PROVERBE DU 16 FÉVRIER 2024 (SAINTE JULIENNE) (SAINT SIMÉON) (LUCILE) (JULENE).
JULIENNE : Julienne naît à Nicomédie (Turquie), au début du 4ème siècle.
Julienne est martyrisée en 305, parce que fiancée au préfet de Nicomédie, elle veut le convertir.
Même son père, paraît-il, réclame sa mort pour un pareil crime.
Le culte de Julienne était très important à Naples, au Moyen Âge.
SIMÉON : Saint Siméon naît au 2ème siècle.
Siméon est juif, originaire de Crète et pendant 30 ans il est évêque de Metz.
On sait peu de chose sur lui.
De nombreux miracles sont attribués à saint Siméon.
Il est inhumé dans la crypte de Saint-Clément à Metz.
Voici ce que rapporta à son sujet La Gazette de France, le 15 février 1897 :
"Mardi 16 février. Saint Siméon (IIe siècle).
Il était juif, originaire de Crète et fut trente ans évêques de Metz. C’est tout ce qu’on sait de lui. Il avait été inhumé dans la crypte de Saint-Clément. Angelrame, un de ses successeurs, ayant soumis à son église l’abbaye de Senones dont il était abbé, ses religieux, exempts jusque-là des juridictions épiscopales, en murmurèrent. L’évêque, pour regagner leur cœur, leur donna les reliques de saint Clément. Les moines d'abord les refusèrent, et l’on dut les déposer dans une chapelle bâtie sur une colline voisine. Mais les miracles qui s’y produisirent furent si nombreux que les religieux réclamèrent bientôt ces saintes reliques. (Chronique de Richer, religieux de Senones (XIIIe siècle).
JULENE : Gaztelaniako "Juliana".
(...) Julene - Sabino Aranak eta Koldo Elizaldek argitaratuko Santu Izendegia-n Gaztelaniazko Juliana izenarentzat proposatzen den baliokidea. Ikus Juliana. - - Juliana / / Julienne (...)
Juliana : Juliana (es), Julienne (fr), Juliana (en).
Latineko Iulius izenaren Iulianus gentiliziotik sortu ziren Juliano eta Julian. Kapadoziako santa Julianaren erlikiak Santillana del Mar (Kantabria) herrian daude. Santuaren eguna otsailaren 16an da. Aldaera : Julene (Deun-ixendegi euzkotarra).
Un décès du 16 février : François-Joseph Gossec.
Né le 17 janvier 1734 à Vergnies (Royaume de France) - Mort le 16 février 1829 à Passy (Seine, Royaume de France).
C'est un compositeur, violoniste, directeur d'opéra et pédagogue français.
François-Joseph naît à Vergnies, un village français enclavé dans le Comté de Hainaut, alors domaine de la couronne autrichienne.
Formé à Walcourt (Wallonnie) avant de devenir choriste à la cathédrale d'Anvers, puis à Bruxelles et Liège, il s'installe, en 1751, à Paris.
A 17 ans, il est engagé comme violoniste de La Pouplinière.
Il est initié à la franc-maçonnerie et membre de la loge parisienne "La réunion des Arts".
Entre 1762 et 1770, François-Joseph dirige, en tant que maître de musique, le théâtre du prince de Condé à Chantilly.
Il passe ensuite au service d'un autre prince du sang, le prince de Conti, en tant qu'intendant de la musique.
Il fonde le Concert des Amateurs en 1769, qu'il dirige jusqu'en 1773.
Entre 1773 et 1777, il est directeur du Concert Spirituel.
En 1780, François-Joseph devient sous-directeur de l'Opéra puis, après la démission d'Antoine Dauvergne, à Pâques 1782, directeur général.
En 1784, il dirige la nouvelle Ecole royale de chant, fondée par le baron de Breteuil.
Il rejoint les rangs de la Révolution.
Il écrit de nombreuses oeuvres et des hymnes.
François-Joseph est reconnu en tant que "musicien officiel de la Révolution".
Il fait pour les grandes cérémonies de la Révolution dont le peintre Jacques-Louis David fait la scénographie.
Considéré comme le père de la symphonie française, il fonde, avec le compositeur Grétry, le Conservatoire de Paris, où il enseigne la composition entre 1795 et 1814 et dont il sera ensuite l'un des inspecteurs.
Ses quelques 50 symphonies — dont les premières, composées en 1756 — ont contribué au développement du genre en France.
François-Joseph compose également des opéras, des oeuvres de musique de chambre et des pièces sacrées.
Sous Napoléon 1er, il est le musicien le plus honoré (membre de l'Institut, chevalier de la Légion d'honneur...).
Il meurt le 16 février 1829, à 95 ans, après 65 ans de carrière.
Il laisse derrière lui 160 oeuvres musicales.
Voici le proverbe du vendredi 16 février 2024 :
ORROIT, ERRAINA, AMAGINARREBA IZANGO ZARENA !
Rappelle-toi, belle-fille, tu seras belle-mère !
HUMOUR : MERCI DE VOTRE FOURNEAU BELLE-MERE ! |
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