PROVERBE DU 9 JANVIER 2024 (SAINTE ALIX) (ADRIAN) (JULEN).
ALIX : Alix le Clerc naît le 2 février 1576 à Remiremont, dans les Vosges.
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| 9 JANVIER ALIX LE CLERC |
Alix est une religieuse lorraine, connue sous le nom de Mère Thérèse de Jésus.
Educatrice, créatrice (écoles, Alix fonde la Congrégation de Notre-Dame pour instruire les jeunes filles pauvres.
Alix meurt le 9 janvier 1622 à Nancy (Meurthe-et-Moselle).
Alix est béatifiée le 4 mai 1947 par le Pape Pie XII.
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| 9 JANVIER SAINTE ALIX |
JULEN : "Julianus" martira, VI. mendean Afrikan. Julia (gens) Erromako familia leinargia ; Julio Zesar bertakoa zen.
Latineko Iulius izenaren Iulianus gentiliziotik Juliano eta Julian sortu ziren. Ezaguna da IV. mendean Erromako enperadorea izan zen Juliano Apostatagatik. San Julianez Tedosio Goñikoaz kontatzen den antzeko istorioa kontatzen da (ikus Aralar eta Mikel sarrerak). Santuaren eguna martxoaren 8an da.
Aldaera : Julen (Deun-ixendegi euzkotarra). Baliokideak : Julian (es) eta Julen (fr).
Une naissance du 9 janvier : Simone Lucie Ernestine Marie Bertrand de Beauvoir, dite Simone de Beauvoir.
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| SIMONE DE BEAUVOIR |
Née le 9 janvier 1908 à Paris 6ème arrondissement - Morte le 14 avril 1986 à Paris.
Simone est une philosophe, romancière, mémorialiste et essayiste française.
 l'âge de 5 ans, elle entre au cours Désir (où elle va rester jusqu'au baccalauréat), où sont scolarisées les filles de "bonnes familles".
Dès le plus jeune âge, elle se distingue par ses capacités intellectuelles et se partage chaque année la première place avec Elisabeth Lacoin, dite "Zaza".
Après la Première Guerre mondiale, son grand-père maternel, Gustave Brasseur, ancien président de la Banque de Meuse qui a fait faillite, est déclaré banqueroutier, précipitant toute sa famille dans le déshonneur et la déconfiture.
Les parents de Simone doivent alors déménager et leurs relations se dégradent.
Elle perd progressivement la foi à 14 ans et elle commence à s'émanciper intellectuellement de sa famille.
A 15 ans, elle décide d'être un écrivain célèbre.
En 1925, après le baccalauréat, elle se dirige d'abord vers une licence classique.
Simone entame des études supérieures à l'Institut catholique de Paris pour les mathématiques et à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly pour les lettres.
Son professeur de littérature française, Robert Garric, va beaucoup l'impressionner.
Au cours de sa première année à l'université de Paris, elle obtient les certificats de mathématiques générales, de littérature et de latin.
En 1927, elle obtient le certificat de philosophie générale, puis au printemps 1928, la licence ès lettres mention philosophie, après l'obtention des certificats d'éthique et de psychologie.
Simone est reçue deuxième au concours d'agrégation de philosophie, en 1929, juste derrière Jean-Paul Sartre.
Elle devient ensuite professeure de philosophie et elle est surnommée Castor par Herbaud (René Maheu).
Entre 1929 et 1931, elle est professeure agrégée et donne des cours au lycée Victor-Duruy, à Paris.
Après Paris, elle est nommée à Marseille puis à Rouen, où elle fait la connaissance de Colette Audry, enseignante qui va rester son amie.
En 1936, Simone obtient un poste à Paris, où elle enseigne au lycée Molière jusqu'en 1939.
Elle en est suspendue à la suite de sa liaison avec une de ses élèves.
Son premier roman, écrit entre 1935 et 1937, Primauté du spirituel, est refusé par Gallimard et Grasset.
Elle publie son second roman en 1943.
Simone est à nouveau suspendue en juin 1943 à la suite d'une plainte pour "incitation de mineure à la débauche".
En 1943, elle travaille pour Radio Vichy où elle organise des émissions consacrées à la musique à travers les époques.
Elle s'installe avec Jean-Paul Sartre à l'hôtel La Louisiane, à Saint Germain des Prés en 1943.
Elle est réintégrée dans l'Education nationale à la Libération, par arrêté du 30 juillet 1945, mais n'enseignera plus jamais.
Avec Jean-Paul Sartre, Raymond Aron, Michel Leiris, Maurice Merleau-Ponty, Boris Vian et quelques intellectuels de gauche, Simone fonde la revue : Les temps modernes qui a pour but de faire connaître l'existentialisme à travers la littérature contemporaine.
Après plusieurs romans et essais, elle devient indépendante financièrement et elle voyage dans de nombreux pays (Etats-Unis, Chine, Russie, Cuba, etc...) et elle rencontre plusieurs personnalités communistes, tels que Fidel Castro, Che Guevara, Mao Zedong, Richard Wright.
En 1949, elle obtient la consécration en publiant Le Deuxième Sexe, avec 22 000 livres vendus dès la première semaine.
Le livre est traduit dans plusieurs langues et aux Etats-Unis, il se vend à un million d'exemplaires.
Simone devient la figure de proue du féminisme en décrivant une société qui maintient la femme dans une situation d'infériorité.
En 1954, après plusieurs romans dont L'Invitée (1943) et Le Sang des autres (1945), elle obtient le prix Goncourt pour Les Mandarins.
En 1960, elle signe le Manifeste des 121, déclaration sur le "droit à l'insoumission" dans la guerre d'Algérie.
En 1964, elle publie Une mort très douce qui retrace la mort de sa mère.
Avec Gisèle Halimi, Simone lutte pour le droit à l'avortement, rédigeant et publiant Le Manifeste des 343, en avril 1971.
En 1977, elle est directrice de rédaction de Questions féministes, principal organe de publication du courant féministe matérialiste, puis en 1981 directrice de Nouvelles Questions féministes.
Elle meurt le 14 avril 1986, à 78 ans.
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| SIMONE DE BEAUVOIR |
Voici le proverbe du mardi 9 janvier 2024 :
EGIAK BERDIN GEZUR BILAKATZEN ALA MOZTUZ , ALA EMENDATUZ.
La vérité devient mensonge si on la raccourcit ou si on l'amplifie.
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| LIVRE MONTAIGNE OU LA VERITE DU MENSONGE PAR GISELE MATHIEU-CASTELLANI |
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