PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 5 DÉCEMBRE 2024 SAINT GÉRALD ET SAINT SABAS - ENAITZ
PROVERBE DU 5 DÉCEMBRE 2024 (SAINT GÉRALD) (SAINT SABAS) (ENAITZ).
GÉRALD : Gérald de Moissac (ou Géraud) naît dans une famille noble du Quercy.
5 DECEMBRE SAINT GERALD DE MOISSAC
Gérald est élevé à l'abbaye de Moissac (Tarn-et-Garonne) dont il sera bibliothécaire.
Devenu bénédictin, Gérald enseigne la grammaire et la musique, et il dirige les chants.
Envoyé à Toulouse, Gérald est remarqué par Bernard de Sédirac, archevêque de Tolède, qui l'emmène avec lui pour en faire le chef de choeur.
Gérald devient évêque de Braga, au nord du Portugal, en 1100.
Il entreprend de reévangéliser le pays qui sort à peine d'une longue domination musulmane.
Gérald meurt à Bornos (Espagne) le 5 décembre 1109.
Gérald est reconnu comme saint par l'Eglise catholique.
SABAS : Sabas le Sanctifié naît en 439 en Cappadoce (Turquie actuelle).
5 DECEMBRE SAINT SABAS LE SANCTIFIE
Très jeune, Sabas entre au monastère de Flaviana.
A 17 ans, il effectue un pèlerinage à Jérusalem et va trouver Euthyme le Grand, avant de se retirer dans une grotte pendant des années.
A 53 ans, il est ordonné prêtre.
A 55 ans, le patriarche de Jérusalem le nomme archimandrite des ermites de Palestine.
Sabas meurt le 5 décembre 532, à l'âge de 94 ans au Monastère Mar Saba.
Moine et fondateur de monastères chrétiens orthodoxes (laures), Sabas est vénéré en tant que saint et fêté le 5 décembre.
ENAITZ : J.M. Satrustegiren izendegia. Aizkorri mendia (1300m).
MONT ENAITZ GUIPUSCOA PAYS BASQUE D'ANTAN
Un décès du 5 décembre : Alexandre Dumas, dit aussi Alexandre Dumas père.
Né le 24 juillet 1802 à Villers-Cotterêts (Aisne) - Mort le 5 décembre 1870 à Neuville-lès-Dieppe (Seine-Maritime).
C'est un écrivain français.
Son père, général d'armée, meurt en février 1806, 4 ans après sa naissance, et il est élevé par ses grands-parents maternels.
A neuf ans, Alexandre entre au collège de l'abbé Grégoire à Villers-Cotterêts, recevant les bases de l'instruction primaire, et il y reste jusqu'en 1813.
En août 1816, il entre comme coursier dans une étude de notaire.
En 1819, il fait la connaissance d'Adolphe de Leuven, avec qui il écrit des drames et des vaudevilles.
Il va à Paris, en 1822, trouvant une place de clerc de notaire et découvrant la Comédie-Française où il rencontre un acteur célèbre, Talma.
En 1823, Alexandre travaille dans les bureaux du secrétariat du duc d'Orléans et il fait venir sa mère à Paris.
Le 27 juillet 1824, naît son fils Alexandre, fruit de sa liaison avec Laure Labay, couturière et sa voisine de palier.
En mars 1931, naît sa fille Marie-Alexandrine, qu'il a eue avec l'actrice Belle Kreilssamer.
En janvier 1840, il épouse Ida Ferrier mais ils se séparent en 1844.
Alexandre a de nombreuses liaisons et au moins deux autres enfants naturels : Harry Bauër (en 1851) et Micaëlla-Clétie-Josepha-Elisabeth Cordier (en 1860).
De 1828 à 1836, il connaît la consécration au théâtre, en particulier avec son premier drame historique, Henri III et sa cour, en 1829, La Tour de Nesle, en 1832.
A partir de 1832, il commence à voyager, d'abord en Suisse, où il rencontre Chateaubriand, puis en Italie, en Allemagne et en Belgique.
En 1840, Alexandre est candidat à l'Académie française.
Auteur prolifique, il s'oriente vers le roman historique tel que la trilogie Les Trois Mousquetaires (1844), Vingt Ans après (1845) et Le Vicomte de Bragelonne (1847), ou encore Le Comte de Monte-Cristo (1844-1846), La Reine Margot (1845) et La Dame de Monsoreau (1846).
La paternité de certaines de ses oeuvres lui est contestée.
Alexandre est ainsi soupçonné par plusieurs critiques de son époque d'avoir recours à des prête-plume, notamment Auguste Maquet.
En 1846, il fait construire son propre théâtre, à Paris, le "Théâtre-Historique".
Alexandre dispose alors de très gros revenus, mais il dépense encore plus, faisant bâtir, également en 1846, à Port-Marly (Yvelines), le château de Monte-Cristo, et y donnant des fêtes.
La Révolution de 1848 le ruine, son château est saisi pour payer la pension alimentaire à sa femme Ida Ferrier.
En décembre 1851, menacé de banqueroute, il s'exile à Bruxelles avec Victor Hugo, pour protester contre le coup d'Etat de Napoléon III.
Alexandre commence à écrire ses Mémoires à Bruxelles et il y a beaucoup de succès.
Il rentre d'exil, à Paris, en 1853 et il y lance, en novembre, un quotidien, Le Mousquetaire, journal qui cesse de paraître en février 1857.
Fin mars 1857, il rend visite à Victor Hugo, à Guernesey.
De 1852 à 1859, il publie plusieurs récits de voyages, dont un en Russie, de 1858 à 1859.
En 1860, Alexandre vend ses biens pour acheter des armes pour l'armée de Garibaldi.
Il est nommé directeur des fouilles de Pompéi et directeur des musées, à Naples, pendant trois ans.
Il rentre en France en avril 1864 et donne des conférences dans plusieurs villes françaises où il raconte ses souvenirs.
Pendant ses dernières années, il continue à écrire des romans, puis dans de journaux qui lui appartiennent.
En septembre 1870, Alexandre est victime d'un accident vasculaire qui le laisse à demi paralysé.
Il meurt le 5 décembre 1870, à 68 ans.
Sa dépouille sera transférée au Panthéon le 30 novembre 2002.
L'oeuvre d'Alexandre Dumas est universelle ; avec un total de 2 540 traductions, il vient au treizième rang des auteurs les plus traduits en langue étrangère.
ALEXANDRE DUMAS PERE
Voici le proverbe du jeudi 5 décembre 2024 :
MEDIKU TXARRAK ETA ARNO ONAK ASKO HILTZEN DITUZTE.
Le mauvais médecin et le bon vin en tuent beaucoup.
HUMOUR : LE BON VIN DE FRANCE
(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)
Merci ami(e) lecteur (lectrice) de m'avoir suivi dans cet article.
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