PROVERBE DU 7 OCTOBRE 2023 (SAINTE JUSTINE DE PADOUE) (SAINT SERGE) (SAINT BACCHUS) (GUSTAVE) (AGURNE).
JUSTINE DE PADOUE : Justine de Padoue naît au 3ème siècle.
7 OCTOBRE SAINTE JUSTINE DE PADOUE |
C'est une martyre, considérée comme sainte par l'Eglise catholique romaine, fêtée le 7 octobre, jour anniversaire de sa mort, à Padoue, le 7 octobre 304.
Elle aurait été baptisée à Padoue (Italie) par un disciple de saint Pierre.
Son hagiographie est décrite dans La Légende dorée de Jacques de Voragine.
SERGE ET BACCHUS : Serge et Bacchus de Rasafa sont deux chrétiens des premiers siècles martyrisés et morts en Syrie, sur les bords de l'Euphrate, vers 303.
7 OCTOBRE SAINTS SERGE ET BACCHUS |
Sa tombe devint un lieu de pèlerinage réputé en Orient.
Serge était commandant de la Schola Gentilium, troupe d'élite romaine composée de Barbares.
Dénoncé comme chrétien, flagellé avec Bacchus, qui en mourut, Serge fut finalement décapité à Resafa.
Serge et Bacchus sont très anciennement vénérés en France, en tant que martyrs par les Eglises orthodoxe et catholique.
L'église a canonisé les martyrs Serge et Bacchus, et célèbre leur fête le 7 octobre.
Saint Bacchus est le patron de l'Ordre Hospitalier Curieux et Courtois des Chevaliers de saint Bacchus, une confrérie bachique créée en 1947.
AGURNE : Erderaz "Rosario", "Rosaire" : Ntra. Sra. del Rosario, Rosaire.
Agur hitz arruntaz eta -ne amaieraz osatutakoa. Gaur egun nonbaitetik alde egitean erabiltzen da batez ere, "adio" esanahiarekin, baina berez adiera zabalagoa du. 1936an Lizarrako (Nafarroa) aginte militarrak debekatu zuen hitz hau erabiltzea. Ikus Agurtzane.
AGURTZANE : Gaztelaniazko (Nuestra Señora del) Rosarioren baliokidetako Deun-ixendegi euzkotarra lanean ematen den izena, arrakasta handikoa. Erabilera zabala izan zuen, baina gerra aurrean debekatu zuten eta horrela deitzen zirenei itzularazi. Santuaren eguna urriaren 7an da.
Aldaerak : Agurne eta Gurtza.
Un décès du 7 octobre : Albert Willemetz.
Né le 14 février 1887 à Paris 17ème arrondissement - Mort le 7 octobre 1964 à Marnes-la-Coquette (Seine-et-Oise).
C'est un librettiste, lyriciste et scénariste français.
Considéré comme un des pères de "l'opérette moderne" au 20ème siècle, Albert imagine des constructions nouvelles où souffle un air de liberté au sortir de la Première Guerre mondiale.
Il impose également dans les années 1920 le terme et la technique des "lyrics", désignant les paroles chantées des comédies musicales imaginées après la composition, contrairement aux livrets d'opéra et d'opérette sur lesquels le compositeur adaptait jusqu'alors sa musique.
Il épouse en octobre 1911 Thérèse Elisabeth Marie Despras (décédée en 1919), avec laquelle il aura un fils.
En février 1921, il épouse Jeanne Truchot, avec laquelle il aura 3 enfants.
Auteur de plus de 90 revues pour le théâtre et le Casino de Paris, Albert écrit de nombreux sketchs et ses chansons sont extrêmement populaires : Mon homme (1920) (popularisée par Mistinguett), Dans la vie faut pas s'en faire (1921) (de l'opérette Dédé), C'est une gamine charmante (1918) (de l'opérette Phi-Phi), Sous les palétuviers (1935) (de l'opérette Toi, c'est moi), Valentine, Ramona, Est-ce que je te demande, Ah ! Si vous connaissiez ma poule, Amusez-vous, Félicie aussi, Cette p'tite femme-là, etc...
Au total, il compose plus de 3 000 chansons, interprétées par les vedettes de l'époque.
Il écrit également des livrets et les lyrics de plus de 100 opérettes et comédies musicales et plusieurs revues avec son grand ami Sacha Guitry.
Un grand nombre de ses opérettes ont été transposées ou adaptées au cinéma, pour lequel il écrit parallèlement plusieurs scénarios originaux dont J'ai quelque chose à vous dire avec Fernandel (1930), Gagne ta vie avec Victor Boucher (1931) et La Bande à Bouboule (1931) avec Georges Milton, Il est charmant (1932) avec Henri Garat, Toi, c'est moi (1936) et de nombreuses chansons.
Albert a successivement été secrétaire de Georges Clémenceau avec qui il travaille au ministère de l'Intérieur, directeur du théâtre des Bouffes-Parisiens pendant 30 ans, président de la Sacem à la Libération et président de la Cisac en 1956.
Il fonde en 1951 le "Comité du coeur", fonds de secours d'utilité publique pour les artistes dans le besoin.
Il meurt le 7 octobre 1964, à 77 ans.
ALBERT WILLEMETZ |
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