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vendredi 2 juillet 2021

LES PAROISSES DU PAYS BASQUE NORD PENDANT LA RÉVOLUTION FRANÇAISE : GUÉTHARY HENDAYE ET URRUGNE EN LABOURD (troisième partie)

 

LES PAROISSES BASQUES PENDANT LA RÉVOLUTION FRANÇAISE.


Pendant la Révolution française, le Pays Basque Nord, avec sa frontière avec l'Espagne a connu de nombreux combats et a souffert avec la déportation de milliers d'habitants en 1794.



pays basque autrefois paroisses
LIVRE LES PAROISSES DU PAYS BASQUE
PENDANT LA PERIODE REVOLUTIONNAIRE

DE L'ABBE PIERRE HARISTOY TOME II



Voici ce que publia à ce sujet l'Abbé Haristoy, Curé de Ciboure, en 1899 :



GUETHARY : Guéthary, en basque Getharia, de Guaithari, gardien, ancienne annexe de Bidart fut érigée en commune vers 1633. Ce village devenu aujourd’hui une charmante station balnéaire figure en 1193 dans le cartulaire de Bayonne (f° 18) sous le nom de Cattarie, sous celui de Gattari, dans les Us et coutumes de la mer, et enfin sous le nom de Guattary en 1685. — Les collations du diocèse (1761) l’appellent "Sanctus Nicolaus de Guéthary".



La population en 1650 était de 150 feux ; — en 1718, de 600 hab., et en 1820, de 318. Le curé, qui était à la nomination de l'évêque résidait à Bidart et le vicaire à Guéthary. Le revenu, consistant en dîmes év. 250 1. et le casuel 100 l., était de 350 1. — I1 y avait dix obits d’un rapport annuel de 102 1. : Les prébendes étaient celles de N.-D. de Sarrance fondée le 18 mai 1728 ; — d’Ondoritchenea ; de Mendiburunea 14 l. ; — de Lamiguenea (?) N. ; de Harotzarenea N. ; et de Jaureguy N...



Il y avait une confrérie du Saint-Sacrement, dont les statuts très remarquables, furent approuvés par Mgr d’Arche, év. de Bayonne, le 21 décembre 1748 ; dans l’église il y avait deux chapelles, celle de la Vierge à l’extrémité du quartier Haizpurua et celle de N.-D. de Sarrance au quartier de la place.



Les registres paroissiaux de 1718 à 1790 sont signés par Hirigoyen, Carluce, Valcarcel et Etchart, prêtres.



Voici les noms de prêtres, enfants du pays ou qui y furent employés : Etienne Habans, né à Guéthary vers 1682 et vicaire, ibid. ; — Jean d’Oyhanart, né ibid. vers 1675 ; — Jean Carluce, né à Ahetze vers 1680, curé de Guéthary en 1720, décédé en 1739 et remplacé par Martin Boliola de St-Pée, ex-missionnaire. A ce dernier succéda Salvat Etchart, ex-directeur au Séminaire de Larressore en 1742 ; — Pierre de Hiriart, ordonné le 18 mars 1741.



Sur la Révolution, les délibérations municipales ne donnent que quelques notes vagues, relatives au changement de nom de la commune sans donner ce nom, à l’envoi de la cloche de la paroisse à la monnaie de Bayonne, au jugement porté contre Duhalde, ci-devant maire d’Espelette, contre Catherine Darquy de Sare, Gorostarsou, Lalanne, fils de Bayonne, et enfin aux charges et pertes occasionnées par les troupes de l’armée des Pyrénées occidentales. Mais nous savons que Martin Darrigol, curé de la paroisse, malgré son refus de prêter le serment constitutionnel, garda son poste jusqu’au 12 septembre 1792. Estimé de ses paroissiens, on le voit administrer plus ou moins librement les sacrements, présider les opérations électorales, publier à l’église quelques lois et décrets de l’assemblée nationale. Mais, poursuivi comme prêtre insermenté, il finit par demander et obtenir de la municipalité un passeport, s’engageant par écrit à être rendu à Véra (Espagne). C’est le 29 septembre de cette année qu’il prit le chemin de l’exil. A son retour, il fut nommé curé de Bidart et de Guéthary réunis. Le 8 mai 1804, l’abbé Noblia ayant été chargé de la desserte de cette dernière paroisse, M. Darrigol n’eut que la charge de celle de Bidart.



Un registre non inventorié de la mairie de Guéthary nous fait connaître quelques évènements de 1813 et 14, qu’il convient de relater ici. Le 25 octobre 1813, le maire de cette commune "voyant que les efets de l’église risquoit (sic) de ce perdre à cause que les ennemis tendoit de passer en foule, les mit dans des cofres et fit passer à Bayonne d’après en avoir pris un inventaire de la façont qu’il suit, savoir : une crois d’argent, un saint ciboire pour la communion, douze devant d’autel, six chesubles, cinq chapes ou pluviaux, onze garnitures de la croix, un tapis pour la chère, une boitte en bois pour les purificatoires, quatre napes d’autel, haubes trois, deux surpelis, un tapis d’autel, trois pièces de toiles pour les pièces de toiles pour les prosetion, un hamiet, un essumain, deux missels et un graduel, douze chandelles de sire".



Un mémoire en date du 10 novembre 1813 et inscrit dans les délibérations municipales, nous apprend la terreur et la fuite des habitants de Guéthary à cette date : "Cregnent, y était-il dit toujours dans les mêmes style et orthographe, qu’ils (les armées alliées, pour lors nos ennemis) nous fairoit de tort, nous sommes partis presque tous les habitants de la commune à dix heures du soir. Et touts au delà Bayonne, l’un d’un couté, l’autre de l’autre, ensuite ayent compris que nos ennemis étoit tranquille qu’il ne faisoit de tort à persone au bout de trois semoines... a eu de parlementaire ou chaquun lui étoit livre de passer pour revenir chez eux ou sertains étoit passés — Et ce parlementaire avoit lieu tous les quinze jours ou trois semaines. Et insensiblement touts étoit rentrés dans leur foyer, mais la pluspart avoit trouvé leurs maisons brûlées. Et le jour 23 février 1814 c’est-à-dire quatre mois après le départ, les ennemis avoit passé au Boulout (?) Et pour lors touts étoit rentrés chez eus. Et nos ennemis nous ayant poussés jusques au delà de Bordeaux ainsi que au delà de Toulouse, ont traité la paix avec tout le monde et c’étoit après 23 ans de guerre non seulement avec un seul royaume, mais avec touts, étant pour lors sous le règne de Bonaparte, empereur des Français, qui a eu l’honneur de Régner l'espage de 10 ans".


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EGLISE D'HENDAYE
PAYS BASQUE D'ANTAN



HENDAYE : Hendaye, en basque Handaya (handi-ibaya, grande baie) est mentionné sous le nom de Handaye en 1510 dans les archives de l’Empire (J. 867 n° 7), et en 1565 sous celui de Endaye dans le voyage de Charles IX. Son origine est maritime ; la navigation, la pêche et le commerce attirèrent plusieurs familles dans ce petit coin de terre. Elles voulurent avoir leur église indépendante de celle de Zubernoa. Ciboure leur en avait donné l’exemple. Le territoire appartenait à la commune d’Urrugne. Après mille démarches faites auprès de l’évêque, du seigneur d’Urthubie, seigneur du lieu (d’Urrugne), de l’abbé Congédier ou de la Congerie, curé d’Urrugne, et de la municipalité de cette dernière commune, on finit par obtenir l'autorisation de bâtir une petite chapelle en 1598. Les Hendayais la firent grande, pour l’époque, et la décorèrent, à ses deux portes d’entrée, des armoiries de France et de Navarre, où on les voit encore, quoique martelées à la Révolution.



On la dédia à saint Vincent, évêque de Dax, mais bientôt à l’exemple des Ciburutars, on choisit pour patron saint Vincent, diacre de Huesca.



En 1644, Mgr d’Olce, évêque de Bayonne, approuva une confrérie de pêcheurs, croyons-nous, établie par l’abbé Berrogain, vicaire. Le même prélat érigea la chapelle en paroisse, vers 1646. Le périmètre de la nouvelle paroisse, qui était loin d’arriver jusqu’à l’antique manoir d’Iranda était très restreint, mais bien peuplé. Il ne tarda pas à devenir un bourg renommé par ses eaux-de-vie, par son commerce et enfin par ses marins. Aussi ses habitants voulurent-ils reculer les limites étroites de leur petit coin de terre.



Par une convention passée avec la communauté d’Urrugne — convention dont le titre a disparu — ils obtinrent un élargissement de territoire. Des bornes indicatrices portant d’un côté la lettre U et de l’autre H furent plantées suivant une ligne régulière. Mais par suite de difficultés de partage des terrains communaux, etc., la convention resta lettre morte. De nos jours, l’administration départementale a fait valoir en faveur des Hendayais l’ancienne ligne de bornage.



La population de Hendaye était en 1650 de 300 foyers ; en 1730, de 1 375 habitants et en 1820, de 332, — La cure était à la présentation du vicomte d’Urthubie. Ses revenus au 18e siècle consistaient en une portion de la dîme et des prémices évaluées 180 l., en une somme de 120 1. fournie par la population, dans le casuel et offrandes 300 l., net 600 1. — La fabrique jouissait d’un revenu de 90 1. Les obits et matines au nombre de 46 rapportaient annuellement 400 1.



Il y avait une chapelle dans le fort qui, de nos jours, vient de disparaître pour faire place à un lieu de promenade ou square. Placé à l’extrémité de la rivière de la Bidassoa, il s’élevait en face du fort célèbre de Fontarabie. Il était défendu par une compagnie de vétérans, qui y tenait garnison. Le service religieux, comme celui du fort de Socoa, était confié aux Pères Récollets de Ciboure, dont l’un portait le titre d'aumônier.



Vicaires chapelains et curés connus de Hendaye... vers 1640 Berrogain, vicaire.... 1660 Garat, curé ; — 1704-1711 Pierre d’Urrutie ; — 1711-1737 Charles d’Arquie ; — 1737-1743 Jean Durruty, né à Ciboure ; — 1743-1760 Jean Harosteguy ; — 1761-1768 Pierre d’Olbabarats ; — 1768-1792 Dominique Galbarret (voir plus bas) ; — 1802-1812 le même ; — 1812-1847 Jean Dop, né à Sare le,4 décembre 1767 ; — 1848-1867 Pierre Laffitte ; — 1867-1884 Alphonse Durruty, enfant du pays ; — 1884-1886 Prosper St-Martin, de Villefranque ; — 1886-1892 François Heguy, d’Ustaritz ; — 1892-1895 J.-B. Larronde, de Souraide ; — 1895.... Pierre Sagardoy, de Lacarre.



Prêtres originaires de la paroisse : François Laparqué, né vers 1680 ; — Martin d’Irube, né vers 1687 ; — Pierre Guebarre, né en 1677 ordonné en 1700 ; "bon prêtre et homme de talent" nous dit un registre de l’évêché. Il ne quitta guère le pays natal. — Jean-Baptiste de Monix, fils de Jean de M. et de Gracieuse de Carrel, fit ses études à Paris et y reçut les ordres, prêtre en mai 1740 ; — Dominique Lissardy, fils d’André L. et de Marie Durants, ordonné à Dax en 1741, vicaire d’Urrugne en 1742 ; — Pierre Fauga, prêtre le 4 juin 1746 ; — Pierre-Vincent Camprand, né en 1765 (voir plus bas) ; — Jean Romatet (voir plus bas).



La Révolution trouva à la tête de la paroisse Dominique Galbarret, né à Hendaye le 31 mai 1735, de Martin G. et de Gracieuse Darancette et ordonné le 7 juin 1757. Il se refusa à publier le mandement de Sanadon et à prêter le serment civique. Il n’hésita pas à fulminer l’interdit, au nom de l’évêque légitime de Bayonne, à M. Cauteranne, ex-récollet de Ciboure, qui, d’aumônier du fort de Hendaye, était devenu curé constitutionnel de la paroisse. C’était la fin du mois de mars 1791. L’ex-religieux fut remplacé par un plus misérable, l'abbé Dithurbide, ex-curé constitutionnel de Ciboure, que nous voyons figurer dans l’état du nouveau clergé du district d’Ustaritz du mois d’avril 1792 et 93, en attendant qu’après avoir abdiqué, il devînt employé aux hôpitaux de l’armée des Pyrénées Occidentales. Quant à l’abbé Galbarret, il quitta Hendaye au mois de septembre 1791 ; mais un pied à Fontarabie, l’autre au milieu de ses chères ouailles, il leur administra les sacrements en cachette. A l'ouverture des églises, il reprit sa cure, où il mourut le 27 mars 1812.



Pierre Vincent Camprand, né à Hendaye le 21 avril 1765, et vicaire de l’abbé Galbarret, imita l’exemple de son digne curé. Il déclara à la municipalité qu’il était prêt à verser son sang plutôt qu'à reconnaître, d’autre évoque que l'ancien. Après avoir refusé le serment schismatique, il émigra aussi en Espagne. Nous aimons à croire qu’il ne s’éloigna guère, ni de son curé, ni de sa paroisse natale. Il mourut curé d’Arbonne le 17 mars 1829.



L’abbé Jean Romatet, dont nous avons dit un mot, en parlant des confrères de l’abbé Darralde, curé de la cathédrale de Bayonne, était de Hendaye. Il naquit, le 18 juin 1748, de Pre R. et de Françoise d’Accarette. Condisciple de l’abbé Behola de St-Pée, il fit en partie ses études à Paris ; il rentra au diocèse pour ses dernières années de théologie. L'abbé Romatet à peine diacre constata et dénonça, à Mgr d’Arche, évêque de Bayonne, la doctrine janséniste, que les Pères de la Doctrine, professeurs du grand séminaire, enseignaient à leurs élèves. Le fondé de l’accusation ayant été reconnu par l’évêque, l’enseignement et la direction des jeunes lévites du sanctuaire furent confiés à M. Baguerre, fondateur de Larressore.



L’abbé Romatet ordonné prêtre à Oloron, fin mars 1774, sous titre de bénéfice, devint vicaire de la cathédrale. La Révolution l’y trouva fidèle à sa conscience. Ne voulant pas se déshonorer par l’apostasie, il émigra en Angleterre, où il s’appliqua à l’étude de l’anglais, qu’il vint ensuite enseigner à Bayonne à l'Institution de M. Meillan. Il y mourut prêtre habitué, avec la réputation d’un saint.



La Révolution enleva de l’église de Hendaye, entre autres choses, 1 croix d’argent, dont les pièces pesèrent 24m , 6o, 12d ; 2 lampes pesant 6m 3o 12d ; 1 encensoir pesant 5m 2o ; 1 plaque d’argent pesant 6m 12o.



Hendaye avec son église fut incendié en 1793. Le général espagnol don Ventura Caro commença par faire sauter le fort le 23 avril. Il y trouva un canon de fer de 30, cinq de 24, six de 18, quelques mortiers de 12 pouces ainsi qu’une assez grande quantité de munitions. Les chasseurs Basques étaient alors concentrés sur les frontières de la Basse-Navarre.



A la nouvelle de la prise du fort et de l’incendie du bourg, furieux, ils prirent les armes et vinrent exercer des représailles sur Fontarabie. Les généraux français, sans s’opposer à la fougue de nos intrépides basques, les accompagnèrent avec troupes nombreuses. Les espagnols furent chassés au-delà de la frontière de la Bidassoa. Mais nos basques durent se contenter de voir sauter les remparts de Fontarabie du côté de la France, sans détruire la ville. — Quant à Hendaye, il y a à peine quelques années qu’elle a commencé à se relever de ses ruines. Son église incendiée ne put être rendue au culte qu’en 1807. Jusqu’alors le service religieux se fit dans une chapelle provisoire.



Parmi les maisons qui, à Hendaye, servirent de lieu de refuge aux confesseurs de la foi, il faut citer celle de la famille Durruty. Depuis elle a fourni un de ses enfants à la cure de la paroisse. Les fidèles étaient sûrs de trouver dans cette maison hospitalière des prêtres fidèles et surtout un capucin du nom de Père Félix. C’est en se retirant de chez elle qu’on arrêta Gachina-Chume, de Ciboure qui, sans l’intervention bienveillante de la municipalité de sa commune, aurait subi le sort de Madeleine Larralde et de tant d’autres.



Hendaye, devenue gare internationale entre la France et l’Espagne, a aujourd’hui avec le hameau de Zubernoa une population d’environ 2 500 hab. Avec sa belle plage — quoique un peu éloignée, — ses hôtels, ses chalets, elle a acquis une importance qui croîtra dans la proportion des bonnes relations entre les deux nations. Puisse-t-elle toujours rester Eskualdun et conserver les traditions chrétiennes et la langue de ses fondateurs !


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EGLISE D'URRUGNE
PAYS BASQUE D'ANTAN


URRUGNE : Urrugne, en basque Urruña. — La belle paroisse d’Urrugne est une des plus anciennes du diocèse. Le vicomte de Labourd Fortun Sauz et son frère, Loup Sanz, dont le nom rappelle le compagnon favori de Louis-le-Débonnaire, possédaient la cathédrale de Bayonne avec les biens et droits en dépendant, les églises de St-Jean-de-Luz et d’Urrugne, etc. C’était le temps où le pouvoir laïque s’était emparé du temporel clérical et des églises. Plusieurs seigneurs labourdins, vassaux du vicomte, jouissaient aussi des chapellenies ou autels (altaria) de leur village et portaient le titre d’Abbadia, d’Apat, etc. Un des fils du vicomte Fortun Sanz, du nom de Ramire, se consacra aux autels, vers 1085. C’est à cette occasion que le vicomte labourdin restitua l’église d’Urrugne à la cathédrale, ainsi que nous l’apprend un acte du Livre d’or.



L’église porte le nom de "Sanctus Vincentius de Urruin", vers 1140, de Villa Urrungia au 12e s., Orroina en 1225 (cart. de Bayonne f os 8 et 9), d’Urruyne en 1842 (rôles gascons), d’Urruinhe (col. Duch. vol. cv. f° 287, d’Urruihne en 1550 (charte de Labourd E, 426), etc.



L’ancienne église a disparu : on n’en trouve aucun vestige, sinon peut-être quelques sculptures eu relief incrustées à la porte méridionale. L’actuelle, agrandie du côté du clocher et élargie, est un grand vaisseau, qui paraît remonter au 16e siècle. En fait d’antiquités, on n’y trouve qu’un bénitier ouvert et ajouré, et la porte des cagots. Le clocher en style gréco-romain est connu par l’inscription qui entoure l’horloge : Vulnerant omnes, ultima necat. (Chaque heure blesse, la dernière tue) et qu’en style chrétien, nous aimerions à remplacer par cette autre : Chaque heure nous rapproche, la dernière nous unit. L’ancien retable a été remplacé, de nos jours, par un nouveau, en style gothique fort élégant et de très bon goût."




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CLOCHER DE L'EGLISE D'URRUGNE
PAYS BASQUE D'ANTAN




A suivre...



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