PROVERBE DU 29 MAI 2019 (SAINT AYMARD) (SAINT MAXIMIN) (LAMIN).
AYMARD : Aymard faisait partie d'un groupe de onze inquisiteurs envoyés en pays cathare par le pape Grégoire XI.
29 MAI SAINT AYMARD |
Aymard et ses compagnons furent assassinés à Avignonet, près de Toulouse, par des sympathisants Albigeois le 29 mai 1242.
Les onze Bienheureux d'Avignonet furent déclarés martyrs au 14ème siècle.
Ils furent béatifiés le 6 septembre 1866 par le pape Pie IX.
MAXIMIN : Maximin de Trèves, naît à Silly, dans la Vienne.
29 MAI SAINT MAXIMIN DE TREVES |
Maximin est le 5ème évêque de Trèves et il succède à Saint Agritius.
Maximin oeuvre pour l'évangélisation de son diocèse, ainsi que des territoires proches dont l'Alsace et la Lorraine.
Il accorde l'asile à Trèves à son ami Athanase d'Alexandrie entre 335 et 337 et le soutient dans sa lutte contre l'arianisme.
Il est reconnu saint par l'Eglise catholique.
LAMIN : Lamiaren oroitzapenak aztarna asko utzi du euskal leku izenetan. Lamien bestak. Lamiakon. Aster Saindua (1206).
Une naissance du 29 mai : Clémence-Louise Michel, dite Louise Michel.
Née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte (Haute-Marne) - Morte le 9 janvier 1905 à Marseille (Bouches-du-Rhône).
C'est une institutrice, militante anarchiste, franc-maçonne, aux idées féministes.
C'est l'une des figures majeures de la Commune de Paris, en 1871.
Première à arborer le drapeau noir, elle popularise celui-ci au sein du mouvement libertaire.
Préoccupée très tôt par l'éducation, elle enseigne quelques années en Haute-Marne, avant de se rendre à Paris en 1856.
LOUISE MICHEL |
A 26 ans, elle y développe une importante activité littéraire, pédagogique et politique et se lie avec plusieurs personnalités révolutionnaires blanquistes de Paris des années 1860.
En 1871, pendant les événements de la Commune de Paris, elle est, tour à tour, propagandiste, animatrice d'un club politique, ambulancière et participe également à la plupart des combats contre les troupes de Versailles.
Arrêtée au terme de la Semaine Sanglante, elle est condamnée à la déportation en Nouvelle-Calédonie et elle s'y convertit à la pensée anarchiste.
En 1880, elle revient en Métropole et multiplie les manifestations et réunions en faveur des prolétaires.
Elle reste surveillée par la police et est emprisonnée à plusieurs reprises, mais poursuit son militantisme politique dans toute la France, jusqu'à sa mort, le 9 janvier 1905, à Marseille.
LOUISE MICHEL |
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