PROVERBE DU 16 SEPTEMBRE 2025 (SAINTE ÉDITH) (SAINT CYPRIEN) (SAINT CORNEILLE) (ELLANDE).
EDITH : Edith (ou Eadgyth) naît entre 961 et 964.
 |
16 SEPTEMBRE SAINTE EDITH DE WILTON |
Edith, princesse de la maison de Wessex des îles Britanniques est la fille du roi des Angles, Edgar le Pacifique.
Edith se consacre à Dieu et rejoint sa mère au monastère de Wilton, dans le Wiltshire
Edith meurt le 16 septembre 964 ou 987 à l'âge de 23 ans.
Edith est une sainte chrétienne fêtée le 16 septembre, jour anniversaire de sa mort.
Edith est le sujet d'une hagiographie rédigée au 11ème siècle par le moine Goscelin de Saint-Bertin.
CYPRIEN : Cyprien de Carthage naît vers 200.
 |
16 SEPTEMBRE SAINT CYPRIEN DE CARTHAGE |
C'est un Berbère converti au christianisme, évêque de Carthage et Père de l'Eglise.
Il est, après saint Augustin, l'un des plus grands témoins de la doctrine de l'Eglise latine des premiers siècles.
Il meurt en martyr le 14 septembre 258 sous la persécution de Valérien.
ELLANDE : Izen beraren aldaki ezberdiñak euskalki arau.
Ikus Arnaut. Pierre Lhande idazlearen benetako deitura Basagaitz zen, baina aitaren Ellande izena oker irakurri eta semeari deituratzat Lhande ezarri zion.
Arnaldo (es), Arnaud (fr), Arnoul (fr), Arnold (en).
Erdi Aroko izena, Arnwald germaniarretik datorrena. Baliteke gaskoi jatorriko aldaera izatea. Okzitanian arrunta izan baitzen. Euskal Herrian franko erabil zen XIV. mendean. Esaterako, Izuran (Nafarroa Beherea) 1389an ageri da (Arnaut Santz) eta Gorraitz Eguesibarren (Nafarroa) 1567an (Arnaut de San myn). Jaieguna urtarrilaren 5ean da. Aldaerak : Ernaut, Eñaut, Allande eta Ellande.
Un décès du 16 septembre : Henri Joseph Eugène Gouraud.
 |
GENERAL HENRI GOURAUD |
Né le 17 novembre 1867 à Paris - Mort le 16 septembre 1946 à Paris.
C'est un militaire français qui s'est illustré dans les colonies du Soudan français, de Mauritanie, du Tchad et du protectorat marocain, puis, pendant la Grande Guerre, en Argonne, aux Dardanelles et en Champagne.
Haut-commissaire de la République française au Levant de 1919 à 1923 et gouverneur militaire de Paris de 1923 à 1937, c'est l'une des figures importantes de l'histoire de la colonisation française, dans le sillage de Gallieni et de Lyautey.
Henri naît dans une famille aisée de tradition catholique d'origine vendéenne, et est l'aîné d'une fratrie de 6 enfants.
Il fait ses études au collège Stanislas, éducation marquée par la foi.
Appartenant à la génération ayant connu l'humiliation de 1871, il se trouve rapidement une vocation coloniale.
Féru d'histoire, il gagne le 1er prix d'histoire au Concours général en 1887.
Henri intègre l'école militaire de Saint-Cyr en 1888 et il en sort, en 1890, avec le grade de sous-lieutenant d'infanterie.
Il est d'abord affecté au 21e bataillon de chasseurs à pied à Montbéliard (Doubs).
Choqué par le massacre de la Colonne Bonnier, il part en 1894 au Soudan français et est placé sous la direction d'Ernest Nestor Roume, gouverneur général de l'Afrique occidentale française.
A partir de 1894, et jusqu'en 1899, il participe à la colonisation du Soudan, capturant Samory Touré en septembre 1898.
Au cours de l'été 1899, Henri fait la connaissance d'Eugène Etienne, ardent défenseur de la colonisation française, et aussi de Joseph Gallieni et Hubert Lyautey.
En octobre 1900, il embarque pour l'Afrique et à partir de 1901, il administre le IIIème Territoire militaire.
De 1904 à 1906, il est chargé de l'organisation de l'Oubangui-Chari.
En 1907, il est promu colonel et il est nommé commissaire du Gouvernement général en Mauritanie, et rentre en France, à la fin de l'année 1909.
En avril 1911, Henri repart au Maroc et s'y illustre durant la campagne.
En juin 1912, il est nommé général de brigade.
En août 1914, la guerre éclate en France et il réclame un commandement sur le front.
Il est nommé général de division et reçoit, en septembre 1914, le commandement de la 10e division d'infanterie.
Henri dirige des combats en forêt d'Argonne et est blessé à la clavicule, en janvier 1915 mais reste au combat.
En mai 1915, il est nommé au commandement du Corps expéditionnaire français aux Dardanelles.
Fin juin, il est grièvement blessé par un obus et on doit l'amputer du bras droit, à cause de la gangrène.
A la fin de 1915, Joffre lui confie le commandement de la IVe Armée.
En décembre 1916, Aristide Briand, président du Conseil, le nomme commissaire résident général au Maroc, pour remplacer Lyautey et Henri va y rester jusqu'en mars 1917.
Il revient en France, en juin 1917, pour reprendre le commandement de la IVe Armée.
De novembre 1919 à octobre 1922, il est Haut-commissaire en Syrie et au Liban.
Après la proclamation de l'Etat du Grand Liban en septembre 1920, il annonce également les Etats de Damas et d'Alep, puis l'Etat des Druzes en mars 1922, et le Territoire des Alaouites en juillet 1922.
De retour à Paris en octobre 1922, Henri est nommé membre du Conseil supérieur de la guerre et membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres de Paris.
En 1923, il est nommé au poste de gouverneur militaire de Paris.
En 1937, à 70 ans, il quitte le gouvernement militaire de Paris et quitte la capitale pour Royat (Puy-de-Dôme).
Il quitte Paris le 13 juin 1940, veille de l'entrée des troupes allemandes, et se dirige d'abord vers la Bretagne, avant de rejoindre le Maroc en traversant l'Espagne.
Après 1940, refusant d'admettre la défaite et la collaboration, il se réfugie dans la religion et finalement dans un travail d'écriture centré sur son activité en Afrique.
Il ne revient à Paris qu'à la fin de la guerre, en mai 1945, mais sa santé se détériore rapidement.
Après un dernier voyage en Normandie, il meurt à paris le 16 septembre 1946, à 78 ans.
Le Gouvernement provisoire de la République française, présidé par Georges Bidault, lui rend un dernier hommage par des obsèques nationales.
 |
GENERAL HENRI GOURAUD |
Voici le proverbe du mardi 16 septembre 2025 :
XIPIRINE JIN ORDUKO, SEGUR UDA AKABO.
Dès que vient la Saint-Cyprien, de l'été c'est la fin.
 |
TABLEAU FIN D'ETE PAR H DARIEN |
(Source : https://www.herodote.net/ et WIKIPEDIA et https://www.euskaltzaindia.eus/)
Merci ami(e) lecteur (lectrice) de m'avoir suivi dans cet article.
Plus de 6 600 autres articles vous attendent dans mon blog :
N'hésitez pas à vous abonner à mon blog, à la page Facebook et à la chaîne YouTube, c'est gratuit !!!