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mercredi 17 décembre 2025

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 17 DÉCEMBRE 2025 SAINT MODESTE DE JERUSALEM ET SAINT JUDICAËL ET SAINT JEAN DE MATHA - ITXARO

PROVERBE DU 17 DÉCEMBRE 2025 (SAINT MODESTE) (SAINT JUDICAËL) (SAINT JEAN DE MATHA) (ITXARO).


MODESTE (DE JERUSALEM) : Modeste naît à Sivas (Turquie) en 537.



religion catholique saint sainte modeste
17 DECEMBRE SAINT MODESTE DE JERUSALEM

Ayant perdu ses parents très jeune, Modeste est alors élevé dans une famille chrétienne.

Adulte, vendu comme esclave en Egypte, Modeste convertit son maître au christianisme, avant d'être libéré.

Modeste se retire alors sur le mont Sinaï, puis devient prêtre et supérieur du cloître Saint-Théodore, près de Bethléem.

Modeste est élu patriarche au moment du retour de la Vraie Croix, en 630.

Modeste meurt le 17 décembre 634 à Jérusalem.



JUDICAËL : Judicaël est un saint breton, né vers 590.

Fils du roi Judhaël de Domnonée et de la reine Pritelle, il est le roi des Bretons au 7ème siècle.

Judicaël meurt le 16 ou 17 décembre 647 (ou 652).



religion catholique saint sainte judicaël
17 DECEMBRE SAINT JUDICAËL


JEAN DE MATHA : Jean de Matha.




religion catholique saint sainte jean matha
17 DECEMBRE SAINT JEAN DE MATHA



Né le 23 juin 1160 à Faucon-de-Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence) et mort à Rome (Italie) le 17 décembre 1213, c'est un religieux provençal.

Il est le fondateur, avec saint Félix de Valois, de l'ordre de la Sainte Trinité, appelé aussi ordre de la Très Sainte Trinité pour la rédemption des captifs, ou Trinitaires.

Il est canonisé en 1666 par le pape Alexandre VII.

Les noms de Jean et de Félix seront insérés dans le martyrologe romain en janvier 1671 par un décret du pape Innocent XI.

En mars 1694, les fêtes des deux saints seront étendues à l'Eglise universelle.




ITXARO : "Esperantzari" deitzen zaio "Itxaropena", izena bezain beharra izana. Ntra. Sra. de la Esperanza.



religion catholique saint sainte esperanza
NUESTRA SEÑORA DE LA ESPERANZA


Itxaropena hiru bertute teologaletako bat da kristauentzat ; beste biak Fedea eta Karitatea dira. Santa Sofiak hiru bertuteon izenak jarri zizkien alaba martirieu. Hauen santutegia Conques herria dago, Frantzian. Aldaerak : Itxaropena eta Espe (Deun-ixendegi euzkotarra). Baliokideak : Esperanza (es) eta Esperance (fr).



Un décès du 17 décembre : Marie-Louise Léopoldine Françoise Thérèse Josèphe Lucie de Habsbourg-Lorraine, archiduchesse d'Autriche, princesse de Hongrie et de Bohême. 



france impératrice napoléon parme autriche
PORTRAIT DE L'IMPERATRICE MARIE-LOUISE D'AUTRICHE


Née le 12 décembre 1791 à Vienne (Autriche) - Morte le 17 décembre 1847 à Parme (Parme).

Elle est impératrice des Français de 1810 à 1814, puis duchesse de Parme, Plaisance et Guastalla jusqu'en 1847.

Elle est la fille aînée (onze frères et soeurs) de l'archiduc héritier François 1er d'Autriche et de sa seconde épouse Marie-Thérèse de Bourbon-Naples.

Marie-Louise étudie les langues, en particulier le français, langue internationale de l'époque, et l'italien, autre langue maternelle de ses parents alors que son allemand reste plutôt médiocre.

Le reste de la formation prévoit des notions générales mais peu approfondies de littérature, de calcul, de géographie et d'histoire de la Maison d'Autriche et des principales dynasties d'Europe.

Après le divorce de Napoléon 1er de Joséphine de Beauharnais, en décembre 1809, celui-ci cherche à se remarier et choisit Marie-Louise comme future épouse pour sceller le traité de Schönbrunn entre la France et l'Autriche.

Le mariage avec Napoléon 1er a lieu le 11 mars 1810 et de cette union, naît un fils Napoléon II (l'Aiglon), le 20 mars 1811.

Par son mariage, elle devient Impératrice des Français et son règne va durer 4 ans et 6 jours.

En avril 1814, quand Napoléon est vaincu par la Sixième Coalition, Marie-Louise décide de ne pas le suivre dans son exil à l'île d'Elbe, mais rentre avec son fils à la cour de Vienne.

A l'issue des Cent-Jours et de la défaite décisive de Napoléon à Waterloo, l'impératrice, pour mieux défendre les intérêts de son fils, décide de rester fidèle à sa famille d'origine, les Habsbourg-Lorraine.

Le Congrès de Vienne lui accorde, en 1815, les duchés de Parme, Plaisance et Guastalla.

Durement critiqué par les Français pour avoir abandonné Napoléon au moment de la débâcle, Marie-Louise, qui gouverne pendant une période troublée, réussit, en revanche, par une politique éclairée et sociale étroitement surveillée par l'Autriche, à être très aimée des Parmesans qui l'appellent "la bonne duchesse".

Après la mort de Napoléon 1er, en mai 1821, elle épouse, en août 1821, le comte Adam Albert de Neipperg, avec lequel elle aura 4 enfants et qui meurt en février 1829.

En juillet 1832, son fils, le duc de Reichstadt, meurt de la tuberculose.

En février 1834, elle épouse, en troisième noce, le comte Charles-René de Bombelles.

Marie-Louise meurt le 17 décembre 1847, à 56 ans, d'une pleurésie rumatoïde.


france impératrice napoléon parme autriche
MARIE-LOUISE D'AUTRICHE, DUCHESSE DE PARME 1839
Par Giovan Battista Borghesi — Galleria nazionale di Parma, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=7335563



Voici le proverbe du mercredi 17 décembre 2025 :


JOKU-ALE BAZERATE, LAISTER ESKEAN ATEZ-ATE.

Si vous vous adonnez au jeu, bientôt, vous mendierez de porte en porte.




pays basque autrefois mendiants pauvres
MENDIANTS
PAYS BASQUE D'ANTAN



(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)




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UN DICTIONNAIRE TOPOGRAPHIQUE DES BASSES-PYRÉNÉES PAR PAUL RAYMOND EN 1863 (première partie)

UN DICTIONNAIRE TOPOGRAPHIQUE DES BASSES-PYRÉNÉES EN 1863.


Paul Raymond, né Paul Raymond Lechien, est un archiviste et historien français qui était en poste à Pau, au 19ème siècle et une des principales sources paléographique et lexicographique du Béarnais.



19ème siècle topographie basses-pyrénées archiviste béarn
DICTIONNAIRE TOPOGRAPHIQUE DES BASSES-PYRENEES
DE PAUL RAYMOND 1863



Voici ce que rapporta à ce sujet Pierre Bayaud, Directeur des Services d'Archives des Basses-

Pyrénées, dans le Bulletin du Musée Basque N° 25-26 en 1964 :



"Le Dictionnaire topographique des Basses-Pyrénées et son auteur l'archiviste Paul Raymond (1833-1878).



Le 30 novembre 1963 était célébré, au Musée Basque de Bayonne, le centenaire de la publication du "Dictionnaire Topographique des Basses-Pyrénées" de Paul Raymond.



Permettez-moi, avant d'aborder cet ouvrage, de donner quelques notes biographiques sur l'auteur et de présenter la chronologie de ses travaux et publications.



I. — La vie de l'auteur.



Paul Raymond Lechien naquit à Belleville (Seine), le 8 septembre 1833. Il était fils de François Lechien et d'Anne-Joséphine-Sophie Vergne. Après les études secondaires à Sainte-Barbe, il entra à l'Ecole des Chartes. Il appartient à la promotion d'archivistes-paléographes du 10 novembre 1857 qui comprenait cinq noms ; sa thèse, restée inédite, était intitulée "Du pillage de la maison et des biens de l'évêque. Ve au XIIIe siècles.



Au début de 1858, Lechien est nommé à Pau archiviste du Département. En 1864 il obtient de la chancellerie la disparition de son patronyme "Lechien" au bénéfice de son second prénom ; désormais il est officiellement "Paul Raymond".



Le 14 avril 1868, il épousa, à Pau, Marie-Françoise-Marguerite-Isabelle Lafitte, fille de feu Ulysse, propriétaire et avocat, et de Laure-Marie Mourot, descendante du juriste palois connu. Il avait comme témoins Eustache-Maur-François Saint-Maur, avocat général près la Cour Impériale, archiviste-paléographe, et Vastin Lespy, professeur au Lycée ; ceux de sa femme étaient Charles Basterreche, ancien receveur général du Département, et Léon Daran, docteur en médecine et conseiller général.



Raymond devait avoir des ressources personnelles, car l'on sait que les traitements des archivistes ont toujours été modestes. L'anecdote suivante, dont on m'a garanti l'exactitude, semblerait le prouver. Raymond se trouvait depuis un long moment debout dans le cabinet préfectoral sans que le Préfet, G. d'Auribeau, prêtât attention à lui. Soudain on entendit piaffer des chevaux dans la cour sur laquelle donnait cette pièce. Le Préfet s'approche de la fenêtre et demande à Raymond : "Savez-vous à qui appartient ce bel attelage ?" — "C'est le mien, Monsieur le Préfet." Aussitôt changement dans l'attitude du haut personnage : "Mais, asseyez-vous donc, cher Monsieur." Et un entretien cordial s'engagea. Un Préfet snob — son patronyme "Guillaume" était devenu "G. d'Auribeau" — ne pouvait qu'avoir de la considération pour un subordonné au standing de vie de riche apparence.



Devenu Secrétaire Général de la Préfecture le 28 décembre 1877, Raymond mourait en fonction le 27 septembre 1878, à 3 h. et quart du matin, dans son domicile privé, 6, rue Mourot, en revenant de Paris ; depuis longtemps malade, il était considéré comme perdu depuis plus d'un mois. Le lendemain, Emile Garet, directeur de "L'Indépendant des Basses-Pyrénées" (journal républicain de Pau), et futur Président du Conseil Général, consacrait au disparu un article qui, sans négliger l'ami politique, rendait pleinement justice à l'érudit :

"Après le 14 décembre 1877, M. Paul Raymond, dont les sentiments républicains étaient aussi sincères que résolus, fut appelé au Secrétariat Général de la Préfecture. Sur ce nouveau théâtre, nous pouvons le dire, il sut déployer les qualités d'un autre ordre dont ses amis seuls possédaient le secret : intelligence prompte des affaires administratives, coup d'œil sûr quant aux hommes et quant aux choses, inébranlable esprit de justice et fermeté non moins inébranlable sur le terrain du devoir, grande modération quant aux idées, mais énergie non moins grande pour la défense des principes dont il avait accepté d'être le serviteur sinon le champion".



Auparavant Garet avait énuméré les nombreux travaux scientifiques de Raymond, rappelé qu'avec son ami Lespy il avait fondé la "Société des Bibliophiles du Béarn", qu'il fut l'un des fondateurs du "Comité de la Bibliothèque Populaire", qu'en 1871 il avait été l'un des principaux promoteurs de la résurrection de la "Société des Sciences, Lettres et Arts, de Pau", en sommeil depuis 1844.


"Levé avec le jour, il travaillait chez lui comme dans ses bureaux. Courbé sur sa table encombrée de pièces, il fournissait journellement une somme de travail considérable. Aussi, chaque année recevait-il de son Ministre les éloges les plus complets. Suivant l'un de ces témoignages officiels, il était en avance sur tous ses collègues — pour la publication des Inventaires —, et le dernier Inspecteur Général qui vint à Pau, il y a deux ans, M. de Rozière, fit sur son compte un rapport qui équivalait à la plus flatteuse des récompenses."



Paul Raymond avait eu trois enfants. J'en ai connu deux. En tournée d'Archives Communales à Castétis, le 28 juin 1943, je rendis visite à l'aînée, Mme Barbey, née à Pau le 4 février 1869. Cette septuagénaire très distinguée, de haute taille, me fit le meilleur accueil. La maison familiale étant transformée en école ménagère depuis 1941, Mme Barbey logeait dans l'ancienne orangerie voisine. Malgré ses maigres ressources, elle fit don aux Archives des Basses-Pyrénées, le 29 septembre 1947, de 600 volumes ; il y avait là un incunable parisien de 1481, "Liber sextus decretalium", acheté 1 fr. 25 en décembre 1852 ; 13 in-folio des "Ordonnances des Rois de France" ; de nombreux volumes de mémoires et chroniques publiés par la "Société de l'Histoire de France". Son frère eut deux fils ; l'un qui faisait partie de l'armée Juin, fut tué au pied du Mont-Cassin en 1944.



II. — Répertoire Bibliographique.



L'œuvre de Raymond est énorme, et l'on se demande comment, en 20 ans, un homme a pu analyser et inventorier un si grand nombre de documents, et faire un tel nombre de publications.


1859 — 1. "Nouvelles des affaires de France, 1521" (Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, pp. 369-380). 


1860 — 1. Pièces sur l'hôtel de Clisson. (Loc. cit., pp. 447-454.)


1863 — 1. "Dictionnaire Topo graphique des Basses-Pyrénées." (Nous y reviendrons ci-après.)

2. Tome I des Inventaires-Sommaires des Archives des Basses-Pyrénées


1865 — 1. Tome III des Inventaires-Sommaires : Archives Civiles, Série C. et D. 

2. "Enquête du Prévôt de Paris sur l'assassinat de Louis, duc d'Orléans, 1407". 


1866 — 1. "Notice sur une mosaïque placée dans la grande abside de la cathédrale de Lescar." 

2. (1866 à 1869). "Notes extraites des comptes de Jeanne d'Albret et de ses enfants, 1556-1608." 


1867 — 1. Tome IV des Inventaires-Sommaires.

2. "Une lettre de Gaston Phoebus à Jean III comte d'Armagnac."

3. "Dolmen et cromlechs situés dans la Vallée d'Ossau."


1868 — 1. "De l'origine d'Arnaud de Moles, auteur des verrières de Sainte-Marie d'Auch". 

2. "Les tumuli des environs de Pau". 


1869 — 1. "La question de Roncevaux". 

2. "Un règlement pour la saison thermale des Eaux-Chaudes en 1576". 

3. "Notes sur les peintures murales du XVe s. à Boeil près Nay". 


1872 — 1. "Rôles de l'armée de Gaston Phœbus, 1376-1378".


1873 — 1. Tome V des Inventaires-Sommaires.

2. "Histoire de Béarn et Navarre par Nicolas de Bordenave, 1517 à 1572", 

3. "Cartulaire de l'Abbaye de St-Jean de Sordes (Landes)". 

4. "Le vrai nom de "Bétharram" est "Gattaram".

5. "Sur les traces de l'occupation romaine dans les Basses-Pyrénées". (Ibid., pp. 261-262.)

6. "Sur les Chemins "Roumieu". (Ibid., pp. 270-271.)

7. "Ateliers monétaires du territoire des Basses-Pyrénées". (Ibid., p. 271.)

8. "Sur l'origine des "cagots". (Ibid., pp. 285-287.)

9. "Notes pour servir à l'hagiographie des Basses-Pyrénées". 

10. "Mœurs béarnaises 1385 à 1550". 

11. "Curiosités judiciaires du Parlement de Pau, 1623-1732". 

12. "Le Béarn sous Gaston Phœbus". 


1874 — 1. Tome VI des Inventaires-Sommaires, Paris, 

2. "Sceaux des Archives du Département des Basses-Pyrénées", 

3. "Les artistes en Béarn avant le XVIIIe siècle".

4. "Exploration d'un tumulus à Andrein". — (Ibid. pp. 45-46.)

5. "Mémoire sur les inscriptions des colonnes de l'église de Bielle (Basses-Pyrénées)". 

6. "Le Droit du Seigneur au pays de Béarn", 

7. "Quittances de Renaud et de Jacques de Pons, et Jean de Bretagne, 1377-1446."


1876 — 1. Tome II des Inventaires-Sommaires.

2. "Récits d'Histoire Sainte en béarnais, traduits et publiés pour la première fois sur le manuscrit du XVe siècle", par V. Lespy et Paul Raymond.


1877 — 1. "Exploration d'un tumulus à Balansun". 

2. "Notes sur la famille de Jean-Paul de Lescun, membre du Conseil Souverain de Béarn. "

3. Documents divers. (Ibidem, pp. 424-429). 


1878 — 1. "Correspondance inédite de Louis XI avec le duc Bretagne, 1463-1464,"

2. "Un baron béarnais au XVe siècle". 


1879 — 1. "Enquête sur les serfs du Béarn au XIVe siècle". 


1887 — 1. (9 ans après sa mort) "Dictionnaire béarnais ancien et moderne", par V. Lespy et P. Raymond.



Il donna en outre :


A la "Revue des Sociétés savantes",

1. "Note sur le dolmen d'Escout".

2. "Marché pour la construction des orgues de la Cathédrale de Bayonne".

3. "Acte par lequel un habitant de Mondrans s'engage à se noyer s'il continue à se livrer au jeu (1337)".

4. "Contrat d'apprentissage d'un jeune violoniste béarnais (1601)".


A la "Correspondance littéraire",

1. "Une maîtresse inconnue de Henri IV", pièces inédites.


A l'"Indépendant des Basses-Pyrénées",

1. "Sur les chansons de X. Navarrot", publiées par Lespy.

2. "Antiquités de la Vallée d'Ossau : La grotte d'Izeste". 

3. "Note sur les tombeaux gallo-romains du Pont-Long".

4. "Observations sur l'origine du nom de la ville de Pau et ses armoiries".

5. "Observations sur l'antiquité des centres de population des Vallées d'Ossau, d'Aspe et de Barétous".

6. "Nouvelles observations sur l'Administration Communale dans les Vallées d'Ossau et de Barétous".

7. "Les grottes de Rébénacq".

8. "Sur les Dictons du pays de Béarn publiés par M. V. Lespy".



A suivre...






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mardi 16 décembre 2025

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 16 DÉCEMBRE 2025 SAINTE ADÉLAÏDE - LUR

 

PROVERBE DU 16 DÉCEMBRE 2025 (SAINTE ADÉLAÏDE) (ALICE) (LUR).


ADÉLAÏDE (ou ALICE) : Adélaïde naît à Orbe (Suisse) vers l'an 931.


religion catholique saint sainte adélaïde
16 DECEMBRE SAINTE ADELAÏDE DE BOURGOGNE


Adélaïde est une princesse bourguignonne, fille du roi Rodolphe II de Bourgogne et de Berthe de Souabe, mariée très jeune au roi d'Italie Lothaire.

Veuve en 950, Adélaïde épouse l'empereur d'Occident Otton 1er le Grand et elle est couronnée impératrice en février 962 avec son époux par le pape Jean XII à Rome.

Adélaïde devient une seconde fois veuve en mai 973.

Adélaïde assure la régence de l'empire de juin 991 à 995.

Adélaïde meurt à l'âge de 68 ans, au monastère de Seltz (Bas-Rhin), en Alsace, le 16 décembre 999, après une carrière extrêmement riche en péripéties.

Adélaïde est canonisée par le pape Urbain II en 1097.

Fêtée le 16 décembre dans le calendrier catholique, Adélaïde est invoquée pour résoudre les problèmes familiaux.




LUR J.M. Barandiaranen hiztegi mitologikoa. 

Lurgorri : Erromatarren garaiko jainkoa. 1937an Larrinaga kartzelatik Deriora 106 lagun eraman zituzten fusilatzeko. Haietako bat Lurgorri zen.

Lurra, izaki eta gizaki ororen bizilekua, Ilargiaren eta Eguzkiaren ama da. Europa osoan hartu izan da jainkotzat, bizi iturria baita. Gure arteko Man, esaterako, Lurraren irudikatzea dateke. Berarekiko lotura hartzuloen alderako jaieran ikusten da. Aldaera : Lurra.


pais vasco antes libro lur ekonomia
LIVRE LUR EKONOMIA 1971
FEDERIKO ZABALA


Un décès du 16 décembre : William Somerset Maugham.



ecrivain britannique bisexuel romancier 19ème 20ème siècle
WILLIAM SOMERSET MAUGHAM EN 1934

Né le 25 janvier 1874 à Paris - Mort le 16 décembre 1965 à Saint-Jean-Cap-Ferrat (Alpes-Maritimes).

C'est un romancier, nouvelliste et dramaturge britannique.

Il est le dernier d'une fratrie de 4 garçons de parents britanniques.

Il grandit à Paris, dans une famille bourgeoise et fortunée.

Maugham perd ses parents tout jeune (sa mère à 8 ans et son père à 10 ans).

Il est recueilli par un oncle au sud de l'Angleterre.


ecrivain britannique bisexuel romancier 19ème 20ème siècle
WILLIAM SOMERSET MAUGHAM

De 1885 à 1889, il étudie à la King's School de Cantorbéry et va à Heidelberg, en Allemagne, de 1890 à 1892.

Somerset Maugham est bisexuel et il aura plusieurs relations passionnées avec des hommes, en particulier avec Gérald Haxton et Alan Searle.

En 1892, il entreprend des études de médecine et il obtient son diplôme en 1897, écrivant néanmoins et essayant de gagner sa vie grâce à la littérature.

En 1915, il a une fille : Liza.

Pendant la Première Guerre mondiale, il est membre du British Secret Service en Europe.

En 1954, il est nommé dans l'ordre des compagnons d'honneur.

Pendant sa longue carrière d'écrivain, Maugham va publier des comédies pour le théâtre, des romans psychologiques (L'Envouté, La Passe dangereuse, le Sortilège malais), des récits d'espionnage et plus de cent nouvelles.

Il meurt le 16 décembre 1965, à l'âge de 91 ans.



ecrivain britannique bisexuel romancier 19ème 20ème siècle
WILLIAM SOMERSET MAUGHAM



Voici le proverbe du mardi 16 décembre 2025 :


BURURIK EZ DUENAK ZANGO.

Qui n'a pas de tête a besoin de jambes.



pays basque autrefois ours gitans
OURS
PAYS BASQUE D'ANTAN




(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)





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UNE NOUVELLE CHANSON : "POTTOKA MENDIAN"

"POTTOKA MENDIAN"



La chanson "Pottoka Mendian" a été écrite par B. Eyherabide et interprétée par le groupe Otxalde.



DISQUE GROUPE OTXALDE



Après vous avoir présenté plusieurs chanteuses et chanteurs, ainsi que des chansons dans des 

articles précédents : "Hegoak  (Txoria Txori)", Imanol Larzabal Goñi, le groupe Itoiz, la 

chanteuse "Estitxu", le chanteur Luis Mariano, la chanson "Ikusten duzu goizean" de J-B 

Elizanburu, la chanson "Fandango du pays basque", les chansons de Noël du groupe Gaztelu 

Zahar d'Hendaye, la chanson "Boga boga" de Jésus Guridi"Mustafadu groupe de rock 

Sustraia, la chanson "Haurrak ikas zazue", la chanson "Guk Euskaraz" d'Urko, la chanson 

"Azken Dantza Hau" de Manex Pagola, la chanson "Xalbadorren heriotzean" de Xabier Lete, la 

chanson "Bagare" de Gontzal Mendibil et Xeberri, la chanson "Euskal Rock N'Roll" de Niko 

Etxart, la chanson "Gogoaren Baita" d'Anje Duhalde, la chanson "Arrantzaleak" du groupe 

Arrantzaleak, la chanson "Aitormena" du groupe Hertzainak, la chanson "Arbola Gainean

du groupe Guk, la chanson "Zenbat Gera" de Benito Lertxundi, la chanson 

"Denok Batera" de Gorka Knörr, la chanson "Itsasoa Gara" de Ken Zazpi, la chanson 

"Itsasontzi Baten" de Kaxiano, la chanson "Aita-Semeak" du groupe Oskorri, voici aujourd'hui 

la chanson "Pottoka Mendian" du groupe Otxalde.



Cette chanson de 1979 du groupe Otxalde est une chanson emblématique du Pays Basque.

Formé en 1976, le groupe Otxalde propose des chansons Basques du répertoire traditionnel et des 

compositions folk.

Au fur et à mesure des années, de nouveaux membres sont venus s'ajouter à la formation initiale.

Le nom de ce groupe fait référence à un bertsulari, facteur, douanier et contrebandier qui 

travaillait à la douane des mines des Salines de Briscous, à la fin du 19ème siècle et qui 

connaissait parfaitement les montagnes du Pays Basque Nord, et en particulier de la Rhune.



Le disque "Pottoka" a été édité en 1979, sous le label Elkar ELK 41, sous le format vinyle.

Elle comprend 11 chansons et la chanson "Pottoka Mendian", d'une durée de 3 mn 53, est la 

4ème chanson de la face B.



Musiciens et voix du disque :

Banjo : Gardie Michel.

Flute : Marc Eiherabide.

Guitare : Beñat Eiherabide, Durruty Maite, Gardie Michel.

Voix : Duhalde Maitexa, Durruty Maite.



Cette chanson "Pottoka Mendian" parle du pottok, poney du Pays Basque vivant dans les 

montagnes, et en particulier sur la Rhune.







Voici les paroles en Basque de cette chanson.


Pottoka mendian jauzika ibilki

Buztana airean salbaia iduri

Ezin harrapatuz Txomin da erori

Pottoka nausi da gure gizonari.



Denboran pottokak ez emaiten sosa

Ez zuen ez egiten Parisen afera

Neuilly-n ibiltzeko ez zuen usain ona

Adixkidendako ez aski ederra.



Txominek menditik jautsi du pottoka

Ileak mozturik pentzetan emana

Egun guziez hartzen bere azukrea

Iduri du orai Vincennes-en sortua.



Voici les paroles en français de cette chanson.



Le pottok sautant dans la montagne,

queue en l'air, sauvage d'aspect,

ne pouvant l'attraper Txomin est tombé.

Le pottok est supérieur à notre homme.



Autrefois, le pottok ne rapportait pas d'argent.

Il ne faisait pas d'affaire à Paris.

Il ne sentait pas bon pour vivre à Neuilly,

Il n'était pas assez beau pour les amis.



Txomin a descendu le Pottok de sa montagne,

il l'a mis dans le pré après avoir coupé les poils.

Il prend tous les jours son sucre et

on dirait maintenant qu'il est né à Vincennes.










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lundi 15 décembre 2025

PROVERBE BASQUE DU JOUR ET FÊTE DU 15 DÉCEMBRE 2025 SAINTE VIRGINIE - OLATZ

 


PROVERBE DU 15 DÉCEMBRE 2025 (SAINTE VIRGINIE) (CHRISTIANE) (YANN) (OLATZ).


VIRGINIE : Virginie Centurione Bracelli naît à Gênes (Italie) le 2 avril 1587.



religion catholique saint sainte virginie
15 DECEMBRE SAINTE VIRGINIE

Virginie est une laïque italienne fondatrice des soeurs de Notre Dame du refuge du Mont Calvaire et des Filles de Notre-Dame du Mont Calvaire.

Virginie est issue d'une famille noble génoise, élevée pieusement par sa mère et elle envisage de consacrer sa vie à la religion.

Son père l'oblige à épouser, en 1602, Gaspare Grimaldi Bracelli, avec qui elle aura deux filles.

Devenant veuve en juin 1607, Virginie fait voeu de chasteté, refusant de se remarier.

A partir de 1610, Virginie décide de consacrer sa vie à soulager la misère et se dédie aux enfants abandonnés, aux vieillards, aux malades et à tous les laissés pour compte.

Après la mort de sa belle-mère, en 1625, une fois ses deux filles mariées, Virginie fonde les cent dames de la Miséricorde protectrices des pauvres de Jésus-Christ, institution destinée à venir en aide aux plus démunis.

Virginie Ceturione Bracelli meurt, à Gênes, le 15 décembre 1651, à 64 ans.

Elle est béatifiée le 22 septembre 1985 par le pape Jean-Paul II et canonisée le 18 mai 2003.




OLATZ : Azpeitiako Loiolaren auzo Andre Mariaren elizattoa. XIII. mendekoa 12tik 18ra ospatzen da. San Isidro Olatzeko Mutrikun, maiatzaren 15ean ospatzen da.



pais vasco antes religion ermita guipuzcoa
ERMITAGE DE OLATZ AZPEITIA GIPUZKOA

Azpeitiko (Gipuzkoa) Andre Mariaren ermita, Izarraitz auzokoa. XVIII. mendera arte bertan biltzen ziren Gipuzkoako Baltzar ohiz kanpokoak. Subitzan (Nafarroa) ere bada Olatz izeneko Andre Mariaren beste adbokazio bat.







Un décès du 15 décembre : Narcisse-Achille, comte de Salvandy.



homme politique gers académie française 19ème siècle
PORTRAIT DU COMTE DE SALVANDY
PAR PAUL DELAROCHE



Né le 11 juin 1795 à Condom (Gers) - Mort le 15 décembre 1856 à Graveron (Eure).

C'est un homme politique et écrivain français.

Né dans une famille de petite noblesse de robe d'origine irlandaise, Narcisse-Achille fait, comme boursier, ses études classiques au lycée Napoléon à Paris.

Pour échapper à une punition qui lui a été infligée, il s'engage dans les gardes d'honneur de Napoléon 1er sous le nom de "Salvandy de la Gravière".

Brigadier en mai 1813, sous-lieutenant en juin, il prend une part active en 1813-1814, à la guerre de Saxe et à la campagne de France, durant laquelle il est blessé, et est promu adjudant-major.

Entré dans les mousquetaires noirs de la maison militaire de Louis XVII en juillet 1814 lors du retour des Bourbons, il en est exclu en décembre 1815 et reçoit en compensation la croix de chevalier de la Légion d'honneur.

Narcisse-Achille réintègre l'armée en février 1816, est promu capitaine en août 1817 et suit, peu après, les cours de l'école de droit.

Dévoué au parti constitutionnel, il fait paraître en 1816, un écrit des plus vifs contre l'occupation étrangère.

En 1818, le duc de Richelieu le nomme maître des requêtes au Conseil d'Etat.

En 1821, il s'allie à une riche famille protestante en épousant Julie Féray, avec laquelle il aura 2 enfants, en dépit d'une vie secrète homosexuelle.

Narcisse-Achille collabore, vers la même époque, au Journal des débats, soutient la politique du duc Decazes et se montre hostile aux ultras.

Il est destitué, en 1821, de ses fonctions au Conseil d'Etat par le comte de Peyronnet.

En 1823, il se démet du grade d'officier d'état-major et se montre un adversaire déterminé des ultras et du ministère Villèle.

A partir de 1824, il publie plusieurs romans historiques, dans une prose poétique qui imite et exagère la manière de Chateaubriand.

Narcisse-Achille, réintégré au Conseil d'Etat et promu conseiller d'Etat, en 1828, il est chargé de soutenir le projet de code militaire devant la Chambre des pairs.

Il donne sa démission à l'avènement du ministère Polignac, malgré les instances de Charles X.

Rallié à la monarchie de Juillet, il reprend sa place au Conseil d'Etat réorganisé, et lors d'une élection partielle, il est élu, en octobre 1830, député au 3e collège de la Sarthe, siégeant au centre droit.

En novembre 1833, il est de nouveau élu député de l'Eure.

En février 1835, Narcisse-Achille est élu à l'Académie française.

Lors de la formation du second cabinet Molé, en avril 1837, il devient ministre de l'Instruction publique et conserve ce portefeuille jusqu'en mars 1839.

De nouveau élu député en mars 1839, il devient vice-président de la Chambre et est nommé, en 1841, ambassadeur en Espagne.

En juillet 1842, il est réélu député à Nogent-le-Rotrou mais il opte pour Lectoure (Gers), où il est également élu le même jour.

Narcisse-Achille est nommé ambassadeur à Turin et élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur, en octobre 1843.

En février 1845, il entre dans le troisième ministère Soult et demeure en place dans le ministère Guizot, jusqu'en février 1848.

La Révolution de 1848 le rend à la vie privée.

Après quelques années passées hors de France, notamment à Jersey, il revient à Paris et reste en relation avec les chefs de l'ancien parti conservateur.

Il meurt le 15 décembre 1856, à 61 ans.




homme politique gers académie française 19ème siècle
NARCISSE-ACHILLE DE SALVANDY




Voici le proverbe du lundi 15 décembre 2025 :


ABENDUAREN ERDIE GAUE TA BERTZE ERDIE BESTA.

La moitié de décembre la nuit et l'autre moitié la fête.









(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)





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