PROVERBE DU 12 JANVIER 2019 (SAINTE TATIANA) (SAINTE MARGUERITE) (EDER).
TATIANA : Tatiana de Rome est une martyre chrétienne du 3ème siècle, devenue très populaire dans les pays slaves.
12 JANVIER TATIANA DE ROME
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| 12 JANVIER TATIANA DE ROME |
Fille d'un consul romain, dénoncée comme chrétienne, Tatiana est condamnée à être suspendue à une potence.
Ses bourreaux la tondent et Tatiana est décapitée.
Sainte patronne des étudiant(e)s, Tatiana est célébrée par les orthodoxes russes le "Jour de Tatiana", date de la fin des examens d'hiver.
MARGUERITE : Marguerite Bourgeoys (Soeur Marguerite du Saint-Sacrement), naît à Troyes (Aube) le 17 avril 1620.
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| PORTRAIT DE MARGUERITE BOURGEOYS PAR PIERRE LE BER 1700 |
Marguerite est la 6ème d'une fratrie de 12 enfants.
C'est le 7 octobre 1640 qu'elle reçoit "sa conversion", pendant une procession en l'honneur de Notre-Dame du Rosaire.
Elle désire lors devenir carmélite.
Devenant membre externe des chanoinesses de Saint-Augustin de la Congrégation Notre-Dame, elle est envoyée, en février 1653, en Nouvelle-France.
Marguerite est la première enseignante de Montréal et la fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal.
Elle meurt le 12 janvier 1700 à Ville-Marie au Québec.
Elle est béatifiée le 12 novembre 1950 et canonisée le 31 octobre 1982 par le pape Jean-Paul II.
12 JANVIER SAINTE MARGUERITE DU SAINT SACREMENT
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| 12 JANVIER SAINTE MARGUERITE DU SAINT SACREMENT |
EDER : 1035eko idazkietan.
IGARKI : Urteko hamabi egunak nolako, urteko hamabi hilabeteak halako. Ustekizun hau aspaldikoa da. Zotalegunak ere deitzen dira Behenafarroan.
"Polita" adiera duen euskal adjektiboan du izen honek iturri. Egun aski hedaturik dago Euskal Herrian.
Une naissance du 12 janvier : Joseph Joffre.
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| GENERAL JOFFRE |
Né le 12 janvier 1852 à Rivesaltes - Mort le 3 janvier 1931 à Paris 7ème.
D'une famille catalane, aisée et nombreuse, c'est un élève brillant qui, à 17 ans, est le benjamin de l'Ecole polytechnique.
En 1870, lors de la guerre franco-prussienne, Joseph est sous-lieutenant dans des régiments d'artillerie.
A sa sortie de Polytechnique, en novembre 1871, il choisit le génie militaire.
En octobre 1873, il épouse Marie-Amélie Pourcheiroux, qui meurt en couches, en avril 1874 et il demande alors sa mutation.
Joseph part en Extrême-Orient, à la fin 1884 et participe à des campagnes coloniales, au Tonkin, avant d'aller en Chine, Japon et aux Etats-Unis en janvier 1888.
Il revient en France, en octobre 1888 et est envoyé en Afrique, en octobre 1892, comme commandant.
Il participe, en 1894, à la conquête de Tombouctou, au Mali.
Il est nommé colonel en 1900 et, sous les ordres du général Joseph Gallieni, il colonise l'île de Madagascar.
Au printemps 1903, il revient en France et il est fait commandeur de la Légion d'honneur.
En avril 1905, il épouse civilement Henriette Penon
En 1905, il est nommé général de division.
Nommé chef d'état-major général de l'armée française en 1911 de préférence au général Édouard de Castelnau, plus prestigieux mais catholique et aristocrate, il élabore avec le colonel Grandmaison le plan XVII qui prévoyait une offensive à outrance en cas d'attaque allemande.
Durant la première Guerre Mondiale, il est le Commandant en chef des opérations du 2 août 1914 au 26 décembre 1916.
Joffre et Foch étant remplacés, Joseph est alors fait maréchal de France.
Il est élu à l'Académie française le 14 février 1918.
A partir de juillet 1919, il parcourt toute la France, jusqu'en janvier 1920.
Sa popularité internationale est immense et Joseph se rend, dès lors, dans de nombreux pays jusqu'en janvier 1922.
En 1928, il termine ses Mémoires.
En décembre 1930, souffrant, depuis plusieurs mois, d'une artérite des membres inférieurs, il est hospitalisé et on doit l'amputer de la jambe droite.
Joffre meurt le 3 janvier 1931, à 78 ans.
Des obsèques nationales lui sont organisées le 7 janvier 1931.
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| PORTRAIT DE JOFFRE EN 1915 |
Voici le proverbe du Samedi 12 janvier 2019 :
GIZON BAT HIGUIN BADUZU, EMOZU ANDRE POLLIT BAT ; EMAZTE HIGUIN BATI, GIZON POLLIT BAT.
A l'homme détesté procure une jolie femme ; à la femme détestée, un bel homme.
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| MENDIANTS ESPAGNOLS PAYS BASQUE D'ANTAN |
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