PROVERBE DU 13 NOVEMBRE 2022 (SAINT BRICE) (SAINT STANISLAS) (MONIKA).
BRICE : Brice est un enfant trouvé que Saint Martin confie au monastère de Marmoutier (Bas-Rhin).
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| 13 NOVEMBRE SAINT BRICE DE TOURS |
Moine, puis prêtre, il est finalement choisi par Saint Martin, dont il se moque ouvertement, pour le remplacer à sa mort, comme évêque de Tours.
Brice, à l'inverse de Saint Martin, dont il méprisait la pauvreté absolue, préférait s'entourer de jolies servantes et esclaves, ainsi que de beaux chevaux.
Bien que prêtre indigne, Brice succède à son bienfaiteur à la tête du diocèse de Tours en 397 et il devient ainsi le 4ème évêque .
Brice meurt en 444.
Brice sera canonisé et enterré auprès de son bienfaiteur.
Brice est le patron des juges.
STANISLAS : Saint Stanislas Kostka, né le 28 octobre 1550 à Rostkowo (Pologne) et mort le 15 août 1568 à Rome, est un novice jésuite polonais.
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| 13 NOVEMBRE SAINT STANISLAS DE KOSTKA |
Ayant fui sa famille et ses frères pour pouvoir entrer chez les jésuites, il meurt à Rome peu après avoir commencé son noviciat à Saint-André du Quirinal.
Il est béatifié le 14 août 1605 par le pape Paul V, canonisé le 31 décembre 1726 (avec Louis de Gonzague) par le pape Benoît XIII et liturgiquement commémoré le 13 novembre.
Il est le saint patron des novices jésuites, des étudiants, de la jeunesse et un des saints patrons de la Pologne.
MONIKA : Alarguna, San Agustinen ama (+387).
Etimologia iluna duen latineko Monnica iznetik. Batzuen ustez grezierako monakos "eremutarra", "bakardadean bizi dena" dukegu oinarrian. Beste batzuen ustez, berriz, latineko monna "emaztea" hitzetik datorke, n bikoitza baitzuen. Santa Monika san Agustinen ama izan zen. Santuaren eguna abuztuan 27an da. Aldaera : Monike (Deun-ixendegi euzkotarra). Baliokideak : Monica (es) eta Monique (fr).
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| 27 AOÛT SAINTE MONIQUE |
Un décès du 13 novembre : Jacob Abraham Camille Pissarro, dit Camille Pissarro.
PEINTRE CAMILLE PISSARRO
Né le 10 juillet 1830 à Charlotte-Amélie (Antilles danoises) - Mort le 13 novembre 1903 à Paris.
PEINTRE CAMILLE PISSARRO
Camille est un peintre impressionniste puis néo-impressionniste franco-danois.
Connu comme l'un des "pères de l'impressionnisme", il peint la vie rurale, en particulier des paysages et des scènes de Montmartre, et ses scènes autour du Louvre et des Tuileries.
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| TABLEAU DE CAMILLE PISSARRO |
Ses élèves sont, entre autres, Paul Cézanne, Paul Gauguin ou Henri-Martin Lamotte.
Pissarro est aussi un théoricien de l'anarchie et fréquente assidûment les peintres de la Nouvelle-Athènes, appartenant au mouvement libertaire.
Après son enfance aux Antilles, sur l'île Saint-Thomas, alors possession danoise, Camille, en 1842, part étudier à Passy (Seine), en France.
Il retourne aux Antilles en 1847, où son père l'initie au négoce et où il reste 5 ans à travailler dans le commerce de quincaillerie familial.
En 1852, il part pour le Venezuela, avec un ami, Fritz Melbye, artiste danois qui marque profondément son destin.
Il y demeure jusqu'en 1854 à peindre et à dessiner, puis rentre à Saint-Thomas pendant un an dans l'entreprise familiale.
En 1855, Camille renonce définitivement au commerce pour la peinture.
En octobre 1855, année de l'Exposition universelle, il arrive à Paris pour y étudier.
Il y rencontre de nombreux peintres tels que Camille Corot, Eugène Delacroix, Gustave Courbet, Dominique Ingres, Charles-François Daubigny et Jean-François Millet.
Entre 1859 et 1861, il fréquente diverses académies, dont celle du père Suisse (Martin-François), où il fait la connaissance de Claude Monet, Ludovic Piette, Armand Guillaumin et Paul Cézanne, qu'il encourage.
En 1860, Julie Vellay, fille de viticulteurs de Bourgogne, entre comme domestique chez les Pissarro et deviendra la compagne de Camille et son modèle, mais il ne l'épousera qu'en 1871 à Londres. Il aura avec elle 8 enfants.
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| PISSARRO ET SA FEMME EN 1877 |
En 1863, Cézanne et Emile Zola visitent son atelier à La Varenne (Maine-et-Loire).
De 1866 à 1869, il vit à Pontoise de manière épisodique et il y compose un grand nombre peintures, dessins et gravures.
En 1869, il s'installe à Louveciennes (Yvelines), avec sa femme et sa première fille, jusqu'à l'automne 1870, lors de la guerre avec les Prussiens, où il se réfugie à Londres, où il retrouve Daugigny et Monet, et fait la connaissance du marchand Paul Durand-Ruel.
Au printemps 1871, Camille revient à Louveciennes et c'est là qu'il acquiert et perfectionne son style impressionniste.
En 1872, il s'installe de nouveau à Pontoise et il va y rester jusqu'en 1882, pour aller à Osny et enfin, en 1884, à Eragny-sur-Epte (Oise).
C'est grâce à un prêt de Claude Monet qu'il peut y acquérir une maison où il passe ses dernières années, jusqu'à son décès en novembre 1903.
Dans les années 1880, il découvre les idées anarchistes et se lie d'amitié avec Paul Signac, Georges Seurat, Maximilien Luce, Emile Pouget, Louise Michel et Jean Grave.
Camille meurt le 13 novembre 1903, à 73 ans, de sepsis.
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| AUTOPORTRAIT DE CAMILLE PISSARRO 1898 |
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Voici le proverbe du dimanche 13 novembre 2022 :
BERE BURUA ABILTZAT DAUKANA ENGANA ERREXA DA.
Celui qui se croit supérieur est facile à tromper.
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