PROVERBE DU 8 NOVEMBRE 2024 (SAINT GEOFFROY) (SAINTE ÉLISABETH DE LA TRINITÉ) (MATALAZ).
GEOFFROY : Geoffroy, ou Godefroy, naît vers 1066.
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| 8 NOVEMBRE SAINT GEOFFROY D'AMIENS |
Geoffroy est abbé du monastère de Nogent, en Champagne, avant de devenir évêque d'Amiens en 1104.
Geoffroy prend le parti des nouveaux bourgeois et des humbles en lutte contre les abus des seigneurs féodaux.
Geoffroy meurt en 1115 à Soissons (Aisne).
ÉLISABETH DE LA TRINITÉ : Elisabeth Catez, en religion Soeur Elisabeth de la Trinité, naît le 18 juillet 1880 à Farges-en-Septaine (Cher) et meurt le 9 novembre 1906 à Dijon (Côte d'Or).
8 NOVEMBRE SAINTE ELISABETH DE LA TRINITE
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| 8 NOVEMBRE SAINTE ELISABETH DE LA TRINITE |
C'est une religieuse française, carmélite.
Très jeune, elle manifeste le désir de devenir religieuse au sein du Carmel.
Elle entre au Carmel de Dijon (Côte-d'Or) en 1901.
En janvier 1903, elle prend le voile.
Pendant ses années de Carmel, Elisabeth écrit de nombreuses lettres, ainsi que des poèmes et des écrits spirituels , notamment axés sur la Trinité et la louange.
Elle meurt le 9 novembre 1906, à 26 ans.
Elisabeth est béatifiée par le pape Jean-Paul II en novembre 1984.
Elle est canonisée par le pape François en octobre 2016.
MATALAZ : Bernard Goihenetxe, goitizenez "Matalaz" Zuberoaren libertatearen alde burrukatu den heroi garbi bat dugu. 1661/11/8an hil zuten frantsesek.
Un décès du 8 novembre : César Auguste Jean Guillaume Hubert Franck.
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| COMPOSITEUR CESAR FRANCK |
Né le 10 décembre 1822 à Liège (Royaume uni des Pays-Bas) - Mort le 8 novembre 1890 à Paris.
C'est un professeur, organiste et compositeur belge, naturalisé français en 1870.
César est l'une des grandes figures de la vie musicale française de la seconde partie du 19ème siècle.
Doué pour le dessin, il désire faire une carrière dans les Beaux-Arts, mais son père préfère l'inscrire en 1830 au Conservatoire de Liège : il y étudie le piano et son frère cadet Joseph le violon.
Particulièrement brillant, il est déjà à onze ans en classe d'harmonie, et remporte l'année suivante, en 1834, les grands prix de solfège et de piano.
La même année, il se produit à Bruxelles, au Palais royal, devant le roi Léopold 1er.
De 1833 à 1835, César fait des études d'harmonie chez Joseph Daussoigne-Méhul.
Son père organise, au printemps 1835, une série de concerts à Liège, à Bruxelles et à Aix-la-Chapelle.
En 1835, la famille quitte le Royaume de Belgique pour s'installer à Paris.
Le Conservatoire de Paris refuse son entrée car il est étranger.
Une demande de naturalisation est alors déposée au ministère de l'Intérieur.
En attendant, César prend des cours particuliers de piano avec Pierre-Joseph-Guillaume Zimmerman et de contrepoint avec Antoine Reicha.
En novembre 1837, il reçoit sa naturalisation qui lui permet enfin d'entrer au Conservatoire de Paris.
Il y remporte d'abord, en 1838, le premier prix de piano de "manière extraordinaire", le jury le trouvant "hors ligne".
En janvier 1939, il est invité à jouer ses premières compositions, dont le premier Trio, dans le salon privé de Sébastien Erard, facteur de piano.
En juin 1840, César obtient le premier prix de contrepoint.
Son père voulant qu'il ait une carrière de pianiste virtuose, il doit quitter contre son gré le Conservatoire en 1842.
De retour à Liège, il se consacre à la composition.
En 1843, en compagnie de son frère Joseph, il donne aussi une série de concerts à Belgique, en Allemagne et en France, assistés par leur père qui fait également office d'impresario.
En 1844, César donne chez elle des leçons de chant à Mme Desmousseaux, sociétaire de la Comédie-Française et commence l'éducation de sa fille, Félicité Saillot, qu'il va épouser en février 1848, et avec laquelle il aura 4 enfants.
Il rompt définitivement avec son père car ce dernier s'oppose à son mariage.
De 1845 à 1863, il participe à tous les concerts de musique de chambre de l'Institut musical d'Orléans en tant que pianiste accompagnateur.
En 1853, il devient organiste à l'église Saint-Jean-Saint-François du Marais, puis, en 1858, celui de la nouvelle église Sainte-Clotilde, où il restera la titulaire jusqu'à sa mort.
Après avoir publié, en 1862, ses six pièces pour grand orgue, oeuvre reconnue par Liszt, César devient "l'inaugurateur" attitré de chaque nouvel orgue des paroisses parisiennes.
Durant le siège de 1870, il accueille chez lui amis et élèves et compose une Ode à Paris.
Sous la Commune de 1871, il prépare la Société nationale de musique chargée de mettre en place le renouveau de l'art français, dont il sera président en 1886 jusqu'à sa mort.
En 1872, il devient professeur d'orgue au Conservatoire de Paris.
En 1879, César termine son oratorio Les Béatitudes sur lequel il travaille depuis une dizaine d'années.
En 1884, Ernest Chausson organise deux concerts pour honorer César Franck, qui se voir récompensé par les Palmes académiques.
En juillet 1885, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur.
Au début du mois de mai 1890, il est victime d'un accident de la circulation, à Paris, dont il semble se remettre mais sa santé se dégrade début novembre.
Il meurt le 8 novembre 1890, à 67 ans, des suites d'un emphysème du poumon.
Il laisse derrière lui plus de 200 oeuvres musicales.
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| COMPOSITEUR CESAR FRANCK |
Voici le proverbe du vendredi 8 novembre 2024 :
ZOAZ, NAGIA, XINHAURRIA GANA !
Va vers la fourmi, paresseux !
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| FABLE LA CIGALE ET LA FOURMI DE JEAN LA FONTAINE |
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