PROVERBE DU 7 SEPTEMBRE 2024 (SAINTE REINE) (SAINT CLOUD) (AIZPEA).
REINE (Réjane ou Régine) : Reine est une jeune gauloise née à Autun (Saône-et-Loire).
7 SEPTEMBRE SAINTE REINE |
Fiancée malgré elle en 252 avec un gouverneur des Gaules Olibrius ou Olimbrius, Reine, cette sainte légendaire préféra le martyre au mariage.
Une église mérovingienne consacrée à sainte Reine a été retrouvée pendant les fouilles du camp d'Alésia en Bourgogne, en 1909.
Le village, Alise-Sainte-Reine, qui s'est développé au pied du mont Auxois l'a pris pour patronne et, chaque année, depuis 866, les habitants organisent la représentation d'un mystère à sa mémoire et en son honneur.
La confrérie de Sainte-Reine date de 1544, créée par les religieux de Flavigny.
Les reliques de sainte Reine sont conservées dans l'abbaye de Flavigny-sur-Ozerain depuis le milieu du 9ème siècle.
7 SEPTEMBRE SAINTE REINE |
AIZPEA : Andre Maria kapera Aian. Tamaina txikiko eta jatorri ertarotarreko baseliza. Usadioari so eginez, armak aztertzeko, gudagizonak zeintzuk ziren jakiteko eta musika, hitzaldiak eta bertsoak nabarmentzen ziren ospakizun guzti horietan.
Aiako (Gipuzkoa) eliz atarian dagoen Andre Mariaren ermita. Bertan XVI. mendeko irudia dago. Kondairak dioenez eliza beste toki batera eramaten saiatu ziren, baina alferrik, aingeru batek gauza guztiak lehengo lekura itzultzen baitzituen.
Une naissance du 7 septembre : Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon.
Né le 7 septembre 1707 à Montbard (Bourgogne, royaume de France) - Mort le 16 avril 1788 à Paris (royaume de France).
C'est un naturaliste, mathématicien, biologiste, cosmologiste, philosophe et écrivain français.
A la fois académicien des sciences et académicien français, Georges-Louis participe à l'esprit des Lumières.
Ses théories ont influencé deux générations de naturalistes, en particulier Jean-Baptiste de Lamarck et Charles Darwin.
Salué par ses contemporains pour son maître ouvrage Histoire naturelle, il a été qualifié de "Pline de Montbard".
Il est le fils aîné d'une fratrie de 5 enfants.
Son père, conseiller du roi et conseiller au parlement de Bourgogne, achète, en 1717, les propriétés de la seigneurie de Buffon, située à 6 kilomètres de Montbard.
En 1720, la famille déménage à Dijon (Côte-d'Or), où Georges-Louis fait ses humanités au collège des jésuites.
Il s'inscrit à la faculté de droit de Dijon et y obtient sa licence en 1726.
Préférant les sciences, et au grand mécontentement de sa famille, il part étudier à la faculté d'Angers en 1728, se plongeant dans les mathématiques et la botanique.
Il lit Newton et les Eléments d'Euclide et suit des cours de médecine.
Cependant, Georges-Louis, ayant tué en duel un jeune officier croate, se voit contraint de quitter précipitamment l'université.
Il se réfugie à Dijon ou à Nantes, où il rencontre le second duc de Kingston, jeune aristocrate anglais qui parcourt l'Europe avec son précepteur le naturaliste Nataniel Hickman, et avec lequel il se lie d'amitié.
Il décide de les suivre dans leur Grand Tour, en France, en Italie et en Angleterre.
Son voyage est interrompu en 1731, à la mort de sa mère, et il s'installe, en 1732, à Paris, soucieux de s'éloigner de son père, remarié à sa grande fureur à l'âge de 50 ans avec une jeune fille de 22 ans.
Le menaçant d'un procès, Georges-Louis obtient la libre disposition de sa fortune et récupère des terres que son père avait aliénées.
Il fait démolir la maison paternelle et construire l'hôtel de Buffon, à Montbard, où il aménage une ménagerie, un laboratoire et son cabinet de travail.
A 25 ans, il est décidé à réussir et commence à signer Buffon.
Il se loge au faubourg Saint-Germain, chez Gilles-François Boulduc, premier apothicaire du roi, professeur de chimie au Jardin royal des plantes.
Les premiers travaux de Georges-Louis portent sur les mathématiques, son domaine de prédilection, et il présente, en 1733, un mémoire à l'Académie des Sciences, qui reçoit des commentaires élogieux.
Ce mémoire introduit pour la première fois le calcul différentiel et le calcul intégral en probabilité.
C'est à cette époque qu'il correspond avec le mathématicien suisse Gabriel Cramer et où il fait la connaissance de Voltaire et d'autres intellectuels.
En janvier 1734, il est nommé, grâce à Maurepas, par Louis XV, adjoint dans la section mécanique de l'Académie des sciences.
En 1735, il traduit un ouvrage du biologiste britannique Stephen Hales, dans lequel il fait de nombreuses annotations et où il prend parti contre la science cartésienne.
Anglophile, Georges-Louis correspond abondamment avec plusieurs savants, et séjourne à Londres en 1738, se faisant élire à la Royal Society en 1739.
En mars 1739, il passe de la section de mécanique à celle de botanique de l'Académie des sciences.
En juillet 1739, il est nommé intendant du Jardin du roi et il partagera désormais son temps, jusqu'à la fin de sa vie, entre sa propriété de Montbard, vivant tranquillement et rédigeant son oeuvre, et Paris, où il administre le Jardin royal des plantes et entretient son image à la Cour.
Il gère, en outre, le Cabinet d'Histoire Naturelle du roi, dont il va faire la plus développée des collections d'Europe, et les plus grands souverains lui font des dons prestigieux.
En 1744, il est nommé trésorier perpétuel de l'Académie des sciences.
Les premiers volumes de son oeuvre majeure, l'Histoire naturelle, paraissent en 1749.
En septembre 1952, Georges-Louis épouse Marie-Françoise de Saint-Belin Malain, jeune femme de 20 ans, avec laquelle il aura deux enfants.
Il devient comte de Buffon en 1773.
Il meurt le 15 avril 1788, à 80 ans.
Voici le proverbe samedi 7 septembre 2024 :
BURUILA, LARRAZKENEKO MAIATZA.
Septembre est le mai de l'automne.
MOIS DE SEPTEMBRE ILLUSTRATEUR BARRE DAYEZ |
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