dont il méprisait la pauvreté absolue, préférait s'entourer de jolies servantes et esclaves, ainsi que de beaux chevaux.
Bien que prêtre indigne, Brice succède à son bienfaiteur à la tête du diocèse de Tours en 397 et il devient ainsi le 4ème évêque .
Brice meurt en 444.
Brice sera canonisé et enterré auprès de son bienfaiteur.
Brice est le patron des juges.
STANISLAS : Saint Stanislas Kostka, né le 28 octobre 1550 à Rostkowo (Pologne) et mort le 15 août 1568 à Rome, est un novice jésuite polonais.
Ayant fui sa famille et ses frères pour pouvoir entrer chez les jésuites, il meurt à Rome peu après avoir commencé son noviciat à Saint-André du Quirinal.
Il est béatifié le 14 août 1605 par le pape Paul V, canonisé le 31 décembre 1726 (avec Louis de Gonzague) par le pape Benoît XIII et liturgiquement commémoré le 13 novembre.
Il est le saint patron des novices jésuites, des étudiants, de la jeunesse et un des saints patrons de la Pologne.
MONIKA : Alarguna, San Agustinen ama (+387).
Etimologia iluna duen latineko Monnica iznetik. Batzuen ustez grezierako monakos "eremutarra", "bakardadean bizi dena" dukegu oinarrian. Beste batzuen ustez, berriz, latineko monna "emaztea" hitzetik datorke, n bikoitza baitzuen. Santa Monika san Agustinen ama izan zen. Santuaren eguna abuztuan 27an da. Aldaera : Monike (Deun-ixendegi euzkotarra). Baliokideak : Monica (es) eta Monique (fr).
Une naissance du 13 novembre : Helene Stöcker.
Née le 13 novembre 1869 à Elberfeld (Wuppertal, Allemagne) - Morte le 24 février 1943 à New York (Etats-Unis).
C'est une militante pacifiste, féministe, journaliste et essayiste politique allemande.
Majeure, Stöcker quitte la maison de ses parents et va à Berlin, où
Elle intègre le mouvement féministe.
A partir de 1890, elle étudie les oeuvres de Nietzsche et partage quelques unes de ses vues radicales sur l'Etat, l'Eglise et les représentations morales dominantes.
En 1896, elle commence des études de germanistique, de philosophie et de sciences sociales.
Après un séjour scolaire à Glasgow, Stöcker passe son doctorat de philosophie à l'université de Berne en 1901, où les femmes sont autorisées à passer des examens depuis plusieurs années.
Elle s'implique activement dans le mouvement de "révolution sexuelle" féminine.
Elle fonde, en 1905, l'Union pour la protection des mères, qui devient, à partir de 1908, l'Union pour la protection des mères et la réforme sexuelle.
Lors de la Première Guerre mondiale, Stöcker fonde l'Union des objecteurs de conscience.
Lorsque les nationaux-socialistes arrivent au pouvoir en Allemagne, elle s'exile aux Etats-Unis, en passant par la Suisse et la Suède.
Elle meurt, dans la misère, d'un cancer, le 24 février 1943, à 73 ans.
HELENE STÖCKER |
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