PROVERBE DU 19 AOÛT 2020 (SAINT JEAN-EUDES) (ZIORTZA).
JEAN-EUDES : Jean-Eudes naît le 14 novembre 1601, à Ri (Normandie).
19 AOÛT JEAN-EUDES
 |
| 19 AOÛT JEAN-EUDES |
Prédicateur Normand de l'ordre monastique des Oratoriens, Jean-Eudes participe à l'effort de rechristianisation des campagnes françaises sous le règne de Louis XIII.
Il fonde la congrégation dite des eudistes, vouée à la formation des prêtres et il fonde aussi un ordre religieux voué à la réhabilitation des "filles repenties".
Jean-Eudes est à l'origine de plusieurs séminaires dans sa Normandie natale.
Jean-Eudes est un artisan de l'introduction des réformes du concile de Trente, en France, ainsi qu'un acteur majeur de l'Ecole française de spiritualité.
Il décède le 19 août 1680 à Caen (Calvados, France).
Jean-Eudes est béatifié en 1909 par le pape Pie X.
Il est canonisé en 1925 par le pape Pie XI.
Jean-Eudes est, au 17ème siècle, avant Marguerite-Marie Alacoque, le grand propagandiste du culte au Sacré-Coeur de Jésus et au saint Coeur de Marie.
ZIORTZA : Zenarruzako kolegiata (Markina) Bolibartik datorren harrizko bide polit batetik igotzen da, antzinako Eliza erromaniko baten gainean eraikita dago.
Markinako (Bizkaia) Bolibar auzoan dagoen kolegiata eta Donejakue bideko antzinako ospitalea. Kondairak dioenez, 968. urteko abuztuaren 15ean arrano batek Gernikako Andre Mariaren elizako buruhezur bat hartu eta hegan Ziortza-raino eraman zuen, XIV. mendean kolegiata -Bizkaiko bakarra- izango zen eliza sortu zuten lekuraino hain zuzen ere. Izenaren osagaiak *zinaurri, ziaurri landare izena eta -tza toki-ugaritasunezko atzizkia dira (1082. urtean Cinaurriza dokumentatzen da).
Un décès du 19 août : Federico del Sagrado Corazon de Jesus Garcia Lorca.
 |
| FEDERICO GARCIA LORCA 1914 Auteur inconnu — http://www.fotografias.net/22-10-2007/noticias/encuentran-fotografia-inedita-de-federico-garcia-lorca-en-la-universidad-de-granada |
Né le 5 juin 1898 à Fuente Vaqueros (Andalousie, Espagne) - Mort le 19 août 1936 entre Viznar et Alfacar (Andalousie, Espagne).
C'est un poète et dramaturge espagnol, prosateur, peintre, pianiste et compositeur.
Federico est l'aîné d'une fratrie de enfants.
Il passe son enfance à la campagne, près de Grenade, où sa famille s'installe définitivement en 1909.
Il est bachelier en 1914.
Il suit ensuite des études de lettre, de philosophie et de droit à l'université de Grenade mais c'est vers la musique que va d'abord, "pour faire plaisir à son père", mais c'est vers la musique que va d'abord sa passion.
Dès l'âge de 10 ans, il joue du piano.
A l'université de Grenade, il se lie d'amitié avec Manuel de Falla.
Après plusieurs passées à Grenade, Federico décide d'aller vivre à Madrid pour rencontrer le succès.
Il devient l'ami, entre autres, de Luis Buñuel et Salvador Dali.
 |
| SALVADOR DALI ET GARCIA LORCA EN 1925 |
Il rencontre aussi les poètes Antonio Machado et Miguel de Unamuno, de la Génération de 98.
Federico rencontre aussi Juan Ramon Jimenez, futur prix Nobel de Littérature 1956.
Il écrit et met en scène, en 1919-1920, sa première pièce en vers, El maleficio d la mariposa.
Il publie ensuite trois autres recueils de poèmes, dont Romancero Gitano, en 1928.
Vers la fin des années 1920, Federico souffre d'une dépression, exacerbée par la difficulté grandissante pour cacher son homosexualité.
Sa famille l'envoie faire un long voyage aux Etats-Unis en 1929-1930.
Son retour en Espagne, en 1930, coïncide avec la chute de la dictature de Miguel Primo de Rivera et la proclamation de la République.
En 1931, Federico est nommé directeur de la société de théâtre étudiante subventionnée, La Barraca.
Antifasciste, quand éclate la Guerre Civile espagnole, il quitte Madrid pour Grenade, où il est arrêté par les franquistes le 16 août 1936, puis fusillé, 3 jours plus tard, le 19 août.
La date et le lieu exact de sa mort ont fait longtemps l'objet de polémiques.
Le régime de Franco décidera l'interdiction totale de ses oeuvres jusqu'en 1953.
 |
| MONUMENT DE GARCIA LORCA PLAZA SANTA ANA MADRID |
Voici le proverbe du mercredi 19 août 2020 :
EMEN ELDU NAIZ BAÑO BILDUR NAIZ PENAREKIN NAIZELA MAIZ.
Je viens ici, mais je crains d'être souvent à la peine.
(formule que prononce la future mariée à Lizaso, en Navarre)
 |
| LIZASO NAVARRE PAYS BASQUE D'ANTAN |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire