PROVERBE DU 13 OCTOBRE 2024 (SAINT GÉRAUD) (SAINT THÉOPHILE) (HARITZ).
GÉRAUD : Saint Géraud naît en 855 au château Saint-Etienne d'Aurillac.
13 OCTOBRE SAINT GERAUD D'AURILLAC
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| 13 OCTOBRE SAINT GERAUD D'AURILLAC |
Géraud, comte d'Aurillac se signale par la bonté avec laquelle il administre son fief, n'hésitant pas libérer de nombreux serfs.
Fondateur de l'abbaye d'Aurillac, modèle de celle de Cluny, sa vie a été relatée par Odon de Cluny, qui en a fait le modèle chevaleresque du seigneur chrétien qui met sa force et ses richesses au service de la Justice et des humbles.
Géraud meurt le 13 octobre 909, à Cezeinac, en Quercy.
THÉOPHILE : Théophile est, au 2ème siècle, le septième évêque de l'Eglise d'Antioche.
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| 13 OCTOBRE SAINT THEOPHILE D'ANTIOCHE |
Théophile est connu par quelques notices anciennes, ainsi que par le seul de ses traités — une apologie — qui a été préservé : le Traité à Autolycus.
De tous les apologètes du 2ème siècle dont les textes ont été conservés, Théophile est l'un des seuls à avoir été évêque avec Méliton de Sardes.
HARITZ : Durango : lehenago S. Fausto Arizko baselizan emana izan zen. Ariz : Basauriko jaiak eta etxe Dorrea ARITZ XII. mendekoa. ARITZ : Leizako mendia 1 045 m.
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| LEITZA NAVARRE Par Euskaldunaa — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=17365673 |
Haritza (Quercus sp.) zuhaitz sakratua izan da Euskal Herrian, erromataren garaian (I-III m.) ageri den Arixo jainko izenean ikus daitekeen bezala, hau haritz-ekin loturik badago bederen. Ezbairik gabe ezagunena Gernikakoa da, baina Enkarterrin ere bazen beste bat, Avellanedan, frantsesek erre zutena. Aldaera : aretx, mendebaldeko euskaran. Bizkaiko aemarrian eta Euskalzaindiarenean zuhaitz hau bera ageri da.
Un décès du 13 octobre : Charles-Augustin Sainte-Beuve.
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| CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE |
Né le 23 décembre 1804 à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) - Mort le 13 octobre 1869 à Paris.
Représentant du romantisme, il est réputé pour ses critiques littéraires et la méthode d'écriture qu'il a employée.
Charles-Augustin est orphelin de père, dès sa naissance.
Il fait des études secondaires à Boulogne-sur-Mer, jusqu'en 1818.
Puis, il continue ses études à Paris, de la classe de troisième à la première année de rhétorique et en philosophie.
En 1822, il est lauréat du Concours général, remportant le premier prix de poésie latine.
Charles-Augustin obtient son baccalauréat ès lettres, en octobre 1823, avant de s'inscrire, en novembre, à la faculté de médecine.
Nommé externe, en 1826, à l'hôpital Saint-Louis, il abandonne ses études de médecine, en 1827, pour se consacrer aux lettres.
Egalement en 1827, après avoir publié une critique élogieuse des Odes et ballades de Victor Hugo, il se lie d'amitié avec lui.
En septembre 1830, il se bat en duel avec Paul-François Dubois, l'un des propriétaires du journal Le Globe.
Charles-Augustin se lance dans les études littéraires, dont la plus connue est Port-Royal, et il collabore notamment à La Revue contemporaine.
Il est élu à l'Académie française, en mars 1844.
En 1848-1849, il accepte une chaire à l'université de Liège (Belgique), où il donne un cours consacré à Chateaubriand et son groupe littéraire, qu'il publie en 1860.
A partir d'octobre 1849, il publie, successivement dans Le Constitutionnel, Le Moniteur et Le Temps des feuilletons hebdomadaires regroupés en volumes sous le nom de Causeries du lundi.
En 1852, Charles-Augustin se rallie au Second Empire et en décembre 1854, il obtient la chaire de poésie latine au Collège de France, mais chahuté par des étudiants dénonçant son ralliement, il doit en démissionner en mars 1855.
En novembre 1857, il est nommé maître de conférences à l'Ecole normale supérieure, où il donne des cours de langue et de littérature françaises de 1858 à 1861.
Sous l'Empire libéral, il est nommé au Sénat, où il siège d'avril 1865 jusqu'à sa mort, le 13 octobre 1869, à 64 ans.
Sa méthode d'écriture s'appuie sur l'étude de la biographie et des documents historiques liés à un auteur.
Son oeuvre littéraire est constituée de poésie, de romans et nouvelles, de critiques ainsi que d'une nombreuse correspondance.
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| CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE PHOTO PRISE ENTRE 1860 ET 1869 |
Voici le proverbe du dimanche 13 octobre 2024 :
HORTZAK IZERDI, HERTZEAK IGERI.
Les dents en sueur, les intestins nageurs.
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