CHANGEMENT DE MOIS = CHANGEMENT D'ARRIÈRE-PLAN DE MON BLOG.
Comme je m'y suis engagé il y a quelques mois, nous sommes le premier du mois et je change donc l'arrière-plan de mon blog.
Après celui du mois d'août , je vous propose pour le mois de septembre comme arrière-
plan :
Voici pour rappel les arrières-plan que je vous ai déjà proposés :
En août 2018 :
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ATTELAGE BASQUE PAYS BASQUE D'ANTAN ARRIERE PLAN DE JUILLET 2018 |
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En janvier 2018 :
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"Le passage à la douane à Saint-Jean-Pied-de-Port (Donibane Garazi en Basque)".Je vous ai parlé dans un article précédent des douaniers et des contrebandiers à la frontière.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
En 1866, le Conseil Municipal d'Hendaye décide d'établir au port un bac sur la Bidassoa,destiné au passage des touristes vers Fontarrabie.Ayant observé que les bateliers hendayais n'avaient pas de scrupulespour faire payer lespassagers dans leurs bateaux privés, le Conseil Municipal, en établissant ce bac, fixe le prixde passage.Le métier de passeur était de bon rapport.La traversée demandait, selon la marée, de 10 à 30 minutes.Les prix variaient selon que l'on est touriste ou journalier.Les passages les plus nombreux se font à l'occasion des processions du Vendredi Saint et desfêtes du 8 septembre.Les prix alors se font plus sages : 50 centimes la traversée et 15 centimes pour les abonnés (leprix du kilo de pain est de 45 centimes).Sous l'oeil débonnaire du douanier, les touristes s'installent par groupes de 6 à 8 dans chaqueembarcation qui dispose de 3 ou 4 bancs.Les passeurs les plus réputés étaient hormis Suertegaray représenté ci-dessous :Elie Nacabal (surnommé Chamblan), Elie NAzabal (Tarat), Orthous (Pottoko), FirminSisitiaga (Bitiri) et son fils Bartholomée, Pépé Camino, Patxiku Berra.En 1891, Ulysse et Jean Baptiste Van Lissum, Suertegaray, Ignacio, Jean Ortet et Navarrasignent un nouveau règlement devant le syndic B Lafosse et avec le Concours du ConseilMunicipal (maire M VIC) .
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La Pastorale d'Alos est jouée les 15 et 29 avril 1928.Le thème de cette pastorale est "Abraham".La presse locale rapporta :"A propos d'une pastorale.Les jeunes gens d'Alos-Sibas viennent de donner, sous la direction des frères Salaber, la pastorale d'Abraham.Le succès a été grand et mérité...Il faut que nos pastoraliers soient bien persuadés que ce n'est pas en "modernisant" le théâtre basque qu'ils le rendront intéressant. Notre théâtre vivra si l'on comprend d'abord qu'il ne faut pas le transporter, devant des touristes qui n'y comprennent rien (sic) et qui se moquent de nous, à Salies de Béarn ou même à Saint Jean Pied de Port, où nous avons vu Napoléon 1er tournée en ridicule, après qu'il avait été applaudi à Cheraute....Que les frères Salaber et les autres tiennent compte de ces avis et nous ne leur ménagerons pas nos applaudissements.UN SOULETIN"
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FERDINAND CHANTEUR COMPTEUR DE POINTS PELOTE BASQUE | PAYS BASQUE D'ANTAN ARRIERE PLAN DE MAI 2017 Le chanteur de points annonce le score au public, en chantant, en Basque, lors de partiesimportantes comme des finales par exemple.Dans les cartes postales anciennes, on trouve souvent des cartes de Ferdinand, dans les années1900 mais je n'ai pas réussi à trouver le nom de famille de ce Ferdinand.Il y a eu d'autres chanteurs-compteurs de points célèbres, comme Rotschild Le Pauvre, àl'époque des Chiquito de Cambo, Eloy ou Hirigoyen.Cette tradition de chanteur de points a perduré jusqu'à nos jours.
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La poésie basque peut être fort harmonieuse.Pour vous en convaincre, je reproduirai quelques vers provenant du Guipuzcoa.Voici le commencernent d’un petit poème de José Maria de Iparraguirre (1):Ume eder bat icusi nubenDonostiaco calean;Itz erdicho bat ari esan gabeNola pasatu parean?Gorputza zuhen liraña etaOñac cebiltzan airean;Politagoric ez det icusiNere beguiyen aurreanEn français:"J’ai vu une belle fille dans la rue de Saint-Sébastien;aurais-je pu passer sans lui dire un petit mot?Elle était svelte de corps et ses pieds traversaient l’air;rien de plus agréable n’est jamais venu sous mes yeux".
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Picasso a peint ce tableau à Biarritz, durant l'été 1918, lors de son voyage de noces avec OlgaKhokhlova, sa première femme, qu'il a épousée le 12 juillet 1918, à la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky de la rue Daru à Paris.Lors du mariage, les témoins de Pablo Ruiz Picasso étaient, excusez du peu, Jean Cocteau,Guillaume Apollinaire et Max Jacob.Ce tableau de 27 x 22 cm a toujours été conservé par Picasso, à l'abri des regards indiscretsdans ses ateliers successifs, parce qu'il lui rappelait une époque heureuse avec Olga.Ce tableau fut découvert dans un magazine français à grande diffusion à l'occasion del'exposition Picasso en 1966 au Grand et Petit Palais à Paris.Il fut donné à l'Etat Français par ses héritiers.
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VOLTAIRE définissait les Basques comme "un petit peuple qui chante et danse au pied desPyrénées".Il existe un grand nombre de figures de danses :
Les instruments de musique qui accompagnent ces danses sont la chirula, flûte à trois trois, lettun-ttun, sorte de petit tambour et le trikitixa, un accordéon diatonique.Sur la place du village, souvent à la sortie de la messe, jeunes et anciens formaient unegrande farandole.
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Une partie de pelote à HENDAYE au fronton GAZTELU ZAHAR.Une partie de pelote à chistera oppose 5 joueurs.On aperçoit les spectateurs des 2 côtés du fronton, les uns assis et les autres debout.Un juge arbitre est devant le mur du fronton;On voit dans la foule un drapeau tricolore.La partie se passe au début des années 1900, vers 1902 ou 1903 (le fronton a été inauguré enjuillet 1901).
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Que pouvons-nous voir sur cette carte postale ?Tout d'abord, qu'il y a beaucoup de monde sur cette photo. Il n'y a pas d'hommes (sûrementpartis travailler à la pêche ou aux champs).Seulement, les femmes sont présentes et s'occupent de leur ménage et de leurs enfants. Ellessont de tous âges.Les gamins présents sont en très grand nombre (le planning familial et les moyens decontraception sont certainement peu connus, pas efficaces ou peu utilisés).Les familles en 1900 sont des familles nombreuses, avec beaucoup d'enfants à élever.Les enfants sont dans la rue, qui est certainement leur terrain de jeux favori.L'école est obligatoire, de ce côté ci de la frontière en GUIPUZKOA, depuis l'âge de 3 ans.Depuis 1838 , les garderies ont été transformées en écoles véritables. Le personnel enseignantdoit être féminin , sauf exceptions.Chaque école ne forme qu'une classe unique, avec une maîtresse et une ou deux auxiliairespour 100, 200 ou 300 enfants, dans une salle de dimension généralement insuffisantes.D'autre part, sur la photo, on voit peu d'animaux dans la rue .On aperçoit seulement un chien, animal de compagnie ou de garde.Les maisons quant à elles sont vieilles et en mauvais état d'entretien.Le linge, qui a été lavé au lavoir, est étendu sur les balcons, au soleil.En résumé, les conditions de vie ont l'air dures.
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