Libellés

jeudi 4 décembre 2025

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 4 DÉCEMBRE 2025 SAINTE BARBE ET SAINTE ADA ET SAINT JEAN DAMASCÈNE - INHAR

 


PROVERBE DU 4 DÉCEMBRE 2025 (SAINTE BARBE) (SAINTE ADA) (SAINT JEAN DAMASCÈNE) (INHAR).


BARBE Barbe (ou Barbara ou Barbare) vit au 3ème siècle en Bithynie (au nord-ouest de l'Anatolie, Turquie) sous le règne de l'empereur Maximien.



religion catholique saint sainte barbe
4 DECEMBRE SAINTE BARBE


Selon une légende populaire, sainte Barbe est condamnée au supplice par le gouverneur romain de la province pour s'être convertie au Christianisme.

Ne voulant pas abjurer sa foi, le gouverneur ordonne à son père de trancher lui-même la tête de sa fille.

Barbe est d'abord torturée : elle est brûlée et on lui arrache les seins.

Son père décapite Barbe mais la foudre le frappe et il meurt.

Quand les chrétiens viennent demander le corps de la jeune martyre, ne pouvant prononcer son nom de baptême chrétien, ils en parlent comme "la jeune femme barbare", d'où le nom de sainte Barbara qui lui est donné.

Pour cette raison, Barbe (ou Barbara) est devenue la patronne des artificiers, des artilleurs, des mineurs et des pompiers.



religion catholique saint sainte pompiers artificiers barbe
4 DECEMBRE SAINTE BARBE




ADA : Sainte Ada (ou Ada du Mans, Ada de Soissons ou encore Ada de Saint-Julien) est une sainte catholique née au Mans au 7ème siècle.

Elle a été religieuse à Soissons (Aisne) et abbesse de l'abbaye Saint-Julien-des-Près au Mans (Sarthe).

Elle est la nièce de saint Engelbert, évêque du Mans.

Ses reliques ont été déposées à la cathédrale du Mans, aux côtés de celles de saint Julien du Mans.

Ada est la sainte patronne des religieuses.



religion catholique saint sainte ada
4 DECEMBRE SAINTE ADA




JEAN DAMASCÈNE : Jean Damascène ou Jean de Damas ou Jean Mansour, naît à Damas vers 675 ou 676 et meurt le 4 décembre 749 à Mar Saba, près de Jérusalem.



religion catholique saint sainte jean damascène
4 DECEMBRE SAINT JEAN DAMASCENE


C'est un moine, prêtre, théologien, apologiste et hymnographe chrétien d'origine Arabe, écrivant en langue grecque.

Il est l'un des Pères de l'Eglise orthodoxe et est surtout connu pour sa défense des icônes.

Il est déclaré Docteur de l'Eglise catholique par le pape Léon XIII en 1890.




INHAR : J.M. Barandiaranen hiztegi mitologikoa.




Une naissance du 4 décembre Henri Jean-Baptiste Grégoire, dit l'abbé Grégoire.



prêtre catholique évêque politique révolution française
PORTRAIT DE L'ABBE GREGOIRE
PAR PIERRE JOSEPH CELESTIN FRANCOIS 1800




Né le 4 décembre 1750 à Vého (Meurthe-et-Moselle) - Mort le 28 mai 1831 à Paris.

C'est un prêtre catholique, évêque constitutionnel et homme politique français, l'une des principales figures de la Révolution française.

Rallié au tiers état, à l'Assemblée constituante, il réclame non seulement l'abolition des privilèges et de l'esclavage mais prône aussi le suffrage universel masculin.

Fondateur du Conservatoire national des arts et métiers et du Bureau des longitudes, il participe à la création de l'Institut de France, dont il devient membre.

Il commence ses études avec le curé de son village qui remarque ses dispositions intellectuelles dès l'âge de 5 ans.

A 8 ans, Henri rejoint l'abbé Cherrier à Emberménil et il étudie, en compagnie de fils de hauts fonctionnaires au service du duc de Lorraine Stanislas Leszczynski.

Il poursuit ses études au collège jésuite de Nancy de 1763 à 1768, où il découvre les idées des Lumières, lui ouvrant les portes des milieux intellectuels lorrains.

Il s'oriente ensuite vers l'université de Pont-à-Mousson, puis celle de Nancy, où, de 1769 à 1771, il y étudie la philosophie et la théologie.

Parallèlement, il suit des cours au séminaire de Metz tenu par les lazaristes.

Henri se lance aussi dans la poésie et il obtient, en 1773, le prix de l'Académie de Nancy pour son Eloge de la poésie.

A l'automne 1774, il entre au séminaire de Metz et il est ordonné prêtre en avril 1775.

Depuis 1776, il est membre de la Société philanthropique et charitable de Nancy.

En 1782, il est désigné curé d'Emberménil et de Vaucourt, en Meurthe-et-Moselle.

En dehors de sa paroisse, Henri mène une vie intellectuelle active.

Il parle l'anglais, l'italien et l'espagnol, et dans une moindre mesure l'allemand.

Il s'intéresse également au fonctionnement démocratique de la Confédération suisse.

A partir de 1787, il fait partie d'un groupe de curés lorrains voulant participer aux Etats généraux et il est élu, en 1789, député du clergé.

A l'Assemblée constituante, Henri réclame l'abolition totale des privilèges et il rejoint le tiers état.

Henri participe à la rédaction de la déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, ainsi qu'à celle de la Constitution civile du clergé.

Après la dissolution de la l'Assemblée constituante, en septembre 1791, il revient à son office d'évêque de Blois.

En septembre 1792, il est élu député du Loir-et-Cher à la Convention nationale, dont il devient président, entre le 15 et le 29 novembre 1792.

Lors du vote de la mort du roi Louis XVI, il n'est pas présent à Paris, et son attitude est ambigüe.

Henri s'occupe de la réorganisation de l'instruction publique en étant un des membres les plus actifs du Comité de l'Instruction publique.

Dès août 1790, il lance une grande enquête qui prendra 4 ans relative "aux patois et aux moeurs des gens de la campagne".

Suite à la destruction massive de monuments et objets qu'il considère "nationaux", il devient protecteur des biens de la Nation.

Pendant la Terreur, il ne cesse de siéger à la Convention en habit ecclésiastique et n'hésite pas à condamner vigoureusement la déchristianisation des années 1793 et 1794.

Plusieurs fois, Henri échappe de peu à une arrestation, continuant à se promener dans les rues en tenue épiscopale et célébrant tous les jours la messe chez lui, soutenu par Robespierre et Danton.

La constitution de l'an III (août 1795) le fait entrer au conseil des Cinq-Cents (député de l'Hérault) ; le coup d'Etat du 18 Brumaire (novembre 1799) le porte au Corps législatif comme député de Loir-et-Cher.

Présenté par le Corps législatif, le Tribunal et le Sénat conservateur, pour faire partie de ce dernier corps, il hésite mais accepte ces hautes fonctions le 25 décembre 1801.

Il s'engage contre le rétablissement de l'esclavage par Napoléon après son coup d'Etat de 1799.

Henri plaide vigoureusement la cause des juifs, étant un des principaux artisans de leur émancipation.

Malgré son opposition à Napoléon, il est nommé membre de la Légion d'honneur en octobre 1803 et commandant de l'Ordre en juin 1804.

Il devient comte de l'Empire en 1808.

Pendant l'Empire et sous la Restauration, il écrit de nombreux ouvrages, notamment une Histoire des sectes en deux volumes (1810).

Au Sénat conservateur, Henri fait partie des rares opposants irréductibles à Napoléon 1er, s'opposant à la proclamation de l'Empire.

De même, il s'oppose à la création de la nouvelle noblesse d'Empire puis au divorce de Napoléon et de Joséphine.

En avril 1814, il est l'un des 64 sénateurs qui répondent à la convocation de Talleyrand pour proclamer la déchéance de Napoléon.

En mars 1816, il est frappé par l'ordonnance d'épuration de l'Institut de France, ainsi que CarnotMonge et quelques autres.

Lors des élections partielles de septembre 1819, Henri est élu député de l'Isère.

A cause de sa réputation de régicide, il est exclu de l'Assemblée, en novembre 1819.

Dès lors, il vit dans la retraite, mais sans pension, et est contraint de vendre sa bibliothèque.

Malade, vraisemblablement atteint d'un cancer généralisé, sentant la fin de sa vie proche, il demande les secours de la religion.

L'archevêque de Paris refuse à Henri l'assistance d'un prêtre et toute messe funéraire.

Passant outre aux ordre de l'archevêché, l'abbé Guillon, confesseur de la reine, lui délivre néanmoins les derniers sacrements par charité chrétienne, dont l'extrême-onction.

Il meurt le 28 mai 1831, à 80 ans.



prêtre catholique évêque politique révolution française
PORTRAIT DE GREGOIRE 
DEPUTE DU LOIR-ET-CHER
A LA CONVENTION NATIONALE



Voici le proverbe du jeudi 4 décembre 2025 :


AMOREZKO EZKONTZEA, DOLOREZKO BIZITZEA.

Mariage d'amour, vie de douleur.



pays basque mariage basse-navarre
NOCE BASQUE ST JEAN PIED DE PORT - DONIBANE GARAZI
PAYS BASQUE D'ANTAN






(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)



Merci ami(e) lecteur (lectrice) de m'avoir suivi dans cet article.

Plus de 6 700 autres articles vous attendent dans mon blog :

https://paysbasqueavant.blogspot.com/


N'hésitez pas à vous abonner à mon blog, à la page Facebook et à la chaîne YouTube, c'est gratuit !!!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire