PROVERBE DU 29 AOÛT 2023 (SAINTE SABINE) (SAINT MÉDÉRIC) (DÉCOLLATION DE SAINT JEAN BAPTISTE) (UGUTZ).
SABINE : Sabine ou Savine de Rome est une martyre légendaire des premiers siècles.
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| 29 AOÛT SAINTE SABINE DE ROME |
Sabine est une sainte catholique et orthodoxe, morte à Vindena, en Ombrie (Italie) le 29 août 126, sous le règne de l'empereur Hadrien.
On lui a consacré une basilique, Sainte Sabine de Rome, qui fut construite sur les terres d'un riche Romaine, en 425.
Elle est fêtée le 29 août sous le nom de sainte Sabine.
Sainte Sabine, ayant beaucoup voyagé selon sa légende, est représentée avec les attributs du pèlerin : bourdon, pèlerine avec capuchon ou grand chapeau, besace, livre et parfois la palme du martyre.
MÉDÉRIC : Médéric ou Merry est un moine ermite né dans le Morvan près d'Autun (Saône-et-Loire) et décédé à Paris le 29 août 700.
29 AOÛT SAINT MERRI
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| 29 AOÛT SAINT MERRI |
Né dans une famille illustre de l'Autunois, il est offert à l'âge de 13 ans comme oblat à l'abbaye de Saint-Martin d'Autun.
Il y reçoit une éducation de prières, d'obéissance et de chasteté.
Médéric étonne ses condisciples par l'observance d'une discipline rigoureuse, ne mangeant que du pain d'orge trempé dans l'eau, seulement 2 fois par semaine.
Il vit ainsi pendant des années, se cachant des autres moines, acquérant une réputation de sainteté.
A la mort de l'abbé de Saint-Martin, vers 680, Médéric est élu abbé de l'abbaye.
Mais il décide de se retirer dans la solitude morvandelle, près d'Autun, pour être seul avec Dieu.
Menacé d'excommunication par l'évêque, il est obligé de revenir au monastère.
Avec un jeune moine Frodulphe, dit aussi saint Fou, il fait un pèlerinage au tombeau de Saint Denis et de saint Germain à Paris.
Sur le chemin, les deux moines multiplient les miracles.
Médéric meurt le 29 août 700 et son tombeau fait l'objet d'une véritable vénération, en raison des miracles accomplis.
Médéric est le saint patron des prisonniers et des malades.
DÉCOLLATION DE JEAN BAPTISTE : La décollation de Jean Baptiste est la mort de Jean le Baptiste par décapitation.
Selon les évangiles de Marc et Matthieu, il est exécuté sur ordre d'Hérode Antipas, à la demande d'Hérodiade et de sa fille Salomé.
Cet épisode du Nouveau Testament est l'objet d'une abondante iconographie chrétienne.
La fête liturgique est célébrée le 29 août dans le catholicisme.
TABLEAU LA DECOLLATION DE SAINT JEAN BAPTISTE
PAR LE CARAVAGE VERS 1608
Par Le Caravage — Numérisation personnelle, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=15216338
PAR LE CARAVAGE VERS 1608
Par Le Caravage — Numérisation personnelle, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=15216338
UGUTZ : Bautista (es), Baptiste (fr).
"Joanes Batista"rentzat garbizale batzuek asmatu izena. Joanesi lepoa moztu ziola Herodesek gogoratzen egunak.
Deun-ixendegi euzkotarra lanean Bautista izenarentzat proposatzen diren bi baliokideetako bat dugu Ugutz, bestea Batista da. Bitasun hau ulertzeko gogoan izan behar da Aranak bi esanahi bereizi zituela : "bataiatzea", hots Kristoren Elizan sartzea, eta san Bautistaren izena, euskaraz Batista ematen duena. Ugutz hitza bataio arrunta ordezkatzeko sortutako neolo-gismoa da. Ikus Batista.
BATISTA : Bautista (es), Baptiste (fr).
Deun-ixendegi euzkotarra lanean gaztelaniazko Bautistaren baliokidetzat ematen diren bi izenetako bat dugu Batista ; bestea Ugutz da (ikus sarrera hau). Jatorria latineko Baptista "bataiatzailea" da. San Joanes bataiatzailearen alderako debozioa zaharrenetakoa da krustauen artean, Jesus bera ere bataiatu baitzuen. Constantinoren garaian Erromako Letrango eliza sagaratu zitzaion. Haren oroitza-penetan egindako ereserkitik sortu ziren musika eskalako notak. Ut beranduago do bihurtu zen eta si santuaren izenaren lehendabiziko letrak dira : Ut queant laxis / re sonare fibris / mira gestorum / famuli tuorum / solve polluti / la bil / reatum Sancte Ioanes.
Une naissance du 29 août : Jean-Auguste-Dominique Ingres.
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| AUTOPORTRAIT DE JEAN DOMINIQUE INGRES EN 1804 |
Né le 29 août 1780 à Montauban (Tarn-et-Garonne) - Mort le 14 janvier 1867 à Paris.
C'est un peintre français.
Ingres est l'aîné de 5 enfants, avec un père, peintre et sculpteur, qui favorise ses penchants artistiques, lui inculque les rudiments de son art et lui fait apprendre le violon.
En 1791, il entre à l'Académie royale de Toulouse et se consacre uniquement au dessin.
En 1796, il se rend à Paris pour étudier sous la direction de Jacques-Louis David.
Il s'éloigne de son néo-classicisme par son dévouement à un idéal de beauté fondé sur de difficiles harmonies de lignes et de couleurs.
En 1800, Ingres est deuxième finaliste du prix de Rome et, en 1801, il remporte le prix de Rome en peinture d'histoire.
Il s'installe avec d'autres élèves de David à l'ancien couvent des Capucines où il peint principalement des portraits, caractérisés par des fonds bruns, des poses des trois quarts et des regards tournés vers le spectateur.
Il dessine d'après des oeuvres du Louvre, principalement des statues antiques.
En juin 1806, il se fiance avec l'artiste peintre Marie-Anne-Julie Forestier, mais sa relation ne résiste pas à son absence après son départ pour l'Académie de France, à la Villa Médicis, à Rome en septembre.
A Rome, lors de son premier séjour, de 1806 à 1820, Ingres découvre Raphaël, qu'il admire et il visite fébrilement musées, palais et églises.
Il peint énormément : des nus, des paysages, des dessins, des portraits et des compositions historique de format plus modeste.
Il tisse des liens amicaux avec des grands commis de l'administration impériale.
En France, cependant, ses toiles peintes en Italie ne plaisent pas.
A la fin de son séjour à la Villa Médicis, en 1810, Ingres décide de rester à Rome et de travailler pour l'administration impériale et la colonie française de Rome.
En 1813, il se marie avec Madeleine Chapelle, une jeune modiste, dont il va peindre 10 portraits et avec laquelle il aura un garçon, mort à la naissance.
A la chute de Napoléon 1er, en 1815, il perd sa clientèle et il va rencontrer des difficultés économiques et familiales, peignant par obligation des portraits et des petits tableaux historiques.
Des amis lui présentent Charles Marcotte d'Argenteuil qui va devenir un de ses principaux mécènes jusqu'à son décès en 1864.
En 1820, il quitte Rome pour Florence, où il va résider jusqu'en 1824.
A partir de 1824, Ingres reçoit honneurs et commandes officielles, recevant la Légion d'honneur et étant reçu à l'Institut de France.
Fin novembre 1834, il repart à Rome et accepte la direction de l'Académie de France à Rome, où il reste jusqu'en 1841.
De retour à Paris, il peint à nouveau des portraits et reçoit à nouveau des commandes de grandes oeuvres décoratives.
Son épouse étant décédée en 1849, Ingres épouse, en avril 1852, en secondes noces, Delphine Ramel, nièce de Charles Marcotte d'Argenteuil.
Avec son nouveau beau-frère, Jean-François Guille, notaire et conseiller général du Loiret, Ingres va acheter une maison à Meung-sur-Loire (Loiret), où il va se retirer tous les étés pour bénéficier de la douceur et de la lumière de la Loire.
Nombre de membres de la famille Marcotte seront de fidèles acheteurs des toiles d'Ingres.
En 1855, une salle entière lui est consacrée lors de l'exposition universelle.
En novembre 1855, il est élevé au grade de grand officier de la Légion d'honneur.
Ingres est appelé en mai 1862 à faire partie du Sénat impérial et y vote jusqu'à sa mort conformément aux voeux du pouvoir.
Il meurt le 14 janvier 1867, à 86 ans.
Il lègue à sa ville natale Montauban une grande partie de ses dessins (4 500) ainsi que certains objets personnels.
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| PEINTRE JEAN DOMINIQUE INGRES |
Voici le proverbe du mardi 29 août 2023 :
ABERASTEKOTZ JAIK BOST ORENETAN, ABERASTU ETA ZAZPIETAN ASKI DUZU.
Pour t'enrichir, lève-toi à 5 heures ; devenu riche, à sept heures suffira.
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| HUMOUR : IL FAUT SE LEVER ! |
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