PROVERBE DU 11 FÉVRIER 2025 (NOTRE DAME DE LOURDES) (SAINTE HÉLOÏSE) (LURDES)
NOTRE DAME DE LOURDES : Le 11 février 1858, près de Lourdes, une jeune femme serait apparue à une petite bergère nommée Bernadette Soubirous, dans la grotte de Massabielle.
11 FEVRIER NOTRE DAME DE LOURDES
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| 11 FEVRIER NOTRE DAME DE LOURDES |
La bergère indiqua qu'au cours d'une de ces apparitions, la Dame lui dit en gascon : Que soy era immaculada councepciou (Je suis l'Immaculée Conception).
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| BERNADETTE SOUBIROUS |
Elle rapporta ces mots à son curé, sans savoir que le Pape Pie IX avait proclamé 4 ans plus tôt le dogme de l'Immaculée Conception à propos de Marie, mère du Christ.
Les apparitions de la grotte miraculeuse stimulèrent la dévotion à Marie, et firent de Lourdes l'un des plus célèbres pèlerinages du monde.
GROTTE DE MASSABIELLE LOURDES
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| GROTTE DE MASSABIELLE LOURDES |
HÉLOÏSE : Héloïse de Coulombs (ou Helvise ou Helwisa) est une recluse française, du 11ème siècle, qui a vécu sous l'obédience de l'abbaye bénédictine de Coulombs, dans le diocèse de Chartres.
11 FEVRIER SAINTE HELVISE DE COULOMBS
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| 11 FEVRIER SAINTE HELVISE DE COULOMBS |
Héloïse épouse en premières noces le comte Hugues II de Meulan puis en secondes noces Alexandre dit Azzelin, avec lequel elle a plusieurs enfants.
Héloïse est considérée comme bienheureuse par l'Eglise catholique romaine, et célébrée le 11 février.
LURDES : Euskal Herritik ez urrun den Lurdeseko herrian 1858an hasi ziren, geroztik dirauten beila handiak.
PELERINAGE DU ROSAIRE LOURDES 1911
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| PELERINAGE DU ROSAIRE LOURDES 1911 |
Un décès du 11 février : Jean-Pierre Michel Reclus dit Elie Reclus.
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| PHOTO D'ELIE RECLUS PAR NADAR |
Né le 16 juin 1827 à Sainte-Foy-la-Grande (Gironde) - Mort le 11 février 1904 à Ixelles (Bruxelles, Belgique).
C'est un journaliste, écrivain, ethnologue et militant anarchiste français de la fin du 19ème siècle, qui a beaucoup écrit en faveurs des "peuples sauvages".
Elie est issu d'une fratrie de 14 enfants et d'une dynastie de membres célèbres comme journalistes, géographes, médecins, explorateurs, enseignants, militants associatifs ou politiques.
Son père est pasteur et voulant que son fils devienne pasteur également, il l'envoie, en 1839, suivre des études dans un collège protestant, où il est rejoint, en 1843, par son frère Elisée.
Les deux frères supportant mal l'hostilité de certains de leurs condisciples décident, en 1844, de rentrer à Orthez (Basses-Pyrénées) où résident désormais leurs parents.
Elie achève ses études secondaires au collège d'Orthez, puis à celui de Sainte-Foy-la-Grande (Gironde).
Dans le but de suivre des études de théologie, il repart, en 1847, pour Genève.
En 1848, les deux frères s'inscrivent à la faculté de théologie protestante de Montauban (Tarn-et-Garonne).
Ils en sont exclus, en 1849, à la suite d'une fugue effectuée en juin vers la Méditerranée.
Elie part alors pour Strasbourg afin d'y achever ses études de théologie et il y est reçu comme pasteur en 1851, démissionnant aussitôt de sa charge.
En compagnie de son frère Elisée, partant de Strasbourg, il se rend à Orthez à pied.
A Orthez, apprenant le coup d'Etat du 2 décembre 1851, les deux frères manifestent publiquement leur hostilité à ce coup de force.
Menacés d'être arrêtés, Elie et Elisée s'embarquent pour Londres.
Elie se rend ensuite, en 1852, en Irlande, où il trouve une situation stable de précepteur.
En 1855, il rentre en France pour se marier (1856) avec l'une de ses cousines Noémi Reclus, avec laquelle il aura 2 fils.
Il trouve un emploi dans un organisme bancaire, le Crédit mobilier, dirigé par les frères Isaac et Emile Pereire, qu'il quitte, en 1862, en désaccord avec les orientations capitalistes de cet organisme.
Il collabore ensuite à plusieurs publications.
Dans le courant de l'année 1863, les deux frères se fixent à Vascoeuil (Eure) chez leur ami Alfred Dumesnil, gendre de Jules Michelet, et c'est là qu'Elie écrit une grande partie de sa production littéraire.
Le 1er octobre 1863, en collaboration avec plusieurs personnes (dont son frère Elisée), il fonde une banque (la société du Crédit au Travail) dont le but est d'aider à la création de sociétés ouvrières. Mais ce sera un échec et sa fin en 1868.
Dans le même temps, il s'occupe de la publication d'un journal (l'Association) dont il est à la fois le directeur et le principal rédacteur.
C'est comme correspondant de la revue russe Dielo qu'il est amené ensuite à voyager en Russie, puis en Espagne, enfin en Egypte où il assiste à l'inauguration su canal de Suez, en août 1869.
Lors de la Commune, Elie est brancardier de la Garde nationale en septembre 1870, puis il est nommé directeur de la Bibliothèque nationale, en avril 1871.
A la chute de la Commune, condamné par contumace, il gagne l'Italie puis la Suisse et se fixe à Zurich.
En 1876, il voyage aux Etats-Unis pour y trouver un travail de correspondant.
Sans succès, il se rend à Londres où il reste jusqu'au prononcé de son amnistie, en mars 1879.
Elie rentre peu après à Paris où Hachette lui procure un emploi de bibliothécaire et il se consacre alors à la rédaction de plusieurs ouvrages.
A la fin de sa vie, il rejoint son frère Elisée à Ixelles où il collabore à l'Université nouvelle de Bruxelles en occupant la chaire de mythologie comparée.
Il meurt le 11 février 1904, à 76 ans.
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| JOURNALISTE ECRIVAIN ELIE RECLUS |
Voici le proverbe du mardi 11 février 2025 :
OTSAILAK BUHA, BUHA, BUHA, SOSOA KAFIRAN HILA.
Février souffle bouha, bouha, bouha, et le merle est mort dans son nid.
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| MOIS DE FEVRIER BRETAGNE |
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